Première ministre cherche directeur de cabinet désespérément !?
LETTRE
DU PALAIS. L’Élysée et Matignon peinent à trouver un remplaçant à Aurélien
Rousseau. Élisabeth Borne subit des départs en cascade dans son cabinet.
FUMISTERIE HABITUELLE DE JEU DE CHAISES MUSICALES A L’AUBE DU 14
JUILLET FETE NATIONALE AVEC CE REMANIEMENT MINISTERIEL VOIRE CHANGEMENT DE 1ER
MINISTRE CE QUI NE CHANGERA RIEN EN FAIT POUR LES FRANÇAIS ET SURTOUT PAS LA
MACRONIE ?!
(Et surtout ne pas confondre avec « ma connerie »
jeu de mot si facile à faire excuser la grivoiserie, facile !?)
Combien de hauts fonctionnaires ont été
approchés pour succéder à Aurélien Rousseau au très stratégique poste de
directeur de cabinet de la Première ministre à Matignon ? Trois, selon
certaines sources au gouvernement, six, si ce n'est encore plus, soufflent
d'autres. Depuis le début de juin, le secrétaire général de l'Élysée, Alexis
Kohler, multiplie en effet les prises de contact pour tenter de remplacer le
bras droit d'Élisabeth Borne, qui a fait part depuis des semaines de son
intention de quitter ses fonctions, Le Point
s'en faisait d'ailleurs l'écho dès le 17 mars.
L'intéressé a attendu la fin de la séquence sur les retraites pour
l'officialiser. Élisabeth Borne n'a pas encore signé le décret mettant fin à
ses fonctions. « Il s'est engagé à ne pas partir tant que son successeur
n'a pas été choisi », fait-on savoir dans l'entourage de la cheffe du
gouvernement, comme pour mieux évacuer toute idée de vacance du pouvoir au plus
haut niveau.
Gouvernement :
à la semaine prochaine si tout va bien ! Sauf que
cette période d'intérim risque de durer encore pour Aurélien Rousseau, pourtant
censé rejoindre la Caisse des dépôts au début de juillet en qualité de
directeur général adjoint. À ce jour, aucun des profils sollicités n'aurait en
effet donné suite. Selon nos informations, Élisabeth Borne a elle-même décroché
son téléphone pour tenter de recruter son principal collaborateur, en vain.
« C'est terrible. Comment voulez-vous que quelqu'un accepte sachant
qu'elle-même ne sait pas si elle sera encore là dans deux semaines ? »
fait-on observer au sommet de l'État.
Les rumeurs de remaniement et le temps suspendu depuis qu'Emmanuel Macron a
décrété une période de « 100 jours » ne facilitent pas l'opération.
Au sein de l'exécutif, on évoque une « ambiance terrible » rue de
Varenne. « Ils ne savent pas s'ils vont rester, ils n'ont aucun signal, la
Première ministre elle-même ne sait pas ce qu'elle va devenir », rapporte-t-on.
D'autres voient dans le non-remplacement d'Aurélien Rousseau la confirmation
que le départ d'Élisabeth Borne ne serait plus qu'une question de jours.
« Borne-out »
Reste que la démission annoncée du directeur de cabinet a délié les langues
dans l'entourage de la Première ministre. Certains s'épanchent sur le
management réputé dur et exigeant de l'ancienne préfète, surnommée
« Borne-out » à l'époque déjà où elle dirigeait la RATP. Une petite
musique qui ne facilite pas le recrutement. « Beaucoup disent qu'il ne
faut surtout pas travailler avec elle, ça revient très fort », constate un
proche du président. « La durée de vie maximum avec Élisabeth Borne, c'est
six mois. Car, soit tu es lessivé, parce qu'elle te sollicite presque
24 heures / 24, soit tu es ignoré », confie sous le sceau de
l'anonymat un ancien collaborateur.
Dans une période de disette budgétaire, peut-être faudra-t-il mutualiser les
pots de départ à Matignon… Car après une restructuration du pôle
communication au printemps, une dizaine de conseillers sont partis ou
ont fait part de leur intention de rendre leur tablier ces derniers jours.
C'est le cas du directeur de cabinet adjoint, Étienne Champion, comme l'a
évoqué Le Parisien. Mais aussi de la cheffe du pôle affaires
intérieures, Marie-Emmanuelle Assidon, du chef de pôle parlementaire, Frédéric
Pacoud, de la conseillère parlementaire Amélie Rocca-Serra, du chef du
pôle éducation et jeunesse François Weil – qui part à la retraite –, de la
cheffe adjointe du pôle diplomatie, Marie Lapierre, et enfin de la conseillère
à la culture, Magali Valente, cités par Le
Monde.
