samedi 30 août 2014

ON CROYAIT CE PROBLÈME DE SALLE DE SHOOT ENTERRÉ HÉLAS NON, IL RESSORT ? VRAIMENT TOUT VA MAL EN FRANCE !

une ancienne école du quartier de sainte Marthe est squatée par des toxicomanes qui se piquent dans des conditions d' hygiène déplorables à Marseille, en 2013.

L'expérimentation des «salles de shoot» durera six ans

SANTE - Le ministère de la Santé prévoit une expérimentation de salles de consommation de drogue à moindre risque (SCMR), parfois appelées "salles de shoot" pendant une durée de six ans…
L’avant-projet de loi relatif à la santé précise dans son article 8 que, «à titre expérimental et pour une durée de six ans» des centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques pour toxicomanes mettront en place un espace de consommation de drogues supervisée.

Accueil des usagers de stupéfiants

«Dans cet espace, sont accueillis des usagers de stupéfiants et d’autres substances psychoactives, majeurs, qui apportent et consomment sur place ces produits, sous la supervision» de professionnels de santé et du secteur médico-social, précise le texte.
La supervision, ajoute l’avant-projet, consiste à «mettre en garde les usagers contre les pratiques à risques, à les accompagner et leur prodiguer des conseils» sur les modalités de consommation des drogues, «afin de prévenir ou de réduire les risques de transmission des infections et les autres complications sanitaires», sans que les professionnels participent «aux gestes de l’injection». Une évaluation de l’expérimentation aura lieu six mois avant la fin.

Une loi avant toute expérimentation

Le projet de loi doit être présenté en Conseil des ministres en septembre, pour un examen au Parlement début 2015. Les centres qui mettront en place ces «salles de shoot» seront désignés par arrêté du ministre chargé de la Santé.
Un centre devait voir le jour l’an dernier près de la gare du Nord à Paris, mais avait été reporté sine die en octobre quand le Conseil d’Etat a recommandé, en préalable à toute expérimentation, l’adoption d’une loi, afin d’assurer une meilleure garantie juridique au dispositif.

Protéger des «risques sanitaires de l’injection»

Le gouvernement avait donné en février 2013 son feu vert à l’expérimentation de la salle, destinée aux toxicomanes précarisés, qui se shootent dans la rue, les sanisettes, parkings ou halls d’immeubles, dans des conditions d’hygiène déplorables.
Dans son exposé des motifs, le ministère rappelle que de telles salles existent dans plusieurs pays européens (Allemagne, Luxembourg, Espagne, Suisse) et que «leur bilan est positif pour protéger» les toxicomanes «des risques sanitaires de l’injection». Ces salles ont aussi pour objectif de «réduire les nuisances dans l’espace public», précise-t-il.

Cela correspond à cacher la misère de tous ces drogués et les faciliter à s'empoisonner à l'abri du regard des autres, plutôt que de vraiment les soigner!

Et cela coutera bien sur fort cher à la collectivité bien sur sans résultat sur la diminution des drogués!

Quelle hypocrisie de plus, cacher ce que l'on ne veut pas voir, c'est plus simple que de combattre le mal et dans peu de temps on passera à la libéralisation du cannabis en plus, question de temps...

On fait des campagnes anti-tabac plus marquantes, que des campagnes anti drogue pourquoi?


Pour entretenir les trafics de drogues de tout ordres ou des lobbies divers qui en plus entretiennent des mafias diverses qui règlent leur comptes à coup d'armes à feu de plus en plus et qui alimentent petite ou moyenne délinquance et grand banditisme ainsi qu'insécurité le tout pas assez réprimé d'ailleurs!

Nos gouvernements depuis des décennies quelque soit leurs bords politiques pousse ce type de problème de drogue comme "la poussière sous le tapis" les salles de shoot en sont un exemple de plus!

jdeclef30.08.2014 -

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire