Par rapport à RIO, il en manque encore, dite : « 33 » comme le docteur ce qui fait beaucoup ...? (Optimisme devenant un miracle...)

 

JO 2020 : toutes les médailles obtenues par la délégation française

Il y a 5 ans, la France avait obtenu 45 médailles à Rio. Cette année, après quelques jours de compétition, elle en a déjà récolté 11…

Les Jeux olympiques devaient initialement se dérouler en 2020. Mais en raison de la pandémie de Covid-19, ils ont été repoussés d’un an. Après quelques jours de compétition, la délégation française a déjà vécu de vives émotions avec de nombreuses médailles au compteur. Voici les champions français.

Or

Romain Cannone, escrime. L’épéiste Romain Cannone a décroché, dimanche 25 juillet 2021, à 24 ans, la première médaille d’or française des Jeux olympiques de Tokyo en battant en finale le Hongrois Gergely Siklosi 15 touches à 10. Cannone, sélectionné à la dernière minute pour les JO de Tokyo, a permis à l’escrime française de remporter son premier titre en individuel depuis le fleurettiste Brice Guyard à Athènes en 2004.

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« Tu peux respirer, tu l’as fait, ici, au Japon »

Clarisse Agbegnenou, judo. La judoka de 28 ans a remporté une médaille d’or, après sa victoire en finale de la catégorie des - 63 kg au golden score. Elle s’est brillamment illustrée face la Slovène Tina Trstenjak, qui l’avait battue en finale aux Jeux olympiques de Rio en 2016. Une belle revanche. « Je me suis dit “Clarisse, ça y est, c’est fini. Tu peux respirer, tu l’as fait, ici, au Japon”, a témoigné la jeune femme, peu après son combat, comme le relaye Le Monde. C’est la concrétisation de toutes ces années de travail, de douleur, de peine, de sourire, de joie, d’amour et de haine. »

Matthieu Androdias et Hugo Boucheron, aviron. Sixièmes à Rio en 2016, les deux rameurs français ont pris leur revanche, avec un record olympique à la clé en aviron deux de couple. En dominant les autres favoris de la course, les champions du monde chinois et les Néerlandais, en 6’00’’33, Hugo Boucheron et Matthieu Androdias ont débloqué le compteur de l’aviron des Bleus avec le plus beau des métaux. Un sacre olympique après lequel la France courait depuis près de dix-sept ans et le dernier titre en deux de couple d’Adrien Hardy et Sébastien Vieilledent, à Athènes, en 2004.

Argent

Amandine Buchard, judo. Numéro 2 mondiale, la jeune femme de 26 ans a réussi à obtenir une place en finale de la catégorie des – 52 kg, avant d’être finalement vaincue par la Japonaise Ura Abe, sur immobilisation. C’est donc une médaille d’argent qu’elle offre à la France. « Je pense que cette médaille je vais l’apprécier. Mais mon rêve, c’était d’être championne olympique », a-t-elle confié à l’Agence France-Presse. Et de conclure, en référence à son adversaire : « On va essayer d’être championne à Paris. Je lui ai laissé son titre à la maison, je vais aller chercher le mien chez moi. »

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Sarah-Léonie Cysique, judo. La jeune Tricolore de 23 ans s’est inclinée en finale de la catégorie des – 57 kg. C’est la Kosovare Nora Gjakova qui a remporté la victoire. La Française a été sanctionnée d’un carton rouge, pour un geste jugé dangereux. « Ma famille doit hurler devant cette injustice », a confié au Figaro celle qui a très mal vécu sa disqualification aux portes de la finale. Et de conclure, avec amertume : « Je trouve ça un peu injuste, mais c’est la décision de l’arbitre. »

Madeleine Malonga, judo.Numéro un mondial dans la catégorie -78 kilos, la vice-championne du monde 2021 n’a pas réussi à remporter l’or jeudi 29 juillet face à la Japonaise Shori Hamada, qui l’a rapidement immobilisée. « Il n’y avait que l’or qui m’importait », a ainsi regretté la Française, qui se projette déjà vers les prochains Jeux olympiques. « Ça va me motiver pour Paris-2024 et gagner cette médaille d’or olympique. »

Claire Bové et Laura Tarantola, aviron. Les deux Françaises sont ravies. Cette médaille d’argent est la première depuis 1996 et les JO d’Atlanta pour un équipage féminin français. « On est carrément contentes de montrer que les filles aussi peuvent gagner des médailles », a insisté Claire Bové. La finale de jeudi 29 juillet a en effet été indécise jusqu’au bout dans la catégorie des deux de couple poids légers.

