vendredi 2 juin 2023

RN ex FN de cette extrême droite qui ne sert qu’aux Français plus mécontents que d’autres depuis 1970 qui le sont déjà depuis des décennies après mais qui ne mettrons pas ce parti au pouvoir car trop peureux voire trop gâtés préférant le chacun pour soi leur principal défaut qui fait leurs divisions !?

 

Le Rassemblement national face aux feux de la « rediabolisation »

LETTRE DU PALAIS. Le mouvement s’est « institutionnalisé » à l’Assemblée mais découvre, à ses dépens, qu’il ne s’est pas « normalisé » pour autant.

Dont notre président qu’ils ont réélu en plus tire les marrons du feu sans se fatiguer sinon en bavardages creux  !?

Cinq bougies mais pas de cadeau. C'est sous de bien curieux auspices que le Rassemblement national a célébré, ce 1er juin, ses cinq ans d'existence. Un houleux débat sur ses racines historiques s'est invité à la table du conseil des ministres. Jusqu'à provoquer un rare embrouillamini au sommet de l'État.

Invitée de Radio J, la Première ministre a répondu aux insistantes questions du journaliste que, oui, le RN était bien « l'héritier de Pétain ». Une sortie peu au goût du chef de l'État, qui s'en est ému, selon nos confrères du Parisien, depuis le salon des ambassadeurs de l'Élysée devant l'intégralité de ses ministres, la première d'entre eux comprise : « Le combat contre l'extrême droite ne passe plus par des arguments moraux. On n'arrivera pas à faire croire à des millions de Français qui ont voté pour elle que ce sont des fascistes. »

« On a un président en roue libre » : Macron et Borne à couteaux tirésLe différend est un éloquent révélateur de la difficulté que rencontre la majorité dans sa lutte contre le parti nationaliste depuis son entrée en nombre à l'Assemblée nationale. Coincée dans un atermoiement stratégique presque aussi vieux que le Front national lui-même : faut-il continuer d'user d'arguments historiques aux pointes émoussées d'avoir trop servies ? Ou répondre au projet du RN sur le fond, au risque d'en banaliser ses idées ? «  Ces hésitations veulent dire qu'ils n'ont pas trouvé d'élément de positionnement suffisamment fort pour nous coincer », savoure le vice-président RN du Palais-Bourbon, Sébastien Chenu. Et pourtant.

« Task force anti-RN »

La tumultueuse séquence des retraites s'est soldée pour le parti à la flamme par une vague de sondages aussi flatteurs qu'inédits. Si les législatives devaient avoir lieu aujourd'hui, le RN gagnerait 7 points par rapport à juin dernier, selon l'Ifop. Il arriverait en tête, une première.


Hissée à la seconde place des personnalités politiques préférées des Français dans notre baromètre Ipsos, Marine Le Pen s'est récemment félicitée d'un sondage en particulier : 30 % des Français estiment qu'elle « ferait mieux qu'Emmanuel Macron » au pouvoir, selon une étude Ifop fin mai. Là encore, un niveau jamais atteint auparavant.

Autant de voyants écarlates pour le camp du chef de l'État, qui ne fait plus mystère de ses inquiétudes dans les travées du Parlement, les couloirs des ministères jusqu'aux « off » avec la presse de l'irrépressible marche vers le pouvoir de ce qu'Emmanuel Macron qualifiait encore en 2019 de « lèpre populiste ».

Marine Le Pen présidente en 2027 ? La grande résignation

 

Les élus RN ont observé simultanément un important durcissement du ton à leur égard, de la part de la majorité, des autres oppositions comme de la presse. Une « task force anti-RN » a été constituée au sein du groupe Renaissance, dont la feuille de route abandonnée sur la table d'un café est malencontreusement tombée entre les mains de Sébastien Chenu. Parmi les objectifs énumérés : « Attaquer le RN sur son identité pour les décrédibiliser » ou encore « Sensibiliser les médias sur la question du traitement du RN »

Un climat que l'entourage de Marine Le Pen n'hésite plus à comparer à la période de l'entre-deux-tours de la dernière présidentielle. Beaucoup moins gêné à l'époque par le maniement « d'arguments moraux » et l'agitation du « péril fasciste », Emmanuel Macron avait alors pris de court Marine Le Pen en menant une vive campagne de« rediabolisation » de sa rivale, lui faisant perdre un point tous les deux jours jusqu'à la dominer d'une large tête dans les urnes, le dimanche 24 avril 2022.

