vendredi 1 août 2014

FAIT DIVERS DANS LE MONDE DE LA POLICE DE HAUT NIVEAU AU SIÈGE DE LA POLICE CRIMINELLE LES POLICIERS NE SONT PAS DES SAINTS…

Le bâtiment de la police au 36 Quai des Orfèvres à Paris le 26 avril 2014.

Le 36 quai des Orfèvres perquisitionné après la disparition de 50 kilos de cocaïne

POLICE - La perquisition est menée dans les locaux de la brigade des stup' par l'Inspection générale de la police nationale, la «police des polices»..
Une disparition embarrassante. Une perquisition avait lieu ce jeudi soir dans les locaux de la brigade des stupéfiants, au siège de la police judiciaire du 36 Quai des Orfèvres à Paris, après la disparition de quelque 50 kg de cocaïne qui auraient pu être dérobés, a-t-on appris de sources proches de l'enquête.
Selon les premiers éléments de cette enquête, les hommes de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN, la «police des polices») enquêtent sur cette disparition, survenue vraisemblablement entre le 23 juillet et jeudi, jour où elle a été découverte. Elle était encore là le 23 juillet, selon ces sources, et elle n'y était plus jeudi, quand sa disparition a été constatée. Selon RTL, la drogue avait été saisie au début du mois après le démantèlement d’un réseau de trafiquants.

Une disparition de drogue «inédite»

Une enquête a été aussitôt ouverte, qualifiée de très sensible en l'état des investigations. «Toutes les hypothèses sont ouvertes» à cet égard, dont celle d'un vol, ce qui serait, pour les habitués des lieux, «inédit», «sans précédent», selon les mêmes sources. Cela restait en tout cas un mystère jeudi soir.
La «police des polices» a déployé les grands moyens, ratissant tous les recoins du siège de la PJ parisienne, le célèbre 36 Quai des Orfèvres, où se trouve le siège de la brigade des stup' mais aussi celui de la criminelle.  La fouille était opérée avec l'aide de chiens spécialisés dans la recherche de drogue.

Pas d'interpellations «à ce stade»

Dans un communiqué diffusé dans la soirée, la préfecture de police de Paris, dont dépend le «36», a confirmé l'affaire. «Informé de la disparition de 51 kg de scellés de cocaïne à la brigade des stupéfiants» de la PJ parisienne, dit le texte, «et parallèlement à l'enquête judiciaire ouverte par le parquet de Paris, le préfet de police a immédiatement saisi l'IGPN d'une enquête administrative». Une source a précisé, peu avant 22h, qu'il n'y avait pas eu «à ce stade» d'interpellations.

Le plus étonnant c'est que cette affaire soit divulguée sur la place publique par la presse!

Une bonne vieille affaire de ripoux en gestation, car 50 kg de drogue cela ne disparait pas comme cela..?

En tout cas cette drogue n'est pas perdue pour tout le monde...


Société en pleine décadence, flics douteux ou pourris, politiciens élus ou non véreux, fonctionnaires corrompus, etc etc...


Dans la suite logique des choses "tout le monde en croque" le tout étant de ne pas se faire prendre et pour le fin mot de cette histoire on ne saura rien de précis comme d'habitude!

jdeclef01.08.2014 -

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire