lundi 19 juin 2023

Ce n’est pas une désertion mais une réaction de prudence pour éviter le pire de la part des Français lambda pour essayer d’éviter le pire si possible !?

 

Ukraine : le complexe du déserteur chez les Européens

CHRONIQUE. L’Ukraine tend les bras à l’Europe, mais les Européens ne veulent pas troquer leur torpeur de consommateurs contre l’inconfort de la guerre.

LA France EST UN PETIT PAYS MAL GOUVERNE ET MAL PROTEGE PAR DES DIRIGEANTS INCOMPETENTS QUI NE SAVENT QUE BAVARDER POUR NE RIEN DIRE RESTONS A NOTRE PLACE ?!

Dans le centre du vieil Amsterdam, et sous un beau soleil qui rallume l'eau des canaux, la foule scande des slogans autour de la carcasse d'un char détruit. Le véhicule de guerre russe s'impose comme l'objet tangible d'une guerre abstraite qui fait irruption dans le pays des shorts et des vélos. L'affrontement sort des écrans et rappelle sa « matière » et son sens : l'Ukraine se bat pour survivre à son amputation, sinon à son effacement. Certains des curieux situés très près du vestige ont déposé des fleurs sur l'armature couleur rouille, tordue par un obus invisible, à la mâchoire féroce. Le geste s'avère dérisoire, mais nécessaire. À côté, un écriteau précise que c'est là «  le symbole de la résilience et de la fragilité de la démocratie en Europe  ». La légende explique que ce char est un reste d'affrontement, ramené par les troupes russes avant que les troupes ukrainiennes le détruisent, durant la bataille de Kiev, dans le village de Dmytrivka. Il se trouve là, exposé tel un stigmate, pour rappeler que les guerres ne sont pas des films, des documentaires ou des discours. Qu'elles demeurent d'une violence titanesque capable de tordre aussi bien le métal que la chair d'un enfant.

L'artefact du néant produit un effet puissant. Il oblige à revenir au réel. Il ouvre la brèche dans une ville européenne encore bercée de l'illusion du demi-siècle dernier. Il se dresse comme un contrepoids au bien-être, au cœur d'une Europe que secouent aujourd'hui deux ou trois questions, murmurées souvent en « off ». Comment gagner la guerre contre les Russes sans faire la guerre concrètement ? Ou bien : comment remporter la guerre sans tirer un seul coup de feu et donc sans parier son corps et son confort ? C'est là la traduction un peu sévère d'un syndrome que l'auteur de ces lignes a cru repéré dans les débats et les médias occidentaux, c'est-à-dire ceux de l'Europe de l'Ouest : le syndrome du déserteur. Ce refuznik sans grandeur, dont le silence abrite un immense brouhaha de raisons, de prétextes et d'excuses. À l'Européen se repose en effet aujourd'hui l'interrogation, vieille comme le monde, de l'héroïsme, du confort, de la liberté, de son coût et du droit de ne pas être un héros, mais un consommateur avec un chariot de supermarché. «  La véritable question pour toute nation, c'est combien d'enfants y resteront pour la défendre  », expliqua en off un chef d'État européen au chroniqueur. Dispensées depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, le croyait-on, d'être des héros qui meurent vraiment, et de sonder leurs convictions exactes et non surfaites, les élites européennes redécouvrent depuis un an ces vieilles tortures de l'âme humaine, trop humaine. Que faire lorsque l'Ukraine ou son propre sol sont envahis ? Comment gagner sans bouger ou bouger sans toucher ou toucher sans rien changer à l'équilibre des forces et des faiblesses ? Où fuir ? Que faut-il fuir ? Soi-même ou la vérité ? Ce tank, sous le soleil multicolore d'Amsterdam il y a une semaine, constituait une irruption métallique dans le temps européen, ralenti par le confort de la vie heureuse. Son apparition est comme la matérialisation du réel, et sa carcasse semble avoir ramené, dans le bruit de la ville néerlandaise, un silence lourd et sacré. La foule comprenait que la guerre remontait du passé.

