vendredi 30 juin 2023

Ce résumé de sa réunion gouvernementale du président qui se trouve acculé à des faits filmés qui ne peuvent être occultés ne sera pas à la hauteur de ce qu’attendent ses Français qui déversent leurs colères violentes car la bienpensante de nos dirigeants de donneurs leçons hypocrite qui les dédaignent et ne les écoutent pas mais le monde entier a changé et la France aussi en fait partie pas forcement en bien ?!

 

Émeutes après la mort de Nahel : les bus et les tramways s’arrêteront à 21 heures ?!

La mesure, qui concerne l’Île-de-France, a été reconduite pour la seconde soirée consécutive. Elle est valable « tous les soirs jusqu’à nouvel ordre ».

LA REUNION AVEC LE PRESIDENT EST UN PETARD MOUILLE EN PAROLE HABITUELLE IL FAUDRA ATTENDRE LE CONCRET DES MESURES MISES EN PLACE ?![jd1] 

L'essentiel

  • Des dégradations de bâtiments publics, des pillages et des échauffourées sporadiques ont secoué dans la nuit de jeudi à vendredi de nombreuses villes de région parisienne et de province pour la troisième nuit d'affilée.
  • Emmanuel Macron préside une nouvelle cellule interministérielle de crise, la deuxième en 48 heures. Dans la matinée, Élisabeth Borne a réuni plusieurs ministres à Matignon.
  • Un ambulancier qui avait invectivé un policier, et dont la scène avait été filmée, a été condamné jeudi 29 juin pour outrage. Il a été dispensé de peine.
  • Au moins 667 personnes ont été interpellées à la suite de ces violences, selon un bilan communiqué par le ministre de l'Intérieur. Selon Beauvau, 249 policiers et gendarmes ont été blessés.
  • Le policier, auteur présumé du tir, a été mis en examen jeudi et placé en détention provisoire pour « homicide volontaire ». À ce stade, la justice estime que les conditions autorisant le fonctionnaire à utiliser son arme n'étaient « pas réunies ».
  • Sur la question de l'état d'urgence, la Première ministre, Élisabeth Borne, estime que « toutes les hypothèses » sont envisagées.

13 h 01 - 875 interpellations dans la nuit du 29 au 30 juin

      Le bilan définitif du ministère de l'Intérieur fait part de 875 interpellations dans la nuit de jeudi à vendredi. La veille, 180 personnes avaient été arrêtées.       

13 h 00 - Début d'une nouvelle réunion de la cellule interministérielle de crise

      Pour la deuxième fois en moins de deux jours, Emmanuel Macron préside une cellule interministérielle de crise au ministère de l'Intérieur, à quelques dizaines de mètres de l'Élysée.      

12 h 55 - Mélenchon tacle « les élucubrations contre LFI »

      Jean-Luc Mélenchon a dénoncé vendredi « les élucubrations contre LFI », accusée depuis deux jours de ne pas appeler les jeunes de banlieue au calme après la mort de Nahel, et estimé que « l'escalade sécuritaire mène au désastre ». « Les élucubrations contre LFI ne masqueront pas la responsabilité de ceux qui ont créé cette situation », a écrit l'ancien candidat à la présidentielle sur Twitter. 

« L'escalade sécuritaire mène au désastre », a-t-il critiqué. Il faisait référence à l'augmentation du déploiement des forces de l'ordre dans la nuit de jeudi à vendredi, et aux déclarations de l'exécutif qui s'est dit prêt à adapter le dispositif de maintien de l'ordre « sans tabou », après une troisième nuit d'émeutes urbaines en France. Et le chef Insoumis de clamer : « Entendez la demande populaire. Respectez-là. Plan d'urgence justice partout. »


      

12 h 51 - Des émeutes jusqu'à quand ?

      
En raison de la « météo » et de la « période estivale » qui approche, les services de renseignements alertent sur une « multiplication des violences urbaines ».

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12 h 38 - Près de 500 bâtiments ciblés, 2 000 véhicules incendiés

      
Selon un bilan évoqué par le ministre de l'Intérieur lors d'un conseil interministériel, « il y a eu 3 880 incendies sur la voie publique ». La veille, il y en avait 2 391, précise Gérald Darmanin. « Beaucoup de bâtiments ont été atteints, 492, la nuit dernière, dont 77 attaques ciblées de commissariats et brigades de gendarmerie », insiste le ministre. Par ailleurs, près de 2 000 véhicules ont été brûlés la nuit dernière, contre 800 mercredi soir.


      

11 h 48 - Berlin « inquiet »

      Le gouvernement allemand observe « avec une certaine inquiétude ce qui se passe en France », a déclaré vendredi le porte-parole du gouvernement allemand, Steffen Hebestreit, à propos des émeutes déclenchées par la mort d'un adolescent tué par un policier. Interrogé lors d'un point presse régulier à Berlin, Steffen Hebestreit a par ailleurs indiqué qu'il n'avait pour l'instant pas d'indication d'une annulation de la visite d'État d'Emmanuel Macron en Allemagne prévue entre dimanche soir et mardi.

La Norvège, de son côté, a appelé vendredi ses ressortissants actuellement en France à éviter les rassemblements de foule en raison des violences qui secouent le pays depuis trois jours après la mort d'un adolescent tué par la police. « Il y a eu ces derniers jours des émeutes dans plusieurs endroits en France, y compris à Paris », écrit le ministère norvégien des Affaires étrangères dans un SMS envoyé aux voyageurs norvégiens qui se sont enregistrés sur une application des autorités.      

