vendredi 23 juin 2023

Ça c’est sur elle ne va pas aller sur pôle emploi pour les trouver car les candidats ne se bouscule pas pour rejoindre le clan « macronien » que les Français aiment de moins en moins à l’image de leur président qu’ils ont réélu craignant les extrêmes droites et gauches qu’on agite devant eux comme des épouvantails et vive 2027 ils n’ont pas fini d’en baver tant pis pour eux !?

 

Première ministre cherche directeur de cabinet désespérément !?

LETTRE DU PALAIS. L’Élysée et Matignon peinent à trouver un remplaçant à Aurélien Rousseau. Élisabeth Borne subit des départs en cascade dans son cabinet.

FUMISTERIE HABITUELLE DE JEU DE CHAISES MUSICALES A L’AUBE DU 14 JUILLET FETE NATIONALE AVEC CE REMANIEMENT MINISTERIEL VOIRE CHANGEMENT DE 1ER MINISTRE CE QUI NE CHANGERA RIEN EN FAIT POUR LES FRANÇAIS ET SURTOUT PAS LA MACRONIE ?!

(Et surtout ne pas confondre avec « ma connerie » jeu de mot si facile à faire excuser la grivoiserie, facile !?)

Combien de hauts fonctionnaires ont été approchés pour succéder à Aurélien Rousseau au très stratégique poste de directeur de cabinet de la Première ministre à Matignon ? Trois, selon certaines sources au gouvernement, six, si ce n'est encore plus, soufflent d'autres. Depuis le début de juin, le secrétaire général de l'Élysée, Alexis Kohler, multiplie en effet les prises de contact pour tenter de remplacer le bras droit d'Élisabeth Borne, qui a fait part depuis des semaines de son intention de quitter ses fonctions, Le Point s'en faisait d'ailleurs l'écho dès le 17 mars.

L'intéressé a attendu la fin de la séquence sur les retraites pour l'officialiser. Élisabeth Borne n'a pas encore signé le décret mettant fin à ses fonctions. « Il s'est engagé à ne pas partir tant que son successeur n'a pas été choisi », fait-on savoir dans l'entourage de la cheffe du gouvernement, comme pour mieux évacuer toute idée de vacance du pouvoir au plus haut niveau.

Gouvernement : à la semaine prochaine si tout va bien ! Sauf que cette période d'intérim risque de durer encore pour Aurélien Rousseau, pourtant censé rejoindre la Caisse des dépôts au début de juillet en qualité de directeur général adjoint. À ce jour, aucun des profils sollicités n'aurait en effet donné suite. Selon nos informations, Élisabeth Borne a elle-même décroché son téléphone pour tenter de recruter son principal collaborateur, en vain. « C'est terrible. Comment voulez-vous que quelqu'un accepte sachant qu'elle-même ne sait pas si elle sera encore là dans deux semaines ? » fait-on observer au sommet de l'État.

Les rumeurs de remaniement et le temps suspendu depuis qu'Emmanuel Macron a décrété une période de « 100 jours » ne facilitent pas l'opération. Au sein de l'exécutif, on évoque une « ambiance terrible » rue de Varenne. « Ils ne savent pas s'ils vont rester, ils n'ont aucun signal, la Première ministre elle-même ne sait pas ce qu'elle va devenir », rapporte-t-on. D'autres voient dans le non-remplacement d'Aurélien Rousseau la confirmation que le départ d'Élisabeth Borne ne serait plus qu'une question de jours.

« Borne-out »

Reste que la démission annoncée du directeur de cabinet a délié les langues dans l'entourage de la Première ministre. Certains s'épanchent sur le management réputé dur et exigeant de l'ancienne préfète, surnommée « Borne-out » à l'époque déjà où elle dirigeait la RATP. Une petite musique qui ne facilite pas le recrutement. « Beaucoup disent qu'il ne faut surtout pas travailler avec elle, ça revient très fort », constate un proche du président. « La durée de vie maximum avec Élisabeth Borne, c'est six mois. Car, soit tu es lessivé, parce qu'elle te sollicite presque 24 heures / 24, soit tu es ignoré », confie sous le sceau de l'anonymat un ancien collaborateur.

Dans une période de disette budgétaire, peut-être faudra-t-il mutualiser les pots de départ à Matignon… Car après une restructuration du pôle communication au printemps, une dizaine de conseillers sont partis ou ont fait part de leur intention de rendre leur tablier ces derniers jours. C'est le cas du directeur de cabinet adjoint, Étienne Champion, comme l'a évoqué Le Parisien. Mais aussi de la cheffe du pôle affaires intérieures, Marie-Emmanuelle Assidon, du chef de pôle parlementaire, Frédéric Pacoud, de la conseillère parlementaire Amélie Rocca-Serra, du chef du pôle éducation et jeunesse François Weil – qui part à la retraite –, de la cheffe adjointe du pôle diplomatie, Marie Lapierre, et enfin de la conseillère à la culture, Magali Valente, cités par Le Monde.