« Le pire, c'est que certains partent sans rien derrière »,
se désespère-t-on dans un ministère important, stupéfait par cette hémorragie
inédite. Une partie de ces départs étaient latents depuis plusieurs mois,
liés à l'usure, à la fatigue ou à des changements de carrière. D'autres
auraient été déclenchés par celui d'Aurélien Rousseau, « seul capable de
tenir et de tempérer la Première ministre » dans les moments de crise,
rapporte-t-on. « Édouard Philippe avait construit un clan autour de lui,
Jean Castex avait une vraie équipe soudée. Élisabeth Borne, elle, n'a pas su
bâtir de collectif. On n'aura pas de boucle WhatsApp “team Borne” à la
sortie », s'épanche un conseiller qui a travaillé au côté de la Première
ministre.
Fuite des cerveaux
« Lier tous ces départs serait trop facile et caricatural »,
tempère un autre, qui reconnaît toutefois que « le timing » de ces
démissions tombe au plus mal pour l'hôtesse de Matignon. Les proches de la
cheffe du gouvernement mettent aussi en avant « la période
difficile » et le contexte de majorité relative, qui « essore »
d'autant plus rapidement les conseillers. Et après tout, l'Élysée n'est
pas non plus épargné par ce phénomène de fuite des cerveaux.
On a l’impression d’une fin de premier
quinquennat. Car beaucoup en 2022 ont voulu poursuivre, par facilité. Or,
ils se retrouvent épuisés, d’autant plus qu’on n’a ni cap, ni vision.Un
communicant du pouvoir
Un important remaniement est aussi en préparation au sein de l'équipe
d'Emmanuel Macron. Son directeur de cabinet depuis six ans, Patrick Strzoda,
tirera sa révérence d'ici la fin de l'année. Comme son secrétaire général
adjoint, Pierre-André Imbert, et son chef de cabinet, Brice Blondel. Au sein du
pôle communication, le conseiller opinion, Sylvain Guérin, répète aussi à
tout-va qu'il veut partir. « Au sein des cabinets ministériels, tout le
monde s'interroge : faut-il rester jusqu'aux Jeux olympiques ou partir
maintenant ? » témoigne un communicant. « On a l'impression
d'une fin de premier quinquennat. Car beaucoup en 2022 ont voulu
poursuivre, par facilité. Or, ils se retrouvent épuisés, d'autant plus qu'on
n'a ni cap ni vision. »
Plusieurs conseillers évoquent aussi la nécessité de « se
recaser » avant qu'il ne soit trop tard, à un moment où un passage en
politique sur un CV ne fait plus forcément recette. « Sous le quinquennat
de François Hollande, des collaborateurs sont restés sur le carreau parce
qu'ils sont restés jusqu'à la fin. Après, le marché se complique. Il ne faut
pas croire, la politique ne fait plus autant rêver qu'avant… »
Remaniement à
l'Élysée : Macron a-t-il trouvé la perle rare ?
Un climat de fin de règne avant l'heure, donc, amplifié par une cadence au
ralenti dans certaines administrations. Dans l'attente d'un hypothétique
remaniement, beaucoup ont levé le pied, faisant craindre dans les ministères un
« problème d'exécution ». « Depuis un an, on annonce des plans.
Sauf qu'à un moment, il faut qu'on les mette en œuvre », se désespère un
haut fonctionnaire. Même le rythme des réunions interministérielles est moins
soutenu. Dans certains ministères, le désœuvrement confine au
découragement. « Le président nous suspend dans le vide, c'est usant.
Résultat, on n'a pas d'histoire à raconter, on subit un faux plat permanent.
L'inertie nous guette. »
E.BORNE
est sur le point de partir (logiquement) bien que le président comme d’habitude
n’arrive pas à ce décider (comme en bon procrastinateur pathologique ) une catégorie
de nos présidents passés que nous n’avions pas encore subi chez ses prédécesseurs
car pour notre malheur notre faux monarque sans couronne est le seul à décider avec
trop de pouvoir monarchique qu’on lui a donné digne de l’ancien régime dont on n’arrive
pas à se débarrasser comme un vieux chewing-gum qui colle à ces godillots ce
qui aboutit depuis 2017 à une gestion déplorable de notre pays qui va à vau l’eau
ce bavard qui s’écoute parler pour ne rien dire d’utile car surement notre pays
le plus mal gouverné de cette vielle Veme république obsolète usée jusqu’à la corde
comme ce jeu de vielles chaises musicales qui change au fils des remaniements
de ses gouvernements usés par le cul des ministres ou politiciens de tous bords
médiocres !?
Mais
tout cela étant de fait la faute des Français naïfs qui n’ont rien trouvé de mieux
que de réélire ce président jusqu’en 2027 car n’ayant aucun amour propre qu’ils
ont perdu depuis longtemps en + de 40 ans préférant « leur chacun pour soi »
dévastateur en regardant la France leur pays glisser vers le fond au fil des décennies
et mandatures de nos dirigeants et politiciens de tous bords !?
Car
ne citons pas nos problèmes sociétaux et internationaux connus si importants
que l’on ne les compte plus car les Français lambda ne semblent pas encore assez
en souffrir il suffit d’ouvrir et lire nos médias habituels qui ne sont pas en
mal pour trouver des articles pour les relater avec en plus une insécurité
quotidienne dans notre vie en nette augmentation !?
Jdeclef
23/06/2023 15h52
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