jeudi 15 juin 2023

Avec un gouvernement totalement dépassé presque inexistant avec cette 1ere ministre qui essaie de s’accrocher bien que plus en phase avec un président indécis qui tourne en rond en pérorant inutilement la France et les Français sont très mal partis mais ils ne se rendent pas encore assez compte !?

 

TOUT SEUL NOTRE PRESISENT ?!
Cela ne semble pas le gêner car il est là jusqu'en 2027 et pas du même monde que les Français lambda qui l'ont élu et réélu avec trop de pouvoir pseudo monarchique de roi sans couronne !?

Remaniement : Schiappa, Ndiaye, Braun…, les ministres sur la sellette

Invisibles, fragilisés ou trop « technos », plusieurs ministres du gouvernement Borne sont sur un siège éjectable, alors qu’un éventuel remaniement se profile.

LA France EST LIVREE A DES INCAPABLES MAIS LES CITOYENS EN SONT AUSSI RESPONSABLES CAR COMME LE PRESIDENT INCAPABLE DE CHOISIR DANS CETTE CLASSE POLITIQUE SCLEROSEE DESPERANTE DES HOMMES OU FEMMES CHEZ CES POLITICIENS ELUS DE TOUS BORDS POUR GOUVERNER ET DIRIGER NOTRE PAYS ?!

Et ils ont en plus réélu ce président parvenu petit bourgeois devenu pseudo roi sans couronne avec trop de pouvoir qu’il utilise mal ou pas du tout !?

A voir s’il sera là jusqu’en 2027 ou la France aura touché le fond pas si loin que ça !

 

hypothèse d'un remaniement se murmure de plus en plus au sommet de l'État. Emmanuel Macron pourrait renouveler son équipe gouvernementale avant la fin des « 100 jours » qu'il s'était fixés pour relancer son quinquennat, et qui arrivent à leur terme le 14 juillet. Éreinté par la bataille des retraites, « le gouvernement est à bout de souffle », reconnaît un cadre de la majorité. Nombreux sont les ministres assis sur un siège éjectable. « La sellette semble très étroite pour accueillir toutes celles et ceux concernés », s'amuse un député Renaissance.

Selon des élus de la majorité, plusieurs ministres au profil « technocrate » pourraient être écartés. « Ceux issus de la société civile peuvent poser quelques soucis dans le contexte hyperpolitisé dans lequel on est », estime une députée Renaissance. Cette dernière regrette que certains n'aient « pas l'expérience de la politique ». « Ils ont une propension à se passer du Parlement et à travailler en direct avec les administrations centrales », déplore l'élue, ciblant entre autres François Braun (Santé), Jean-Christophe Combe (Solidarités) ou encore Pap Ndiaye (Éducation nationale).

Le député François Cormier-Bouligeon aimerait également voir l'équipe gouvernementale « se resserrer autour de ministres très politiques ». Certains indéboulonnables devraient rester en place : Gabriel Attal (Comptes publics), Clément Beaune (Transports), Bruno Le Maire (Économie), Gérald Darmanin (Intérieur). À l'inverse, beaucoup plaident pour remplacer les ministres jugés « invisibles ». Autour du président et au sein de la majorité, plusieurs noms de « maillons faibles », qu'il faudrait écarter ou déplacer, reviennent.

·         Marlène Schiappa (Économie sociale et solidaire)

La secrétaire d'État à l'Économie sociale et solidaire est fragilisée par l'affaire du fonds Marianne, qui embarrasse l'exécutif. Mercredi dernier, l'ancien directeur de cabinet de Marlène Schiappa, Sébastien Jallet, concédait devant une commission parlementaire que la secrétaire d'État à l'Économie sociale et solidaire était intervenue pour écarter du fonds Marianne une association de lutte contre le séparatisme. Il s'agirait, selon Mediapart, de SOS Racisme.

Gouvernement : Marlène Schiappa, sur la sellette ? En avril, la ministre s'était déjà mis à dos une partie de la macronie après sa couverture du magazine Playboy, dont elle n'avait parlé à personne. Dimanche, la Première ministre, Élisabeth Borne, a toutefois jugé « pas nécessaire » de se séparer de Marlène Schiappa, saluant sur France 3 une secrétaire d'État « très engagée », « qui a beaucoup de personnalité » et « qui souhaite s'investir ».

·         Pap Ndiaye (Éducation nationale)

Un député de la majorité, qui appelle à « remettre la priorité sur les valeurs républicaines de progrès pour lutter contre la décivilisation », affirme que « le ministre de l'Éducation nationale n'est pas du tout prêt à assumer ce type de politique ». Dernière déconvenue pour l'ancien enseignant-chercheur et historien : sa rencontre avec les parents de Lindsay, 13 ans, victime de harcèlement scolaire qui s'est suicidée dans le Pas-de-Calais. Après une heure d'entretien rue de Grenelle le 5 juin, la famille de l'adolescente a accusé Pap Ndiaye de ne pas être « sincère », se disant « perdue », « seule » et « pas aidée ». Une déconvenue d'autant plus grande pour le ministre que, deux jours plus tard, la mère de Lindsay s'est au contraire dite « écoutée » après avoir été reçue par Brigitte Macron.

