samedi 17 juin 2023

C’est hélas la réalité mais comme les Français n’ont pas su le remplacer à la fin de son 1er quinquennat car n’ayant personne de fiable dans cette classe politique de tous bords ils se sont résignés à le réélire alors ils attendront 2027 c’est triste pour la France et ses citoyens dégonflés comme des baudruches crevées depuis + de 40 ans !?

 

Michel Richard – Macron, un président petit bras ?

CHRONIQUE. Il est partout, décide de tout, écrasant tout le monde sur son passage. Hyperprésident, donc. Et s’il ne l’était pas encore assez ?

ON NE S’EN SORTIRA PAS D’ICI 2027 CAR LES FRANÇAIS QUI VOTENT NE SAVENT PLUS LE FAIRE NI CHOISIR DANS LEUR CLASSE POLITIQUE DES POLITICIENS COMPETENTS DE TOUS BORDS LAMENTABLES ?!

Inauguration d'une usine de batteries électriques ici, au chevet de l'industrie pharmaceutique là, soucieux des feux de forêt dans le Gard, de la souveraineté industrielle en Ardèche, des lycées professionnels en Charente-Maritime, de la réindustrialisation à Dunkerque, de la préservation du patrimoine au Mont-Saint-Michel, des jeunes pousses numériques à Paris, de la Santé à Saint-Cloud. Emmanuel Macron est partout, sur tous les registres, dans tous les domaines.

De tous les présidents de la République, il est assurément, au coude à coude avec Nicolas Sarkozy, celui que l'on accuse d'en faire beaucoup, pour ne pas dire trop. D'être un hyperprésident se mêlant de tout, hors champ régalien, un gouvernement à lui tout seul, ministre de tout, se réservant toutes les annonces. Et tant pis pour ses ministres réduits au silence et à de la figuration de marionnettes.

Dans les coulisses du « sommet Macron » Pour un président que les oppositions voient en homme déconnecté, hors sol, ce déploiement compulsif n'est pas si mal. Mais voilà : il ferait tout mal, ce qui arrive quand on en fait trop. On écrase tout sur son passage, et tout le monde : corps intermédiaires, élus locaux, il ne reste que lui, lui dont tout dépend. Il serait « techno-vertical ». Voilà l'antienne dont on nous tympanise : Jupiter ivre de sa toute-puissance, indifférent à ce qui n'est pas lui, dominant, arrogant, seul maître à bord. À cette hubris présidentielle s'ajouterait un calcul autrement prosaïque, celui de faire oublier par son ubiquité géographique et la diversité de ses projets le triste et coûteux épisode des retraites.

Un procès de bonne guerre, et qui n'est pas dénué de vérité. Pour autant, il est un peu court et même quelque peu injuste. Il passe en effet sous silence deux phénomènes souterrains qui s'imposent pourtant au chef de l'État.

De l'agitation égotiste ? Pas seulement…

D'abord, on ne cesse d'entendre que le président de la République a tous les pouvoirs ou presque. C'est infantile de le penser. Il n'a au fond de pouvoir personnel qu'en trois domaines : les nominations, les décorations et la guerre. Pour le reste, c'est fou, au contraire, les efforts qu'il doit déployer et les obstacles à franchir pour faire advenir les réformes qu'il a promises et lui ont valu en partie son élection. Dans ses mémoires, Nicolas Sarkozy raconte comment il devait s'investir à 200 % pour parvenir à 20 % de résultats, dans le meilleur des cas. Les lourdeurs administratives (perpétuelles), les corporatismes (indécrottables) et les procédures législatives (bienvenues, elles, quoiqu'elles puissent être incommodes) sont là pour freiner, ou empêcher, les ardeurs réformistes présidentielles pour le meilleur ou le pire.

