mardi 13 juillet 2021

Ce président « dit » nouveau, a semble-t-il fait un discours bien tourné et Alambiqué mais ce n'est que de la communication habituelle représentant son indécision et imprévoyance !


 

Coignard – Macron : après le « je », le « nous »

CHRONIQUE. « Nous », « ensemble », « collectivement », autant de termes employés abondamment pour tenter d’impulser un élan, malgré tout…

Le Nouvel An en plein été. Cette allocution présidentielle, la huitième par temps de Covid-19, avait presque des allures de vœux pour l’année nouvelle. Il y en a eu un peu pour tout le monde. Les soignants, les entreprises, les Français au travail, les jeunes, les vieux, les femmes… Personne n’a été oublié dans ce discours de la relance dans tous ses états.

Emmanuel Macron s’est montré fidèle à lui-même, et au diptyque « libérer-protéger » qu’il répète depuis le premier jour de sa campagne victorieuse en 2017. Avec toutefois une très nette inflexion, dans laquelle le « je » s’efface devant le « nous ». Un point, d’abord, sur l’état du pays : « La vie, malgré tout, a pu continuer. Parce que nous nous sommes organisés, collectivement. » Les écoles, collèges et lycées ont fermé leurs portes 12 semaines depuis le début de l’épidémie contre 56 aux États-Unis et 34 en Allemagne. « Nous pouvons être fiers de ce choix collectif », dit le président. Et d’ajouter, un peu plus tard, à propos du « quoi qu’il en coûte » : « Nous avons eu raison de rechercher collectivement cet équilibre entre la protection et la liberté […]. Cette situation maîtrisée est le résultat de nos choix, de nos efforts. » Le manque de matières premières, la pénurie de main-d’œuvre ? Il faudra « tout faire, ensemble, pour y remédier […]. Si nous nous mobilisons pour nous vacciner et pour relancer l’économie, alors nous serons en mesure, en septembre, de préparer collectivement notre avenir. »

L’été de la relance… dans tous ses états

Cet été sera donc, dit le chef de l’État, non pas celui d’un nouveau repli face à l’épidémie, mais celui de la relance. Relance sanitaire, tout d’abord, via l’annonce de l’obligation vaccinale pour les soignants et pour tous ceux qui se trouvent en contact avec des personnes à risque. Avec, aussi, l’objectif enfin avoué de tout faire pour conduire le plus grand nombre à la vaccination, avec l’élargissement du pass sanitaire : « Partout, nous aurons la même démarche : reconnaître le civisme et faire porter les restrictions sur les non-vaccinés plutôt que sur tous. » C’est clairement dit et assumé, avec raison.

Macron : « Faites-vous vacciner », le tube de l’été

Relance économique, ensuite, avec 40 milliards d’euros mobilisés sur le terrain. Et la perspective d’une plus grande indépendance face à l’étranger en termes industriels et technologiques… La réforme des retraites est abandonnée sans l’être, puisque les consultations vont se poursuivre… et que rien ne peut être décidé avant la fin de la pandémie. Un sursis donc, qui permet de sauver la face réformatrice et de ne pas sembler renoncer.

Relance politique, enfin, avec en ligne de mire la présidence française de l’Union européenne pour le premier trimestre 2022. Et l’espoir que l’appel à la vaccination porte ses fruits, de manière à pouvoir profiter du rebond économique.

Macron : la réforme des retraites attendra

« À la rentrée, nous aurons rendez-vous avec notre avenir », dit Emmanuel Macron… qui pourrait, en l’espèce, parler aussi à la première personne du singulier. C’est à partir de septembre que se dessinera sa capacité, ou non, à prétendre à un second quinquennat, pari que n’a pu tenir aucun de ses prédécesseurs.

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Il a commencé celui-ci en faisant de l'autosatisfaction habituelle sur ce qui a été fait (plutôt mal fait) depuis le début de cette pandémie mondiale, mais mal gérée par son gouvernement de fonctionnaires kafkaïens bornés et lui-même !

Pour la suite et notamment cette vaccination qui devient de fait obligatoire à court terme, il a repris sa casquette de pseudo dirigeant pleutre donneur de leçon en menaçant les non vaccinés à demi-mot de sanction et en trainant cette mesure qui aurait dû déjà être prise bien avant l’automne, ce qui est bien tard car représentant l’inertie de nos dirigeants, gouvernements et la machine lourde étatique kafkaïenne qu’il faut encore consulter conseil d’état conseil constitutionnel etc. lourdeur d’un état de droit qui n’est pas capable de gérer dans l’urgence des problèmes graves sociétaux, encore plus de santé pour la vie de tous les français, car les virus ne font pas de tri dans la population pour la contaminer et eux ne perdre pas de temps !

Dépendre d’un président qui s’écoute parler manquant de décisions et actions rapides de bienpensant donneur de leçon se prenant pour un monarque sans couronne sachant tout est désespérant et inutile car ressemblant à ceux de l’ancien régime qui ont fait notre histoire ancienne dont on n’a pas réussi à se débarrasser malgré 1789 et notre révolution !

Et comme les français sont versatiles partisans du chacun pour soi, car trop gâtés cela ne peut faire avancer la France et les français !

Les derniers quinquennats ont montré la médiocrité de nos élus au plus haut de l'état !

Jdeclef 13/072021 11h34

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