Il n’y a pas à dire, ils prennent cher.Un dirigeant de Reconquête !

« On assiste à la même stratégie de rediabolisation du RN aujourd'hui. Mais elle est tellement peu subtile, bas de plafond et déconnectée de ce que vivent les Français que cela va leur coûter plus cher qu'à nous, se persuade le député RN de la Somme Jean-Philippe Tanguy. Faire cela hors période électorale, c'est arroser le sable. Les gens sont rationnels, ça ne marchera pas. »

En l'espace de quelques semaines, le RN a pourtant vu dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale sa responsabilité mise en cause dans la démission du maire de Saint-Brévin, Yannick Morez. Même s'il n'existe pas de preuve liant le mouvement aux agressions et menaces que l'édile a pu subir en marge du projet d'installer, dans sa commune, un centre d'accueil de migrants. Le parti par la suite s'est vu associer à une marche dans Paris d'une centaine de militants nationalistes révolutionnaires cagoulés, parmi lesquels figurait Axel Loustau, ami de Marine Le Pen et prestataire du mouvement.

Ingérences russes : quand le RN marque contre son campEnfin, la commission d'enquête parlementaire sur les ingérences étrangères, diligentée par le RN dans l'espoir de laver définitivement les suspicions de collusion entre le mouvement et Vladimir Poutine, s'est soldée par un rapport au vitriol le présentant, au contraire, comme une « courroie de transmission efficace » du Kremlin en France. Et ce, malgré les démentis sous serment de Marine Le Pen lors de son audition devant la commission à l'Assemblée nationale. « Il n'y a pas à dire, ils prennent cher », en viendrait presque à les plaindre un cadre dirigeant du mouvement d'Éric Zemmour, Reconquête !

En juin 2022, le Rassemblement national célébrait avec l'avènement de son groupe de 88 députés à l'Assemblée nationale son « institutionnalisation ». Force est de constater, un an plus tard, que celle-ci n'est pas synonyme pour autant de « normalisation ».

 

Le RN (rassemblement national ) émanation du FN (front national) issu de son créateur JM LE PEN  dans les années 1970 a été repris par sa fille M.LE PEN en fait une affaire de famille de cette extrême droite revancharde mais totalement inutile dans une France qui ne sert qu’aux mécontents de la politique de gauche ou de droite dite normale qui ne savent depuis + de 40 ans après le miterrandisme de gauche qui fut un fiasco et même le pseudo mélenchonisme avec cet LFI de mal élevés autre forme d’extrémisme de gauche et cet agrégat de partis marginaux de cette NUPES sans oublier les verts écolos illuminés empêcheurs de tourner en rond  et donc ces français lambda qui réélisent ces mêmes politiciens en ordre dispersés qui permet à un président inclassable petit bourgeois procrastinateur qui les dédaigne ce qu’ils méritent en fait tant ils sont niais car n’ayant rien fait de probant pendant son 1er quinquennat nous gratifie de son fameux 100 jours empruntés à notre histoire napoléonienne qui sera un WATERLOO  de plus d’ailleurs en désaccord avec sa 1ere ministre qu’il changera bien sur et son gouvernement jeu de chaise musicale pratiqués par tous nos présidents dans cette Veme république qui devrait être changée ?!

Car moi qui ait connu de Gaulle et voté depuis la France et les Français n’ont hélas pas changé et sont incurables incapables de choisir les bons dirigeants pour les gouverner heureusement qu’il reste chez nos concitoyens des gens courageux pour travailler chaque jour et faire tourner le pays car c’est eux qui ne bavardent pas qui soutiennent vraiment le pays quotidiennement mais ils diminuent dans un monde ou l’argent est roi !?

Jdeclef 02/06/2023 16h58

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