Anita Blaze, Astrid Guyart, Pauline Ranvier et Ysaora Thibus, escrime. Si elles ont été décevantes en individuel, les quatre Françaises ont été conquérantes en équipe. Les fleurettistes ont réussi à décrocher jeudi 29 juillet la médaille d’argent, en perdant face aux Russes. Un premier podium olympique pour l’équipe de France féminine de fleuret depuis les Jeux de Los Angeles en 1984.

Bronze

Luka Mkheidze, judo. Natif de Géorgie, le judoka Luka Mkheidze (- 60 kg) a offert à la France sa première médaille des Jeux olympiques de Tokyo en décrochant le bronze samedi 24 juillet, au Nippon Budokan. L’athlète, âgé de 25 ans, participe cette année à ses premiers Jeux olympiques. Il a obtenu sa sélection sur le fil, rappelle l’Agence France-Presse, grâce à sa médaille d’argent obtenu lors des championnats d’Europe qui étaient organisés à Lisbonne au mois d’avril.

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« J’ai mal de partout, mais je suis contente »

Manon Brunet, escrime. La sabreuse de 25 ans a pris sa revanche. La jeune femme a remporté la médaille de bronze au tournoi olympique de sabre, cinq ans après un difficile échec au pied du podium, à Rio. Elle a largement dominé son adversaire, la Hongroise Anna Marton. Une belle victoire pour la Lyonnaise. « J’étais tellement déçue après la demie, a-t-elle confié au micro de France Télévisions, peu de temps après avoir décroché sa première médaille olympique. J’ai dit à tout le monde que je ne pouvais pas aller chercher le bronze. Toute l’équipe m’a dit de souffler, de pleurer, d’oublier Rio. Mon copain m’a dit : “Prouve-moi que tu m’aimes”, il m’a mis la pression ! Je suis soulagée, j’ai mal de partout, mais je suis contente. »

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Althéa Laurin, taekwondo. Âgée de seulement 19 ans, l’athlète que l’on attendait surtout pour les Jeux olympiques de Paris 2024 a remporté sa première médaille olympique, le bronze, à l’occasion de la petite finale des + 67 kg. En face, l’Ivoirienne Aminata-Charlène Traoré (17-8) s’est inclinée. Une jolie victoire pour celle qui était censée faire du karaté, rappelle l’Agence France-Presse. Alors qu’elle était âgée de sept ans, la fillette devait s’inscrire dans cette discipline, à Épinay-sur-Seine. Mais un problème dans la file d’attente l’a orientée vers le taekwondo… Et a changé son destin !

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Ces dernières nuits et journées de ces J.O. au JAPON ont montré la faiblesse de nos sportifs espoirs déjà titrés pour certains auparavant à RIO ?!

Car la 1ere semaine donne le ton de ces J.O. pour nos sportifs en demi-teinte...

Par le décompte des médailles d'or, mais surtout beaucoup de ses athlètes qui finissent au mieux 2eme en argent ou 3eme en bronze voir au pied du podium 4 eme !

Certains diront que c’est à cause de la pandémie et du covid, mais tous les pays sont logés à la même enseigne (comme cette pandémie mal gérée et vaccination bâclée par notre gouvernement médiocre et nos dirigeants pleutres bien-pensant donneurs de leçons qui ne motivent pas assez nos sportifs !)

Maintenant l’espoir est tourné vers 2024 à PARIS et peut être un changement politique en 2022 !?

Mais un grand merci à nos sportifs qui nous ont fait vibrer devant nos écrans de télés et dans les lieux où ils concouraient où ils n’avaient pas de public pour les soutenir en espérant une meilleure 2eme semaine !

Jdeclef 30/07/2021 11h11