dimanche 25 juillet 2021

Que peut-il faire que de rabâcher de se faire vacciner sans arguments tranchants qui pourtant existent ?!

 

Emmanuel Macron lance un nouvel appel à la vaccination

Le président de la République effectue son premier déplacement en Polynésie française durant quatre jours, sur quatre îles de l’archipel.

 

Après le Japon, Tahiti. Emmanuel Macron a quitté Tokyo, où il a assisté, notamment, à des épreuves olympiques, et est arrivé samedi après-midi à Papeete (dimanche matin à Paris), sur l’île de Tahiti, pour un déplacement de quatre jours en Polynésie française. Le président de la République a prévu d’entamer sa visite par un hôpital et de se rendre dans quatre îles. Emmanuel Macron a été accueilli par deux Orero, Tekava Dauphin et Tuariki Teai, des artistes spécialisés dans l’art déclamatoire en tahitien. Les adolescents lui ont souhaité la bienvenue en soulignant que le peuple polynésien « attendait ses paroles » et « croyait en l’espérance ». Le président, dont c’est le premier déplacement dans cet archipel du Pacifique Sud, avait dû reporter une visite prévue en 2020 en raison de l’épidémie de Covid-19. En rencontrant pendant son séjour les équipes soignantes de l’hôpital, il veut donc « réaffirmer la solidarité nationale durant la crise », mais également « insister sur la nécessité de la vaccination », assure l’Élysée.

« La liberté où je ne dois rien à personne n’existe pas »

Le chef de l’État a d’ailleurs commencé sa visite par un nouvel appel à la vaccination contre le virus. « Je veux lancer un message très fort pour appeler chacune et chacun à se faire vacciner parce qu’on le voit sous toutes les latitudes : quand on est vacciné, on est protégé et on ne diffuse quasiment plus, en tout cas beaucoup moins, le virus », a déclaré Emmanuel Macron face aux soignants du centre hospitalier de la Polynésie française. Il s’est ainsi « félicité » que la France se prépare à passer « sans doute dans les prochaines heures le cap des 40 millions de primo-vaccinés », ce qui ne semblait pas possible « avant plusieurs semaines ». « Il y a une forte accélération, on doit continuer, car il y a encore des doses (de vaccin) disponibles », a-t-il insisté.

Tahiti à contre-courant

« Chacune et chacun est libre de s’exprimer dans le calme, dans le respect de l’autre », a-t-il souligné. Mais « la liberté où je ne dois rien à personne n’existe pas » et celle-ci « repose sur un sens du devoir réciproque ». « Si demain vous contaminez votre père, votre mère ou moi-même, je suis victime de votre liberté alors que vous aviez la possibilité d’avoir quelque chose pour vous protéger et me protéger. Et au nom de votre liberté, vous allez peut-être avoir une forme grave (du virus) et vous allez arriver à cet hôpital. Ce sont tous ces personnels qui vont devoir vous prendre en charge et peut-être renoncer à prendre quelqu’un d’autre (…) Ce n’est pas ça la liberté, ça s’appelle l’irresponsabilité, l’égoïsme », a-t-il argumenté. Il a en outre appelé à ce que le débat parlementaire sur le pass sanitaire, qui se prolongeait dimanche, « se fasse dans l’apaisement et l’efficacité », « jusqu’à ce que nous ayons un texte dûment voté qui sera soumis au Conseil constitutionnel ».

Le Covid-19 a fait 145 morts en Polynésie française, où il est plus difficile à contrôler en raison de la dispersion des 118 îles et atolls et de la prévalence des comorbidités, comme le diabète, l’obésité et les maladies cardio-vasculaire. Au terme de sa visite de l’hôpital, le chef de l’État a annoncé aux soignants un « renforcement de la stratégie cancer » en Polynésie avec de nouvelles coopérations, par exemple avec le CHU de Bordeaux. Il n’a pas annoncé de création d’un Institut du cancer, comme l’espérait le gouvernement local.

L’héritage empoisonné des essais nucléaires

Si la Polynésie est une collectivité régie par un statut particulier datant de 2004 et qui est compétente en matière de santé, c’est sur l’État que repose la gestion de crise et les mesures restrictives. L’État français a fourni plus de 224 000 doses de vaccin aux Polynésiens, mais selon la direction de la Santé, seules 83 210 personnes avaient reçu au moins une dose de vaccin au 23 juillet. Pour Makau Foster, figure locale de la danse tahitienne interrogée vendredi à Papeete, « c’est bien que le président vienne nous rendre visite », notamment « pour voir que les Tahitiens sont mitigés sur le vaccin ». L’autre préoccupation des habitants de cet archipel grand comme l’Europe est l’héritage empoisonné des essais nucléaires menés par l’État français de 1966 à 1996. Le Collectif du 17 juillet prévoit au moins trois manifestations durant la visite du chef de l’État, dont une aux alentours de l’aéroport, samedi après-midi.