11 h 41 - « Sans tabou »

      Emmanuel Macron est prêt à adapter le dispositif de maintien de l'ordre « sans tabou », indique une source élyséenne à l'Agence France-Presse. Le chef de l'État, qui rentre à Paris avant la fin du sommet européen de Bruxelles et va présider une nouvelle cellule interministérielle de crise à 13 heures, attend que la Première ministre et le ministre de l'Intérieur « lui fassent des propositions pour faire encore évoluer et adapter » le dispositif de maintien de l'ordre, « sans tabou », a précisé une source à l'Élysée.      

11 h 33 - La mère de Nahel s'exprime

      
Jeudi 29 juin, dans la soirée, la mère de Nahel s'est exprimée. Elle appelle la justice à prononcer une peine « ferme » contre le policier poursuivi. « Il y avait d'autres manières [de l'arrêter]. Il n'avait pas à tuer mon fils. Une balle, une balle… Si près de son torse. Non, non, je ne peux pas imaginer ça. Je ne peux pas », estime-t-elle.

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11 h 21 - L'ONU enjoint à la France de s'attaquer au problème du racisme dans la police

      La France doit se pencher sur « les sérieux problèmes de racisme » chez les forces de l'ordre, estime l'ONU. « C'est le moment pour le pays de s'attaquer sérieusement aux profonds problèmes de racisme et de discrimination raciale parmi les forces de l'ordre », a déclaré Ravina Shamdasani, porte-parole du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme lors du point de presse régulier de l'ONU à Genève.      

11 h 20 - Bientôt l'état d'urgence ? « Toutes les hypothèses » sont envisagées, selon Borne

      « Toutes les hypothèses » sont envisagées pour rétablir « l'ordre républicain », déclare la Première ministre, Élisabeth Borne. Interrogée lors d'un point presse sur l'éventualité d'un recours à l'état d'urgence, la Première ministre a répondu: « Nous examinerons toutes les hypothèses autour du président de la République à 13 heures lors de la réunion qu'il va organiser. Donc je ne vais pas vous répondre maintenant. Mais nous examinons toutes les hypothèses avec une priorité, le retour de l'ordre républicain sur tout le territoire. »      

11 h 18 - Le président rentre à Paris

      Emmanuel Macron quitte le sommet européen de Bruxelles et annule sa conférence de presse finale. Le président français doit être de retour à Paris à 13 heures pour une réunion de la cellule interministérielle de crise après trois nuits consécutives de violences urbaines. Traditionnellement, le chancelier allemand représente le chef de l'État français en son absence pour la suite du Conseil européen.      

11 h 04 - Le PDG de Carrefour dans un magasin pillé

      Jeudi soir, le magasin Carrefour de Stains (Seine-Saint-Denis) a été pris pour cible. « L'émotion est vive dans tous les magasins Carrefour frappés par les violences urbaines. Si les dégâts matériels sont très importants, nous ne déplorons fort heureusement aucun blessé », tweete le patron du groupe Alexandre Bompard. « Je suis ce matin aux côtés des équipes de Stains qui sont sur le pont pour gérer l'urgence, avec courage et le soutien du groupe », ajoute-t-il.

 

Notre président donneur de leçons bienpensant hypocrite à part fustiger la populace et dénoncer ce drame en versant des larmes de crocodile habituelle envers la Mère de cet adolescent tué par un policier qui a déraillé ce qui n’est hélas qu’un prétexte pour ces trublions hyper violents pour déclencher des violences et actes de vandalismes divers ou faire leurs lois partout en France pas seulement dans des zones dites de non droit qui sont de plus en plus nombreuses que l’état dit régalien ne maitrise plus et qu’il n’aime pas dont il se fiche car n’intéressant pas notre Chef d’Etat bienpensant bon chic bon genre dérapant aussi quelque fois en langage de dédaigneux voir insultant envers ces Français lambda pas de son monde de petit bourgeois parvenu ce prenant pour un monarque sans couronne !?

Il est revenu enfin en France « car le torchon brule partout dans notre pays » pour encore bavarder car incapable d’idées constructives pour décider ou agir sur ce problème insurrectionnel  et d’autres sociétaux entamés depuis 2018 et loin d’être réglés voir entamés lors de réunions stériles avec ses gouvernements voire interministériels bidons concernés car lui est incapable d’agir et décider fermement pour autant il a trop de pouvoirs que les Français lui ont donné dans cette V eme république en déshérence !?

Sans compter par exemple la loi pour l’immigration repoussée par ce gouvernement de pleutres et le racisme en augmentation importante voir la sécurité quotidienne qui n’est plus assurée car mal protégée ni gouvernée par nos élus gouvernementaux !?

Jdeclef 30/06/2023 14h10CLP

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1 commentaire:

  1. La réunion du président est un pétard mouillé de plus il a repassé la patate chaude à sa 1ere ministre servile pour les mesures (décidées) par lui ? Car elle est à son service et ce gouvernement va attendre que cela se calme comme d'habitude et en rejetant la responsabilité sur les parents ou éducateurs de ces jeunes mineurs mais aussi les majeurs qui pillent ou encadre cette voyoucratie car ces trublions ne craignent pas les forces de l'ordre ni la justice ou tout le monde dans notre société française tous rejettent les fautes les uns sur les autres et notamment chez nos élus de tous bords !

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