Emmanuel
Macron dénonce le « cynisme politique » de ceux qui crient à la
« dictature »
Le chef de
l’État, qui s’exprimait jeudi en marge de la 18e étape du Tour de
France, a fustigé le « cynisme » d’une partie de la classe politique.
Emmanuel Macron
a laissé échapper sa colère. Le chef de l’État a dénoncé, jeudi
15 juillet 2021, le « cynisme politique » de certains qui
dénoncent une « dictature », après les mesures sur l’extension du pass
sanitaire, en estimant qu’ils font « courir des risques au pays ».
« On a des gens aujourd’hui qui, avec beaucoup de cynisme politique, utilisent
la peur de certains ou la confusion qui peut naître sur certains sujets, les
fausses informations qui sont véhiculées, pour en faire un projet
politique », a déclaré le chef de l’État devant la presse, après l’arrivée
de la 18e étape du Tour de France à Luz-Ardiden (Hautes-Pyrénées).
« Je pense que ce cynisme doit être âprement combattu parce qu’il fait
courir des risques au pays », a-t-il poursuivi.
Pour le président de la République, « il y a des débats sur
tous les sujets, on en vit en permanence, mais si on vide les mots de leur
sens, le risque qu’on court c’est de menacer notre démocratie
elle-même ». « Il y a une utilisation politique » du mot
dictature « par certains », mais « c’est un devoir civique,
quelles que soient les opinions politiques qu’on a, qu’on soit responsable
politique, journaliste, intellectuel ou autres, […] de ne jamais tomber
dans l’utilisation de ces mots », a-t-il insisté, soulignant que
« certains s’y sont prêtés en d’autres temps, avec beaucoup de
facilités ».
« Une dictature, ça n’est pas ça »
« Non une dictature, ça n’est pas ça », a-t-il
martelé. « C’est pas un endroit où toutes vos libertés sont maintenues,
où on a maintenu tout le cycle électoral, […], où vous pouvez exercer vos
droits, où on rembourse tous vos tests, où le vaccin est gratuit, […] ça
s’appelle pas une dictature, je pense que les mots ont un
sens. » « Il y a des oppositions qui existent, que je
comprends tout à fait, que je respecte […], mais quand on a les armes, on ne
peut pas décider délibérément de ne pas les utiliser contre ce virus »,
a-t-il insisté.
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Il
n’a pas tellement tort, quand il dénonce le cynisme de certains que l’on
connait toujours les mêmes qui parlent de dictature, car ils ne connaissent pas
les pays totalitaires ou certains dictateurs connus répriment toutes
oppositions et jettent les manifestants en prison sans vergogne, quand ils
protestent !
Car
chez nous on a le droit de manifester pour tout et n’importe quoi quelque soit
les sujets de sociétés et autres, mais comme le président se prend pour un pseudo
monarque sans couronne digne de l’ancien régime qu’on a élu et à qui on a donné
trop de pouvoir, dont on n’arrive pas à se débarrasser, de par notre histoire
ancienne, malgré la révolution de 1789 et l’empire français et cette V eme
république obsolète qui ne convient plus aux français lambda de par une
démocratie qui s’érode !
Petit
à petit on glisse vers une démocrature qui ne veut pas dire son nom comme dans
d’autres grands pays connus !?
Mais
pour ce problème de crise sanitaire et pandémie mal gérée et la vaccination bâclée,
il devait prendre une décision ferme, car il a trop tergiversé et c’est déjà
bien tard, depuis le début de la pandémie avec ses erreurs et donc comme moi d’autres
dénonce cette mauvaise politique politicienne en y ajoutant sa campagne
présidentielle, car son gouvernement et son 1er ministre servile ont
mélangé les deux au lieu de faire la priorité à la santé des français dont
110000 ont déjà perdu la vie !
Jdeclef
16/07/2021 13h40
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