« La Polynésie a quand même prêté son île pour des essais nucléaires pour la métropole et je pense que c’est normal qu’il vienne s’intéresser à l’après-nucléaire. Surtout qu’ici nous avons quand même beaucoup de gens qui ont des soucis de santé », assure Sylvana Deane, créatrice de bijoux installée à Papeete. « Selon nos données de la Caisse de prévoyance sociale [Sécurité sociale locale, NDLR], les femmes polynésiennes, entre 40 et 50 ans, ont le taux de cancer de la thyroïde le plus important du monde », explique Patrick Galenon, ex-président du conseil d’administration de la CPS.

Essais nucléaires : l’armée au courant des nuages radioactifs ?

Défis climatiques

La thyroïde étant un organe très sensible, les rayons ionisants ont, selon Patrick Galenon, un effet important in utero et dans les premières années après la naissance. Il estime que la CPS a dépensé 670 millions d’euros pour les maladies radio-induites depuis 1985, et souhaite le remboursement de ces dépenses par la France. « C’est une demande qui nous paraît légitime pour les victimes ayant fait l’objet d’une indemnisation par le Civen (Comité d’indemnisation des victimes des essais nucléaires) », a répondu le ministre de la Santé, Olivier Véran, au début du mois de juillet, lors de la tenue d’une table ronde sur les conséquences des essais nucléaires, à Paris.

Heurs et malheurs du nucléaire français – La crise de confiance

Les sommes prises en charge seraient cependant minimes si elles ne concernaient que les victimes déjà indemnisées. En revanche, Olivier Véran s’est engagé à financer la recherche sur ces cancers, et aussi à faciliter les indemnisations des victimes en simplifiant les démarches administratives. Le ministre a aussi proposé un soutien médical à travers des postes d’internes en médecine. Les engagements évoqués lors de cette table ronde devraient être précisés par le chef de l’État lors de cette visite. Au cours de ces quatre jours, Emmanuel Macron se rendra sur l’île d’Hiva Oa pour appuyer la candidature des Marquises à l’inscription au patrimoine mondial de l’Unesco, et sur l’atoll de Manihi dans les Tuamotu où il visitera une centrale électrique hybride (photovoltaïque/diesel) qui a permis de faciliter l’électrification de l’atoll. Il aura l’occasion d’évoquer l’importance stratégique de l’archipel, et également les défis climatiques qu’il rencontre.

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Pour convaincre alors que le bon sens n'est plus dans l'attitude bornée de certains français lambda influencés par des trublions politiciens extrémistes et autres qui ne font que de la politique politicienne habituelle, pour phagocyter (accaparer/escamoter) l’élection présidentielle !?

Pendant ce temps-là, il se promène dans ce périple au bout du monde aux allures de vacances qu’on lui offre en passant par les jeux olympiques puisqu’il est notre président élu, on comprend pourquoi puisqu’en 2024 ils seront en France et il pense à sa réélection comme d’autres politiciens élus de tous bords pour le battre en 2022 !

Quant à la pandémie gestion ratée, il ne peut faire plus, que ce qu’il n’a pas réussi fiasco complet de par cette vaccination bâclée qu’il n’a pas eu le courage de rendre obligatoire sous prétexte de liberté réclamée par certains trublions que l’on reconnait style « gilet jaune » qu’il n’a pas pu réguler depuis leur création et qui ont marqué la décadence de son quinquennat médiocre dont certains se servent contre lui !

Mais ce pseudo monarque sans couronne aveuglé par son égo comme d’autres de nos présidents avant lui ne confirme que la médiocrité de ces politiciens de tous bords !

Comme on n’est pas dans notre pays géré comme dans une société par action professionnelle commerciale ou les actionnaires peuvent destituer leurs PDG, il faut attendre la nouvelle élection en 2022 !?

Faut-il que les actionnaires plutôt les français lambda apprennent à voter mieux que d’habitude (en écartant les leaders de certains partis ringards que l’on retrouve à chaque élections) ce qui semble mission impossible étant donné la versatilité des français qui font le bonheur de ces politiciens de tous bords !

Cà fait 40 ans que cela dure avec manifestations anarchiques violentes en plus, ils ont ce qu’ils méritent....

Jdeclef 25/07/2021 13h30LP


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