OSCE : une rémunération de 122 195 euros par
an pour Harlem Désir
L'ancien membre du gouvernement de Hollande est nommé
sous-secrétaire général de l'ONU avec un confortable salaire, révèle
"L'Opinion".
L'ancien premier
secrétaire du Parti
socialiste a trouvé un nouveau poste. La
nomination d'Harlem Désir
au poste de représentant pour la liberté des médias au sein de l'Organisation pour la sécurité et
la coopération en Europe est intervenue
le 18 juillet après un consensus des « États membres de
l'OSCE », explique L'Opinion
. Deux mois après la fin de la présidence de François Hollande, l'ancien secrétaire
d'État aux Affaires européennes a donc trouvé
comment rebondir.L'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe a un système de rémunération basé sur celui de l'Organisation des Nations unies « pour les membres de ses équipes », précise-t-elle à L'Opinion. Concrètement, cela signifie que les trois dirigeants à la tête des trois institutions que compte l'OSCE (responsable du Bureau des institutions démocratiques et des droits de l'homme, représentant pour la liberté des médias et haut commissaire pour les minorités nationales) ont le rang de sous-secrétaire général de l'ONU.
Pas d'impôts
sur le revenu
Et la rémunération qui va avec,
soit 122 195 euros annuels, selon les calculs de L'Opinion. Le quotidien explique
aussi que les États membres de l'organisation se sont mis d'accord
pour que le salaire versé aux employés de l'ONU soit non imposable. Pour
son « temps plein », Harlem Désir va donc toucher en moyenne
plus de 10 180 euros par mois, exempté d'impôts,
contre 9 440 euros brut mensuels quand il était encore ministre
du gouvernement de Manuel Valls.
Le seul problème c'est que ce politicien est d'une nullité extrême !
Issu de cette association "touche pas à mon pote" comme président de celle-ci, mauvais 1er secrétaire du PS , député européen nommé ensuite secrétaire d'État chargé des Affaires européennes dans le gouvernement Valls I, à la suite de la nomination de Matthias Fekl au ministère de l'Intérieur, en raison de la démission de Bruno Le Roux, Harlem Désir se voit également confier le portefeuille du Commerce extérieur et d(u Tourisme.
De novembre 1986 à octobre 1987, il occupe la présidence de SOS Racisme tout en étant salarié par l'« Association régionale pour la formation et l'éducation des migrants », basée à Lille en tant que « formateur permanent » : il perçoit pour cet emploi fictif, un salaire mensuel net de 8 900 francs Cela lui vaut d'être condamné, le 17 décembre 1998, à 18 mois de prison avec sursis et 30 000 francs d'amende pour recel d'abus de biens sociaux Harlem Désir aurait également bénéficié d'une amnistie de François Mitterrand concernant une dette de 80 000 francs au Trésor public, relative à des amendes de stationnement (décision de justice du 9 mai 1992) alors qu'il était président de SOS Racisme !
Il a su rebondir une fois de plus, comme quoi la qualité et la compétence compte peu si l’on a les bons soutiens au plus haut de l’état et disons au pouvoir pour bénéficier des privilèges bien connus de tous bords !
Bien sûr c’est l’ONU qui le rémunère diront certains, mais la France en faisant partie y participe indirectement comme c’est la règle au niveau de son financement et sa gestion tout comme les « États membres de l'OSCE » dont elle est membre !
Jdeclef 27072017 10h43 LP
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