samedi 5 mai 2012

POUR N.SARKOZY : IL FAUT ÉCOUTER ET BOIRE SES PAROLES, RIEN D’AUTRE !

Nicolas Sarkozy en meeting à Toulon (Var), le 3 mai 2012.

Présidentielle: En plein discours, Nicolas Sarkozy s'en prend à un journaliste

PRÉSIDENTIELLE - Parallèlement, BFM TV en a appelé au CSA pour faire respecter la liberté de la presse après l'agression de deux de ses journalistes jeudi...
Après avoir expliqué ce vendredi qu’il n’avait «jamais attaqué la presse», Nicolas Sarkozy a tout de même affirmé sur Europe 1 qu’il comprenait «l’exaspération vis-à-vis des journalistes». Et quelques heures plus tard, lors d’une réunion publique aux Sables-d’Olonne, le candidat UMP a illustré ses propos, s’en prenant à un journaliste qui effectuait un plateau en direct pendant le discours: «Si notre ami qui fait un direct en me tournant le dos pouvait s’arrêter, ça m’arrangerait», lance Nicolas Sarkozy, visiblement agacé.
Après avoir laissé la salle siffler le journaliste en question, il poursuit: «La politesse n’est qu’une question d’éducation, et s’il y a eu quelque manquement, nous y porterons remède.»
Toujours des menaces….

Une remarque de plus parmi toutes celles que l'on a pu faire sur son compte :

N.SARKOZY c'est plus fort que lui, s'arroge toujours le droit de donner des leçons de politesse aux autres (c'est l’hôpital qui se fiche de la charité!) 

De tous les présidents de la 5eme république (je les aie tous connu) je n'ai pas souvenir d'un président si irrespectueux et impoli et mauvais diplomate (d'ailleurs même dans son entourage de pattes cassées qui l'entoure il déteint sur eux...Voir N.MORANO par exemple)

De toute façon pendant ses meetings, il est d'abord un candidat avant d’être (le président)
La presse et les journalistes sont toujours des écueils et ont toujours gêné  pour le pouvoir en place, c’est bien pourquoi certains états totalitaires muselle celle-ci !

Peut être que N.SARKOZY aimerait une presse à sa botte (heureusement en France, la liberté d'expression et de la presse est un droit fondamental) bien que nos libertés se soient un peu érodées sous son quinquennat…

Ce journaliste ne faisait que son métier, si cela a gêné ce tribun bonimenteur, c'est regrettable pour lui pourtant, il parle assez fort en s'agitant comme un pantin, et s'il ne supporte pas cela surtout en campagne présidentielle on se demande ce qu'il faisait là?!

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