L'Ukraine, entre l'est et l'ouest

Juste à côté, dans un bel édifice, sur l'écran, une conférence Zoom. L'écrivaine ukrainienne Oksana Zaboujko explique aux invités du festival de Bali, organisé pour penser la démocratie libérale européenne, ce qu'elle sait de Poutine, mais aussi de la guerre et de l'Europe de l'Ouest. Pourquoi, interroge-t-elle en substance, on n'y parvient pas à comprendre Poutine ? Comment n'arrive-t-on pas à concevoir que ce que subit l'Ukraine, c'est un effacement, une « solution finale » ? Pourquoi ne fait-on pas la guerre aux côtés des victimes, les Ukrainiens qui ne sont pas moins européens que les autres ? En plus cru : où êtes-vous ? Car voilà dessiné le second front de bataille des Ukrainiens. À l'est, il leur faut résister aux Russes. À l'ouest, plaider l'universalité de leur cause du Bien contre le Mal pour obliger l'Europe à assumer sa responsabilité, son universalisme devenu rétractif, sa solidarité convoquée, mais sourde. À écouter l'écrivaine qui militait depuis Kiev, on saisit que les Ukrainiens se savent seuls. À l'est, avec des armes ; à l'ouest, avec une Europe qui les traite encore comme des « ex » de l'URSS. Affublée, à mi-mot, d'une européanité de seconde zone, d'une occidentalité qualifiée de satellitaire.

Ce char, même « mort », semblait étrangement tiède.

 

Quand on connait les FRANÇAIS lambda pour les plus anciens qui ont subi les dernières guerres mondiales et les moins âgés les guerres coloniales Indochine Algérie et même plus près ses printemps arabes Lybie ou nos armées ont été impliquées en Afghanistan depuis 2001 voire aussi avec nos attentats islamiques et la lutte contre DAESH avec cette coalition en 2013 E.U./USA occidentale en France voir aussi dans nos opérations extérieures depuis 2013 Africaines maliennes sahéliennes pour des résultats médiocres en voyant en plus la fuite des USA qui ont laisser tomber KABOUL livrant  ce pays à ces Talibans barbares moyenâgeux ou on ignore la détresse de leurs femmes revenant à l’obscurantisme moyenâgeux religieux barbare !?

Alors le peuple FRANÇAIS a déjà donné beaucoup pour l’Ukraine qu’il soutient financièrement militairement en fournissant matériels et formation pour l’armée ukrainienne comme le fait les pays de l’U.E. et l’Angleterre adossé à l’OTAN bouclier de défense US !?

Sans oublier l’inflation indirecte subit par nos citoyens à cause de ce conflit Russo Ukraignien que nos dirigeants bavards de cette U.E./US n’ont pas été capables de stopper ou éliminer ce dictateur sanguinaire russe Poutine :

Donc le titre de cet article du POINT est totalement incongru et irrévérencieux pour les Français car si l’U.E. et la petite France n’avait pas réagi le courage des ukrainiens n’aurait pas suffi et ils seraient redevenus région russe de l’ex empire Russo soviétique !?

Nos concitoyens lambda on peut les comprendre car mal protégés par leurs dirigeants bavards depuis le début de ce conflit à nos frontières de l’est ne désirent pas faire une guerre de trop mondiale !?

Car depuis la fin de la guerre mondiale et fin de guerre froide on se bat dans un monde instable depuis + de 34 ans et cela ne s’arrange pas !?

Jdeclef 19/06/2023 13h30

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1 commentaire:

  1. Cet article du POINT est une honte et c'est cet hebdo qui a été critiqué dans ce commentaire avec ses modérateurs et rédaction inféodés au pouvoir en place qui ne fait que bavarder en ne faisant rien car ne respectant pas la liberté d'expression car les Français eux soutiennent l'Ukraine mais nos dirigeants sont en dessous de tout et en plus ne nous protègent pas pauvre France !
    Si arrivait le pire ce serait une catastrophe pour notre pays

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