Remaniement :
Schiappa, Ndiaye, Braun…, les ministres sur la sellette
Invisibles,
fragilisés ou trop « technos », plusieurs ministres du gouvernement
Borne sont sur un siège éjectable, alors qu’un éventuel remaniement se
profile.
LA France EST LIVREE A DES INCAPABLES MAIS
LES CITOYENS EN SONT AUSSI RESPONSABLES CAR COMME LE PRESIDENT INCAPABLE DE
CHOISIR DANS CETTE CLASSE POLITIQUE SCLEROSEE DESPERANTE DES HOMMES OU FEMMES
CHEZ CES POLITICIENS ELUS DE TOUS BORDS POUR GOUVERNER ET DIRIGER NOTRE PAYS ?!
Et ils ont en plus réélu ce président
parvenu petit bourgeois devenu pseudo roi sans couronne avec trop de pouvoir qu’il
utilise mal ou pas du tout !?
A voir s’il sera là jusqu’en 2027 ou la France
aura touché le fond pas si loin que ça !
hypothèse d'un remaniement se murmure de plus en plus au sommet de
l'État. Emmanuel Macron pourrait renouveler son équipe
gouvernementale avant la fin des « 100 jours » qu'il s'était
fixés pour relancer son quinquennat, et qui arrivent à leur terme le
14 juillet. Éreinté par la bataille des retraites, « le gouvernement
est à bout de souffle », reconnaît un cadre de la majorité. Nombreux sont
les ministres assis sur un siège éjectable. « La sellette semble très
étroite pour accueillir toutes celles et ceux concernés », s'amuse un
député Renaissance.
Selon des élus de la majorité, plusieurs ministres au profil
« technocrate » pourraient être écartés. « Ceux issus de la
société civile peuvent poser quelques soucis dans le contexte
hyperpolitisé dans lequel on est », estime une députée Renaissance. Cette
dernière regrette que certains n'aient « pas l'expérience de la
politique ». « Ils ont une propension à se passer du Parlement et à
travailler en direct avec les administrations centrales », déplore l'élue,
ciblant entre autres François Braun (Santé), Jean-Christophe Combe
(Solidarités) ou encore Pap Ndiaye (Éducation nationale).
Le député François Cormier-Bouligeon aimerait également voir l'équipe
gouvernementale « se resserrer autour de ministres très
politiques ». Certains indéboulonnables devraient rester en place :
Gabriel Attal (Comptes publics), Clément Beaune (Transports), Bruno
Le Maire (Économie), Gérald Darmanin (Intérieur). À l'inverse,
beaucoup plaident pour remplacer les ministres jugés « invisibles ».
Autour du président et au sein de la majorité, plusieurs noms de « maillons
faibles », qu'il faudrait écarter ou déplacer, reviennent.
·
Marlène Schiappa (Économie sociale et solidaire)
La secrétaire d'État à l'Économie sociale et solidaire est fragilisée
par l'affaire du fonds Marianne, qui embarrasse l'exécutif. Mercredi
dernier, l'ancien directeur de cabinet de Marlène Schiappa, Sébastien
Jallet, concédait devant une commission parlementaire que la secrétaire
d'État à l'Économie sociale et solidaire était intervenue pour écarter du
fonds Marianne une association de lutte contre le séparatisme. Il s'agirait,
selon Mediapart, de SOS Racisme.
Gouvernement : Marlène
Schiappa, sur la sellette ? En avril, la ministre
s'était déjà mis à dos une partie de la macronie après sa
couverture du magazine Playboy, dont elle n'avait parlé à
personne. Dimanche, la Première ministre, Élisabeth Borne, a toutefois jugé
« pas nécessaire » de se séparer de Marlène Schiappa,
saluant sur France 3 une secrétaire d'État « très
engagée », « qui a beaucoup de personnalité » et « qui
souhaite s'investir ».
·
Pap Ndiaye (Éducation nationale)
Un député de la majorité, qui appelle à « remettre la priorité sur les
valeurs républicaines de progrès pour lutter contre la décivilisation »,
affirme que « le ministre de l'Éducation nationale n'est pas du tout prêt
à assumer ce type de politique ». Dernière déconvenue pour l'ancien
enseignant-chercheur et historien : sa rencontre avec les parents de
Lindsay, 13 ans, victime de harcèlement scolaire qui s'est suicidée dans
le Pas-de-Calais. Après une heure d'entretien rue de Grenelle le 5 juin,
la famille de l'adolescente a accusé Pap Ndiaye de ne
pas être « sincère », se disant « perdue »,
« seule » et « pas aidée ». Une déconvenue d'autant plus
grande pour le ministre que, deux jours plus tard, la mère de Lindsay s'est au
contraire dite « écoutée » après avoir été reçue par Brigitte
Macron.
Éducation nationale :
quand Pap Ndiaye agace le mammouth
·
François Braun (Santé)
Issu du monde hospitalier, il fait partie des ministres jugés trop
« technos » par les élus de la majorité. Un député Renaissance
dépeint, à travers la récente opposition de François Braun à un amendement
sur la liberté d'installation des médecins, un ministre soumis à son
administration. « En réalité, c'est l'administration qui n'est pas
d'accord , cingle l'élu. À faire ça, les Français trouvent que les
ministres n'ont pas le pouvoir, ne servent à rien, et finissent par donner
du crédit aux extrêmes », lance-t-il.
Le parlementaire appelle à « trouver des ministres capables de dire à
l'administration : “La décision c'est ça, maintenant on la met en
œuvre.” » « Cela nécessite de ne plus avoir des ministres
issus du sérail de l'administration ou du ministère dans lequel ils
exercent », intime-t-il. En juin 2022, le médecin urgentiste s'était
vu confier par Emmanuel Macron une « mission flash » sur
les urgences et les soins non programmés.
·
Christophe Béchu (Transition écologique)
Jugé pas suffisamment visible en haut lieu, Christophe Béchu pourrait
également faire les frais du mercato. « Je considère que la
transition écologique ne se fait pas sur les plateaux. Elle nécessite du
travail, ce n'est pas forcément la partie la plus sexy ou la plus
visible », s'était pourtant défendu le ministre de la
Transition écologique sur le plateau de C à vous, sur France 5,
en octobre dernier. « Qu'est-ce que j'ai fait pendant cet été ? J'ai
précisément fait en sorte qu'on ait un budget qui nous permette d'avoir des
moyens. J'ai obtenu la création d'un fonds vert d'un milliard et demi d'euros
pour accompagner les collectivités locales », s'était agacé l'ancien
maire d'Angers, lassé d'être considéré comme trop transparent.
« Ton gouvernement, c'est
cata » : Macron vers un remaniement forcé ?
·
Olivier Klein (Logement)
Au club des « invisibles », le
ministre délégué à la Ville et au Logement est aussi sur la sellette.
Onze mois après son entrée au gouvernement, Olivier Klein
peine à infléchir la doctrine de l'Élysée et de Bercy, qui voient souvent le
logement comme un poids sur la dépense publique. Dans le cadre du CNR
Logement, il devait lui-même annoncer début mai les mesures qu'il
retenait. Mais la réunion a été reportée d'un mois à la demande de
Matignon, qui a ensuite pris la main sur les annonces. Emmanuel Macron a
fustigé, en matière de logement, un « système de surdépenses publiques
pour de l'inefficacité collective », tandis que le ministre des Comptes
publics, Gabriel Attal, a prévenu que le logement serait particulièrement
sollicité pour faire des économies dans le budget 2024.
Alors
qu’il le fasse son remaniement inutile notre président indécis il reprendra
dans cette classe politique médiocre des politiciens et ministres inféodés
servilement à sa personne et même dans certains les mêmes qu’il n’aura pas de
mal à trouver dans cette réserve poussiéreuse d’élus ou ceux qui espère une
part du gâteau gouvernemental lucratif tant il y en a qui frappe à la
porte ?!
Surtout
que lui ne risque pas d’être réélu par le règlement électoral de cette Veme
république monarchique obsolète !?
Ce
jeu de chaise musicale politique est un jeu mainte fois utilisé par nos
présidents depuis toujours mais là les Français lambda n’ont rien fait de mieux
que de le réélire jusqu’en 2027 alors qu’il n’avait rien fait de probant lors
de son 1er quinquennat malgré multiples protestations manifestations
quelque fois violente et grèves diverses de ses citoyens hélas bon public qui
se passionnent pour des changements qu’ils n’arrivent pas à obtenir et que
depuis 2017 aucune amélioration sensible se soit fait sentir dans les problèmes
quotidiens nationaux (et internationaux préoccupants !?)
La
niaiserie des électeurs Français est remarquable car ils ne pensent qu’à eux
peut être trop gâtés pour une partie (encore trop importante) et regarde l’été
arriver pour se faire bronzer à la mer en pensant à leur chacun pour
soi ?!
Ces
buzz ne font que le bonheur des médias ou réseaux sociaux poubelles pour le
reste nos concitoyens INCURABLES regardent de loin la France (dite) libre et
démocratique se désagréger et quand elle aura touché le fond il sera trop
tard !?
Jdeclef
15/06/2023 10h42LP
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