Macron, ministre de tout Si bien qu'il faut voir dans l'activisme tout terrain d'un Macron pas seulement le signe d'une agitation égotiste, mais aussi la mobilisation d'une énergie qui veut bousculer les montagnes, forcer les choses, accélérer les mouvements, s'impliquer au plus près. Il s'est ainsi reproché de n'être pas assez intervenu pour « vendre » sa réforme des retraites car sans doute, oui, a-t-il l'orgueil de penser qu'il fait mieux les choses que quiconque. On repense à ce dessin de Jacques Faizant que les moins de 40 ans ne peuvent pas connaître où un de Gaulle en survêtement, sac de sport à la main, se plaint d'avoir à tout faire lui-même pour faire gagner la France dans on ne sait plus quelle compétition sportive ! Il y a de ça dans le comportement de Macron : de l'impatience contre l'impuissance.

Et puis, pourquoi le taire : les Français réclament ce qu'ils détestent. Ou le contraire. Ils peuvent, catégories professionnelles, élus locaux, associations, clubs, amicales et individus, critiquer l'hyperprésidence de Macron mais s'affliger d'y échapper. Combien de congrès, sans la présence effective du président, se sentent boudés ! N'est-ce pas que leur corporation ne pèse rien ? Ou que le président la snobe, voire la néglige, ayant mieux à faire, la déconsidérant aux yeux de tous ?

Michel Richard – Macron, la malédiction de Pluton À la moindre injustice, au premier dossier qui tourne mal, on a recours à lui, on lui demande audience, on lui écrit des tribunes, sinon des injonctions. Les micros-trottoirs comme les débats des chaînes tout info regorgent d'appels à intervention présidentielle. Il n'y a pas plus « vertical » que les Français dans leurs suppliques.

Ainsi, le président, en faisant trop pour certains, mais pas assez pour d'autres, additionne une double troupe de mécontents, quelquefois les mêmes ! Qui l'eût cru ? Macron est à la fois (trop) fier à bras et (trop) petit bras. C'est le (fichu) métier.

 

Oui hélas pour la France il n’est qu’un petit président sans envergure qui s’écoute parler en nous soulant de discours creux que certains de nos concitoyens avalent peut-être trop gâtés de son monde de petit bourgeois donneurs de leçons qu’il veut donner au monde entier qui ne l’écoute pas chez les autres dirigeants pratiquant le totalitarisme déjà dans des démocratures en place connues et surtout dangereux et plus puissants !

Car quand on gratte le vernis de sa petite bourgeoisie d’un autre âge il n’y a rien dessous malgré qu’il peut quelque fois paraitre bien élevé mais trop arrogant avec le peuple lambda qu’il dédaigne et qu’il a même insulté se prenant comme un monarque sans couronne style ancien régime l’ayant réélu naïvement car perdu craignant les extrêmes droites/gauches fantômes elles-mêmes aussi usées que cette Veme république gaullienne usée et obsolète véhiculée par une classe politique déplorable de tous bords qui ne sert indirectement qu’au pouvoir en place d’un homme qui a su saisir la balle au bond par opportunisme et défection de son prédécesseur qui avait jeté l’éponge (mais ce petit candidat bourgeois devenu facilement président faisant partie néanmoins de son gouvernement car représentant soit disant jeunesse et nouveauté voire changement qui n’est pas arrivé ni même entamé !?)

Voire plutôt augmenter une insécurité quotidienne devenue violente quelque fois criminelle jusqu’à une barbarie anarchique de certains Français lambda qui n’hésite pas à utiliser pour essayer de faire leurs lois pour supplanter celles de la république !?

La France va mal même à l’international ou on ne l’écoute pas mais surtout à l’intérieur dans notre vies quotidiennes par des Français excédés qui déraillent ou tout est bon pour manifester violemment jusqu’au pire contre nos gouvernements et 1er ministres incapables de réguler ses désordres ou simplement de gouverner correctement !?

Alors lors de drame ses Français apathiques organisent « des marches blanches » larmoyantes plutôt que de mieux voter et choisir de meilleurs politiciens de tous bords médiocres !?

Jdeclef 17/06/2023 12h43


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