Éducation nationale : quand Pap Ndiaye agace le mammouth

·         François Braun (Santé)

Issu du monde hospitalier, il fait partie des ministres jugés trop « technos » par les élus de la majorité. Un député Renaissance dépeint, à travers la récente opposition de François Braun à un amendement sur la liberté d'installation des médecins, un ministre soumis à son administration. « En réalité, c'est l'administration qui n'est pas d'accord , cingle l'élu. À faire ça, les Français trouvent que les ministres n'ont pas le pouvoir, ne servent à rien, et finissent par donner du crédit aux extrêmes », lance-t-il.

Le parlementaire appelle à « trouver des ministres capables de dire à l'administration : “La décision c'est ça, maintenant on la met en œuvre.” » « Cela nécessite de ne plus avoir des ministres issus du sérail de l'administration ou du ministère dans lequel ils exercent », intime-t-il. En juin 2022, le médecin urgentiste s'était vu confier par Emmanuel Macron une « mission flash » sur les urgences et les soins non programmés.

·         Christophe Béchu (Transition écologique)

Jugé pas suffisamment visible en haut lieu, Christophe Béchu pourrait également faire les frais du mercato. « Je considère que la transition écologique ne se fait pas sur les plateaux. Elle nécessite du travail, ce n'est pas forcément la partie la plus sexy ou la plus visible », s'était pourtant défendu le ministre de la Transition écologique sur le plateau de C à vous, sur France 5, en octobre dernier. « Qu'est-ce que j'ai fait pendant cet été ? J'ai précisément fait en sorte qu'on ait un budget qui nous permette d'avoir des moyens. J'ai obtenu la création d'un fonds vert d'un milliard et demi d'euros pour accompagner les collectivités locales », s'était agacé l'ancien maire d'Angers, lassé d'être considéré comme trop transparent.

« Ton gouvernement, c'est cata » : Macron vers un remaniement forcé ?

·         Olivier Klein (Logement)

Au club des « invisibles », le ministre délégué à la Ville et au Logement est aussi sur la sellette. Onze mois après son entrée au gouvernement, Olivier Klein peine à infléchir la doctrine de l'Élysée et de Bercy, qui voient souvent le logement comme un poids sur la dépense publique. Dans le cadre du CNR Logement, il devait lui-même annoncer début mai les mesures qu'il retenait. Mais la réunion a été reportée d'un mois à la demande de Matignon, qui a ensuite pris la main sur les annonces. Emmanuel Macron a fustigé, en matière de logement, un « système de surdépenses publiques pour de l'inefficacité collective », tandis que le ministre des Comptes publics, Gabriel Attal, a prévenu que le logement serait particulièrement sollicité pour faire des économies dans le budget 2024.

 

Alors qu’il le fasse son remaniement inutile notre président indécis il reprendra dans cette classe politique médiocre des politiciens et ministres inféodés servilement à sa personne et même dans certains les mêmes qu’il n’aura pas de mal à trouver dans cette réserve poussiéreuse d’élus ou ceux qui espère une part du gâteau gouvernemental lucratif tant il y en a qui frappe à la porte ?!

Surtout que lui ne risque pas d’être réélu par le règlement électoral de cette Veme république monarchique obsolète !?

Ce jeu de chaise musicale politique est un jeu mainte fois utilisé par nos présidents depuis toujours mais là les Français lambda n’ont rien fait de mieux que de le réélire jusqu’en 2027 alors qu’il n’avait rien fait de probant lors de son 1er quinquennat malgré multiples protestations manifestations quelque fois violente et grèves diverses de ses citoyens hélas bon public qui se passionnent pour des changements qu’ils n’arrivent pas à obtenir et que depuis 2017 aucune amélioration sensible se soit fait sentir dans les problèmes quotidiens nationaux (et internationaux préoccupants !?)

La niaiserie des électeurs Français est remarquable car ils ne pensent qu’à eux peut être trop gâtés pour une partie (encore trop importante) et regarde l’été arriver pour se faire bronzer à la mer en pensant à leur chacun pour soi ?!

Ces buzz ne font que le bonheur des médias ou réseaux sociaux poubelles pour le reste nos concitoyens INCURABLES regardent de loin la France (dite) libre et démocratique se désagréger et quand elle aura touché le fond il sera trop tard !?

Jdeclef 15/06/2023 10h42LP

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