mercredi 7 juin 2023

Avec un président qui exerce trop de pouvoir que les Français lui ont donné dans cette Veme république monarchique peut faire ce qu’il veut et ou décider voir même ne rien faire et prend le pli d’une fausse démocrature comme déjà en place dans d’autres grands pays dirigés par des dictateurs (ou présidents) qui le sont le devenus et qui perdurent depuis + de 40 ans !?

 

« On n’y croit plus » : à Paris, ultime baroud d’honneur pour les retraites

REPORTAGE. À Paris, les derniers manifestants contre la réforme des retraites ont battu le pavé ce mardi 6 juin, non sans une certaine résignation.

POUR LES RETRAITES LES CAROTTES SONT CUITES ET POUR LE RESTE DE CE QUI NE VA PAS EN FRANCE CE N’EST PAS MEILLEUR ?!

Le cortège parisien était plus clairsemé que lors des précédentes manifestations en cette 14e journée de mobilisation contre la réforme des retraites. Malgré un ciel ensoleillé, ce mardi 6 juin était marqué par le plus faible niveau de participation depuis le début du mouvement social, d'après les chiffres des autorités comme ceux des syndicats.

Certains opposants, présents depuis le début de la contestation, continuent de battre le pavé, non sans une certaine résignation. « J'ai fait toutes les dernières manifestations, ça me paraissait évident d'être là aujourd'hui », déclare Marie, 46 ans. Employée à la mairie de Chaville (Hauts-de-Seine), elle entend « montrer au gouvernement qu'un rapport de force existe, même si on sait que cette loi est passée et qu'il n'est pas question de revenir dessus ».

Retraites : mobilisation au plus bas, « fin du match » ? Ce qu'il faut retenir de la journéeDrapeaux à la main, Elea et Maïwenn, 15 ans, continuent elles aussi à occuper le terrain. « Contre la réforme des retraites, tous les 49.3 qui ont été utilisés et même la réforme du lycée professionnel », les deux lycéennes manifestent contre « Macron de manière générale ». « Arrêter, ce serait le laisser gagner », reconnaissent-elles. « On veut montrer qu'on est toujours là et qu'on n'est toujours pas d'accord. »

Un peu plus loin, Daniel, 62 ans, regarde le cortège défiler dans une ambiance bon enfant. L'aide-soignant manifeste surtout pour les générations futures. « Aujourd'hui, c'est 64 ans ; demain, ce sera 67 ou 72 ans », redoute le délégué syndical FO. Pour lui, « tout ce que Macron pourra faire passer, il le fera passer ».

La der des ders

La suppression, en commission des Affaires sociales de l'Assemblée nationale, de l'article premier de la proposition de loi du groupe Liot, qui prévoyait l'abrogation du recul de l'âge légal de 62 à 64 ans, semble avoir définitivement enterré les derniers espoirs des manifestants. Le texte doit être examiné le 8 juin dans l'hémicycle, sans son article phare.

L'opposition peut déposer des amendements pour le réintroduire, mais ces derniers risquent de tomber sous le coup de « l'irrecevabilité financière » objectée par la macronie. « Je ne vois pas de retour en arrière possible », souffle Clémence, étudiante de 19 ans, qui se mobilise simplement « pour le symbole et pour montrer qu'on s'est battu jusqu'à la fin ». « Ils arrivent toujours à contourner de toute façon », peste également Marie.

Gilets jaunes et vote RN : géographie de la contestationPour elle, il était d'autant plus important de participer à cette 14e journée de mobilisation que c'est « peut-être la dernière ». C'est ce qu'a laissé entendre Laurent Berger au micro de BFMTV ce mardi. « C'est la dernière manifestation sur la question des retraites dans ce format-là, on ne va pas se raconter d'histoires », a déclaré le secrétaire général de la CFDT, qui prévoit une contestation de la réforme sous d'autres formes.

Juste de quoi donner un brin d'enthousiasme aux derniers manifestants contre la retraite à 64 ans. « Il y a quand même des négociations qui arrivent sur les conditions de travail, les séniors, la mobilité », énumère Marie, couverte par le chant « Grève, blocage, Macron dégage ! », scandé par de jeunes militants.

« Deux jours pour revenir à la raison »

Pour Vianney Orjebin, 33 ans, « il y aura d'autres manifestations, c'est certain ». « Je ne sais pas si ce sera sous cette forme-là, mais la mobilisation continuera toujours », est convaincu le président du groupe Insoumis au conseil régional d'Île-de-France. Lui ne perd pas espoir, à deux jours de l'examen de la proposition Liot.

« Le petit jeu auquel s'adonnent le gouvernement et la présidente de l'Assemblée nationale doit être stoppé », affirme-t-il, alors que Yaël Braun-Pivet menace d'opposer au texte l'article 40 de la Constitution, afin de le déclarer irrecevable. « Ils ont deux jours pour revenir à la raison », lance-t-il à destination de la majorité. L'élu rappelle que la réforme « n'est toujours pas appliquée ». « Jusqu'en septembre et même après, on continuera à se battre », promet-il.

 

Cette réforme de retraites dont une majorité de Français ne voulaient pas car mal organisée ni développée correctement bien que peut être utile est de fait une forme d’autoritarisme imposé par ce président faux monarque presque absolu et ses gouvernements !

Mais ne cache rien de tout ce qui ne va pas des multiples problèmes sociétaux devenant urgents dans tous les domaines rencontrés dans notre pays ou rien n’a même été entamé pour les régler et la liste est longue depuis déjà 2018 et l’épisode des jaunes qui malgré avoir trainé n’a rien donné de concret et ou depuis on enchaine mécontentement manifestations protestations quelque fois violentes ou grèves périodiques touchant le quotidien de Français insécurité violences crimes odieux même sur les plus faibles enfants femmes personnes âgées par une délinquance incontrôlée ou certains veulent faire leurs lois partout ou dans ces zones de non droit de plus en plus nombreuses !

A çà il faut ajouter la situation internationale avec cette guerre Russo Ukrainienne et cette inflation indirecte qui en a découlé avec ses crises énergétiques et économiques mal gérée par notre président bavard depuis la pandémie de Covid dont il se sert d’alibi pour justifier ses manquements et inefficacité de ces gouvernements et leurs ministres de la justice de l’intérieur et de l’économie et 1er ministres inféodés logiquement au chef d’état !?

Alors les Français sont désabusés apathiques incurables « partisans du chacun pour soi » pensent comme d’habitude à leurs congés d’été (enfin ceux qui pourront en prendre ?!)

Pauvre France et Français pitoyables trop gâtés semble-t-il ?....

Jdeclef07/06/2023 12h25

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