« Le pire, c'est que certains partent sans rien derrière », se désespère-t-on dans un ministère important, stupéfait par cette hémorragie inédite. Une partie de ces départs étaient latents depuis plusieurs mois, liés à l'usure, à la fatigue ou à des changements de carrière. D'autres auraient été déclenchés par celui d'Aurélien Rousseau, « seul capable de tenir et de tempérer la Première ministre » dans les moments de crise, rapporte-t-on. « Édouard Philippe avait construit un clan autour de lui, Jean Castex avait une vraie équipe soudée. Élisabeth Borne, elle, n'a pas su bâtir de collectif. On n'aura pas de boucle WhatsApp “team Borne” à la sortie », s'épanche un conseiller qui a travaillé au côté de la Première ministre.

Fuite des cerveaux

« Lier tous ces départs serait trop facile et caricatural », tempère un autre, qui reconnaît toutefois que « le timing » de ces démissions tombe au plus mal pour l'hôtesse de Matignon. Les proches de la cheffe du gouvernement mettent aussi en avant « la période difficile » et le contexte de majorité relative, qui « essore » d'autant plus rapidement les conseillers. Et après tout, l'Élysée n'est pas non plus épargné par ce phénomène de fuite des cerveaux.

On a l’impression d’une fin de premier quinquennat. Car beaucoup en 2022 ont voulu poursuivre, par facilité. Or, ils se retrouvent épuisés, d’autant plus qu’on n’a ni cap, ni vision.Un communicant du pouvoir

Un important remaniement est aussi en préparation au sein de l'équipe d'Emmanuel Macron. Son directeur de cabinet depuis six ans, Patrick Strzoda, tirera sa révérence d'ici la fin de l'année. Comme son secrétaire général adjoint, Pierre-André Imbert, et son chef de cabinet, Brice Blondel. Au sein du pôle communication, le conseiller opinion, Sylvain Guérin, répète aussi à tout-va qu'il veut partir. « Au sein des cabinets ministériels, tout le monde s'interroge : faut-il rester jusqu'aux Jeux olympiques ou partir maintenant ? » témoigne un communicant. « On a l'impression d'une fin de premier quinquennat. Car beaucoup en 2022 ont voulu poursuivre, par facilité. Or, ils se retrouvent épuisés, d'autant plus qu'on n'a ni cap ni vision. »

Plusieurs conseillers évoquent aussi la nécessité de « se recaser » avant qu'il ne soit trop tard, à un moment où un passage en politique sur un CV ne fait plus forcément recette. « Sous le quinquennat de François Hollande, des collaborateurs sont restés sur le carreau parce qu'ils sont restés jusqu'à la fin. Après, le marché se complique. Il ne faut pas croire, la politique ne fait plus autant rêver qu'avant… »

Remaniement à l'Élysée : Macron a-t-il trouvé la perle rare ? Un climat de fin de règne avant l'heure, donc, amplifié par une cadence au ralenti dans certaines administrations. Dans l'attente d'un hypothétique remaniement, beaucoup ont levé le pied, faisant craindre dans les ministères un « problème d'exécution ». « Depuis un an, on annonce des plans. Sauf qu'à un moment, il faut qu'on les mette en œuvre », se désespère un haut fonctionnaire. Même le rythme des réunions interministérielles est moins soutenu. Dans certains ministères, le désœuvrement confine au découragement. « Le président nous suspend dans le vide, c'est usant. Résultat, on n'a pas d'histoire à raconter, on subit un faux plat permanent. L'inertie nous guette. »

 

E.BORNE est sur le point de partir (logiquement) bien que le président comme d’habitude n’arrive pas à ce décider (comme en bon procrastinateur pathologique ) une catégorie de nos présidents passés que nous n’avions pas encore subi chez ses prédécesseurs car pour notre malheur notre faux monarque sans couronne est le seul à décider avec trop de pouvoir monarchique qu’on lui a donné digne de l’ancien régime dont on n’arrive pas à se débarrasser comme un vieux chewing-gum qui colle à ces godillots ce qui aboutit depuis 2017 à une gestion déplorable de notre pays qui va à vau l’eau ce bavard qui s’écoute parler pour ne rien dire d’utile car surement notre pays le plus mal gouverné de cette vielle Veme république obsolète usée jusqu’à la corde comme ce jeu de vielles chaises musicales qui change au fils des remaniements de ses gouvernements usés par le cul des ministres ou politiciens de tous bords médiocres !?

Mais tout cela étant de fait la faute des Français naïfs qui n’ont rien trouvé de mieux que de réélire ce président jusqu’en 2027 car n’ayant aucun amour propre qu’ils ont perdu depuis longtemps en + de 40 ans préférant « leur chacun pour soi » dévastateur en regardant la France leur pays glisser vers le fond au fil des décennies et mandatures de nos dirigeants et politiciens de tous bords !?

Car ne citons pas nos problèmes sociétaux et internationaux connus si importants que l’on ne les compte plus car les Français lambda ne semblent pas encore assez en souffrir il suffit d’ouvrir et lire nos médias habituels qui ne sont pas en mal pour trouver des articles pour les relater avec en plus une insécurité quotidienne dans notre vie en nette augmentation !?

Jdeclef 23/06/2023 15h52


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire