Monde
Donald Trump
refuse de prendre ses distances avec un ancien du Ku Klux Klan... et cite
Mussolini
ÉTATS-UNIS Donald Trump a
passé un très bon dimanche médiatique...
Alors que le «Super
Tuesday» est au tournant, Donald Trump n’en loupe jamais une pour
faire parler de lui, et ce dimanche a donc été une « bonne » journée.
Invité sur plusieurs plateaux de télé américains, le candidat républicain a été
questionné sur le soutien que lui a apporté David Duke, ancien dirigeant du Ku Klux Klan et défenseur de la théorie de la
supériorité de la race blanche.
Des propos ambigus
Après avoir désavoué
ce soutien vendredi, il semble avoir depuis changé d’avis. « Je ne connais
rien de David Duke, a-t-il rétorqué sur CNN. Je ne connais pas ce groupe. Vous
ne voudriez pas que je condamne un groupe dont je ne connais rien. Il faudrait
que je me renseigne. » Des propos ambigus condamnés par trois de ses
concurrents en lice pour l’investiture républicaine : Ted Cruz, John
Kasich et Marco Rubio.Mais ce n’est pas tout. Donald Trump a également été mis en cause pour un message publié sur Twitter, une citation attribuée à Benito Mussolini : « Il vaut mieux vivre un jour comme un lion que 100 ans comme un mouton ». Avec son assurance coutumière, il a défendu son geste et expliqué qu’il ne s’intéressait pas à l’auteur mais à la phrase en elle-même. Ce sont en fait des journalistes du site américain Gawker qui ont créé le compte Twitter @ilduce2016 pour piéger Donald Trump et prouver qu’il retweeterait tout et n’importe quoi tant que cela ressemble à un éloge de sa personne.
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Chez les extrémistes et candidats
politiciens US qui font leurs shows, les outrances sont forcément exacerbées !
Il fait penser à notre vieux (LE PEN du FN) comme lui raciste, anti
immigration, excessif, grande gueule, pro nationaliste, etc, mais avec
nettement plus de fric et une mise en scène à l'américaine qui crève les écrans
des médias et puis forcement (une liberté
de parole style US, bien plus libre qu'en France par exemple)
Aux USA, tant de présidents atypiques ont
été élus, on ne peut s'étonner de rien, toutefois avec le système électoral US
et la désignation finale du candidat de chaque camps républicain/démocrate,
rien n'est fait, car il reste l'élection véritable dans les urnes du peuple qui
bien qu'arrivant en dernier peut encore changer la donne !
Nous verrons si le peuple se fera
manœuvrer comme d'habitude (un peu comme
chez nous en France par ce spectacle de music-hall politique style Disneyland !?)
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