samedi 1 juillet 2017

« Les Tarterets » de CORBEIL ESSONNE une des pires zones dites sensibles connues d’IDF que l’on n’a pu améliorer, car on l’a laissé péricliter et se dégrader en zone de non droit avec sa délinquance et trafics au fil du temps !

Corbeil Essonnes, le 27 juin 2017. Le quartier des Tarterêts évolue depuis le premier projet de renouvellement urbain débuté en 2004.

Corbeil-Essonnes: Les habitants dubitatifs face à la destruction des tours des Tarterêts

REPORTAGE Avec la rénovation des Tarterêts à Corbeil-Essonnes une partie des habitants craint pour leur avenir et celui du quartier…
Dans la maison des associations, un petit groupe de femmes s’activent. Ce samedi a lieu le carnaval des Tarterêts (Essonne) - le premier du genre - et à moins d’une semaine de l’échéance, tout reste à faire. A commencer par les costumes qui sont pour une partie d’entre eux, toujours à l’état de patron. Un événement convivial, « à l’image du quartier », assure Koumba, arrivée à Corbeil-Essonnes à l’âge de 21 ans. Son amie Fatimata, venue prêter main forte, ne raterait cet événement pour rien au monde, bien qu’elle n’habite plus dans ce quartier classé en Zone de sécurité prioritaire (ZSP) et en pleine mutation.
Depuis 2004, 13 tours ont été détruites. Selon le plan de renouvellement urbain de la commune, il reste encore à déloger les locataires des quatre tours des rues Paul-Gauguin et Paul-Cézanne, soit un millier de personnes.
Dans la maison des associations, un petit groupe de femmes s’activent. Ce samedi a lieu le carnaval des Tarterêts (Essonne) - le premier du genre - et à moins d’une semaine de l’échéance, tout reste à faire. A commencer par les costumes qui sont pour une partie d’entre eux, toujours à l’état de patron. Un événement convivial, « à l’image du quartier », assure Koumba, arrivée à Corbeil-Essonnes à l’âge de 21 ans. Son amie Fatimata, venue prêter main forte, ne raterait cet événement pour rien au monde, bien qu’elle n’habite plus dans ce quartier classé en Zone de sécurité prioritaire (ZSP) et en pleine mutation.
Depuis 2004, 13 tours ont été détruites. Selon le plan de renouvellement urbain de la commune, il reste encore à déloger les locataires des quatre tours des rues Paul-Gauguin et Paul-Cézanne, soit un millier de personnes.
Zahia, habitante d’une des tours menacées de destruction, regrette déja le futur déménagement. « L’école, les transports, les amis, tout est là pour les enfants », lance-t-elle. Arrivée d’Algérie dans les années 2000, cette employée de restauration collective n’a « jamais eu de souci aux Tarterêts ». D’autant qu’ici le loyer est moins cher qu’ailleurs et elle assure ne « pas en avoir les moyens ».
 La sécurité au quotidien dans une ZSP: «Les Tarterêts, c’est devenu ”Secret-Story”»

« Les cafards passent »

D’autres, en revanche, n’attendent qu’une chose : partir. A l’instar de Danielle. Elle a déchanté depuis le temps où, nourrice, elle guettait la fin de la construction des tours de la rue Paul-Gauguin, dans les années 1970. Locataire d’un F4 au rez-de-chaussée de l’immeuble n°27, la quinquagénaire jouit d’un petit jardin « qui fait le tour de l’immeuble ». Mais cette mère de quatre enfants n’en profite plus. Elle ramasse « des serviettes hygiéniques, voire des culottes » jetées à travers les fenêtres. Des ordures « dévorées par les rats ». Elle a signalé leur présence à son bailleur HLM. Elle a également formulé « 24 demandes d’appartement » auprès de la mairie de Corbeil-Essonnes, en vain. « S’il fallait bouger à Juvisy-sur-Orge, j’irai », confie-t-elle.

Pour ceux qui connaissent, ce quartier des « Tarterets » est la plaie de CORBEIL ESSONNE depuis des années une honte de l’IDF et des ces départements et banlieues de la couronne de PARIS !

A cause de cette municipalité de CORBEIL ESSONNE touché par un clientélisme notamment fraude par des votes irréguliers et autres irrégularités au fil des années exacerbées par des maires qui se sont succédés avec histoires de plus en plus douteuses dont le plus ancien est d’ailleurs encore touché par des actions de la justice, inutile de citer les noms, tant ils sont connus !

Si démolir ces tours pour faire du neuf et reloger des populations pauvres issus de l’immigration avec un chômage important en les répartissant ailleurs sans les regrouper est la solution pour assainir ces quartiers dangereux ou la police n’arrive plus à faire la loi et faire cesser les trafics et violences divers, il faut le faire, même si cela parait bien tardif !

L’exemple parfait de ces citées fin des années 60 qui ont poussées comme des champignons et que l’on a oublié après de la part des gouvernements ou municipalités et qui sont devenues ingérables au fil du temps !

A noter qu’avec l’immigration actuelle galopante, il ne faut plus traiter le problème de la même façon et recommencer les mêmes erreurs !


DJMAI 01/07/17 à 13h14

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