mardi 21 janvier 2025

La réponse est simple mais personne n’a le courage en France chez nos dirigeants et politiciens élus et réélus de tous bords de tirer un trait définitif sur cette après guerre d’Algérie de 1962 en traitant ce pays vindicatif anti français avec haine viscérale contre la FRANCE comme Mr MACRON un gamin trop jeune à l’époque de cette guerre mais il n’y a pas que lui car ces prédécesseurs aussi malgré les accords d’Evian n’ont pas réussi à obtenir une relation normale avec l’ALGERIE !?

 

Comment ces influenceurs pro-Alger mettent le feu aux réseaux sociaux

Zazou Youssef, Imad Tintin, Doualemn… Souvent sous les radars de la justice, ces influenceurs d’origine algérienne, en relais zélés du régime algérien, œuvrent pour déstabiliser la France.

Par Bartolomé Simon et Erwan Seznec

Publié le 21/01/2025 à 10h00


Zazou Youssef, Imad Tintin, Doualemn, Laksas06… Derrière ces pseudonymes enfantins, de vrais discours de haine. Ces « influenceurs » interpellés début janvier sont les relais zélés d'un pouvoir algérien aux abois. À bout de souffle, avec une économie en berne et un taux de chômage écrasant chez les jeunes, le régime des généraux tente de mobiliser grâce au sentiment antifrançais.

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Pour cela, il rêve de séduire la diaspora algérienne, 5 millions de citoyens ou résidents français qui auraient un lien de parenté avec l'Algérie. Dès 2021, l'ex-ambassadeur algérien Mohamed Antar Daoud y voyait un « levier de commande non seulement dans la politique algérienne, mais (aussi) au niveau de la politique française ».

 « Il n'y a plus de doute sur les intentions algériennes vis-à-vis de la France »

Seul hic : la diaspora, loin d'être uniforme, se sent peu concernée par les enjeux de pouvoir à Alger. Seuls 3 à 4 % d'Algériens auraient voté en France à la présidentielle algérienne de 2024. Aucune vedette franco-algérienne (Isabelle Adjani, Zidane, Kad Merad…) ne s'est jamais mobilisée pour Alger. Et, lors du Hirak, mouvement pour les droits civiques de 2019, les Algériens de France ont surtout manifesté contre le régime…

Afin de changer cela, ses dirigeants semblent s'inspirer des méthodes qui ont permis au président turc Erdogan d'assurer le contrôle des communautés hors de ses frontières, grâce à des réseaux de provocateurs. Ainsi, les relais du régime algérien agitent le chiffon rouge de l'« extrême droite » qui menacerait les Franco-Algériens et missionnent sur les réseaux sociaux des influenceurs favorables au régime. Trouver des tiktokeurs virulents n'est pas bien difficile. « Ce n'est pas une armée de l'ombre, note une observatrice à Alger, mais le résultat d'un pseudo-patriotisme sur la défensive. »

Kamel Daoud : « Le prix de la peur »

 

« Doualemn ». Expulsé vers l’Algérie, mais refoulé par le régime algérien, l’influenceur a été placé en centre de rétention en France.

 

Imad Tintin. Jugé pour « provocation directe à un acte de terrorisme ». Ici, le 6 janvier, au palais de justice de Grenoble.

 

« Zazou Youssef ». Écroué le 3 janvier. A appelé au viol et au meurtre des opposants au régime algérien sur TikTok.

 

Sofia Benlemmane. Va être jugée en mars pour « provocation à la haine et menaces de mort ». Ci-contre, au Stade de France, lors du match France-Algérie du 6 octobre 2001.© Thomas Jean-Paul/ABACA

« Laksas06 ». Objet d’une enquête. A déclaré, sur TikTok, être prêt « à mourir en martyr ».

Des « moudjahidines 2.0 luttant contre le « harkisme 2.0 »

Les personnalités sur qui Alger peut compter pour ce lobbying intense sont des figures de troisième rang, tel Mehdi Ghezzar. Ce touche-à-tout (immobilier, automobile, luxe…), repéré pour sa gouaille par la radio RMC, acquiert un rond de serviette aux Grandes Gueules en 2021. Une notoriété sur laquelle il s'appuie pour revendiquer une influence sur la diaspora algérienne. Mais, à trop vouloir donner de gages de fidélité, il finit par se brûler les ailes. RMC le débarque à l'été 2024 après des propos insultants sur les Marocains tenus à la télé algérienne. « Ces intermédiaires font preuve d'excès de zèle en faveur du régime », estime Abdou Semmar, journaliste algérien d'opposition.

Ghezzar n'a pas abdiqué. Fin novembre 2024, il réunit dans un restaurant parisien une dizaine d'influenceurs franco-algériens. Parmi eux, Jhon Rachid (1,3 million d'abonnés sur YouTube), Coachlarage (65 000 sur TikTok) ou Ilyesse Benyoub (80 000 sur Instagram). La rencontre est filmée. Ghezzar les exhorte à « promouvoir l'Algérie », drapeau au mur.

Comment les réseaux du régime algérien déstabilisent la France

Ghezzar a qualifié ces influenceurs de « moudjahidines 2.0 » luttant contre le « harkisme 2.0 ». « Vous êtes des ambassadeurs de l'Algérie », les flatte-t-il ce jour-là, se déclarant « libre et indépendant ».Indépendant, vraiment ? À l'été 2024, l'entrepreneur – qui n'a pas répondu aux questions du Point – dirigeait la campagne d'Abdelmajid Tebboune en France, avec l'aide de sa femme, la journaliste Hana Ghezzar Bouakkaz. C'est elle qui a reçu en juillet 2024 Rima Hassan à Alger, « Mecque des révolutionnaires et de la liberté », selon la députée LFI…

« Hirak ». Paris, 3 mars 2019. Les Algériens de la capitale manifestent contre la candidature de Bouteflika, au pouvoir depuis 1999. © Apaydin Alain/ABACA

Un chroniqueur sur CNews, une ex-sénatrice PS, une élue LFI…

Dans un style similaire, Karim Zéribi, chroniqueur sur CNews, cherche lui aussi à « rassembler les Algériens de France ». En vain. Alors que le régime emprisonnait Boualem Sansal, l'entrepreneur franco-algérien a accusé l'écrivain d'être « islamophobe ». Ex-conseiller de Jean-Pierre Chevènement, devenu macroniste puis élu eurodéputé EELV, condamné en appel en 2021 à trois ans de prison avec sursis et cinq ans d'inéligibilité pour abus de biens sociaux, Zéribi a lancé début 2024 un Conseil mondial de la diaspora algérienne, intitulé pompeux pour une influence confidentielle. Un organe « en aucun cas financé par les autorités françaises ou algériennes », assure Zéribi. « Me définir comme un relais du pouvoir algérien est totalement ridicule et diffamatoire », se défend-il, pointant une « extrême droite française hystérique sur cette affaire ». Dans son réseau apparaît la maire adjointe de Marseille Samia Ghali. L'ex-sénatrice PS a facilité la location de la salle du meeting phocéen d'Abdelmajid Tebboune fin août 2024. Elle assume : « Oui, je soutiens Tebboune, l'Algérie n'est pas une dictature. Et ce n'est pas illégal ! » En Île-de-France, ce dernier s'appuyait sur une élue LFI du Blanc-Mesnil, Karima Khatim, présidente de l'association Amitié franco-algérienne.

 Crise avec l'Algérie : comment Paris s'est retrouvé dans le « cercle de feu »

« Ambassadeur ». Ex-chroniqueur des Grandes Gueules, l’entrepreneur d’origine algérienne Mehdi Ghezzar a profité de sa tribune pour asseoir son influence sur la diaspora algérienne. Il a depuis été licencié par RMC. © Domine Jerome/ABACA

Ressentiment anti-français et discours victimaires

À Découvrir Le Kangourou du jour Répondre Dans un style plus rugueux, Alger peut compter sur Sofia Benlemmane. Cette simple « supportrice » de l'équipe de foot d'Algérie vilipende la France et le Maroc dans des lives décousus et injurieux. Suivie par plus de 300 000 tiktokeurs, elle sera jugée en mars pour provocation à commettre un crime ou un délit, menaces de mort et injure publique. Elle avait proféré des insultes sur Internet : « Je t'enc…, sale pédé, sale athée, nique ta mère toi et ta France… » Benlemmane avait déjà fait parler d'elle en 2001 : à 19 ans, elle avait investi, brandissant un drapeau algérien, la pelouse du Stade de France, lors d'un match de football France-Algérie.

« Quand vous êtes la première force migratoire dans un pays étranger, vous avez une influence certaine, assurait Mehdi Ghezzar au média algérien TSA en 2024. La diaspora algérienne, depuis trois ans, s'organise. » En fait, la manœuvre du régime algérien semble limpide : souder la diaspora derrière lui via un nationalisme mâtiné d'un ressentiment anti-français et de discours victimaires.

 


Relations comme avec d’autres pays étrangers avec ces dirigeants qui se sont succèdes depuis 62 ans presque autant que notre Veme république et qui défilent encore chez nous pour se plaindre car forcement nos dirigeants depuis se sont dégonflés comme des baudruches crevées mais surtout nous gouvernent mal et ne nous protègent pas et acceptent leurs migrants qui ne supportent pas leurs régimes totalitaires depuis leur 1ergouvernement d’independence sous BOUMEDIENNE et ont subi après en  plus une révolution islamique : La “décennie noire” (1992-2002) qui est l’un des épisodes les plus sanglants de l’histoire de l’Algérie. Cette guerre civile qui a vu s'affronter l'armée et les islamistes et fait entre 100 000 et 200 000 victimes, a laissé de profonds traumatismes, tant à l'échelle individuelle que collective.

Donc ce pays vindicatif n’est plus fréquentable nous détestent et nous rend responsable de ces malheurs qui leur appartienne et sont un boulet dont il faut se délester absolument car on trop attendu là il faut tourner vraiment la page de ce MAGREBH on a plus le choix et il faut que nos dirigeants actuels apprennent enfin à mieux diriger notre politique ex coloniale ou étrangère et en plus nous coutent cher indirectement !?

Le temps de nos empires coloniaux Africains et nord-africain est terminé et il faut que nos dirigeants fassent leur travail (çà les changera au lieu de bavarder pour ne rien dire d’utile) en tournant ces pages historiques pour le bien de tous SVP !?

(INUTILE AUX MEDIAS CONNUS QUE JE NE CITERAIS PAS DE CENSURER CE COMMENTAIRE QUI DE TOUTE FACON PASSERA SUR LE NET CAR C’EST LA VERITE INUTILE DE LA CACHER MERCI !?)

Jdeclef 21/01/20224 16h49

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