Élisabeth
Borne nommée ministre de la Transition écologique
VIDÉO. La
ministre des Transports a été nommée pour prendre la tête du ministère dirigé
par François de Rugy jusqu'à sa démission mardi.
Lire aussi
Réforme de la SNCF
Élisabeth Borne, sortie de l'École polytechnique en 1981,
haute fonctionnaire marquée à gauche, est déjà la troisième à prendre en charge
le maroquin de l'environnement sous le quinquennat d'Emmanuel Macron, après les
mandats écourtés de Nicolas
Hulot puis François de Rugy. Cette ingénieure de 58 ans gardera
parallèlement le portefeuille des Transports, qu'elle pilote depuis 2017, sans
pour autant reprendre le titre de ministre d'État de ses prédécesseurs.
Technicienne et exigeante, réputée bien au fait de ses dossiers et ne se
laissant pas démonter, Élisabeth Borne a, durant ses deux années aux
Transports, gagné une assise certaine en menant à son terme l'une des réformes
emblématiques du gouvernement Macron, celle de la SNCF.
Ancienne préfète de la région Poitou-Charentes
Élisabeth Borne, dont le précédent maroquin était déjà placé sous
la tutelle du ministère de la Transition écologique, n'arrive pas en terre
inconnue à l'hôtel de Roquelaure. « Elle a construit une relation avec les
élus locaux à travers les différents textes qu'elle a eu à défendre, elle
connaît très bien ses secrétaires d'État », Brune Poirson et Emmanuelle
Wargon, et « est opérationnelle tout de suite pour défendre la loi
énergie-climat » actuellement au Sénat, a fait valoir une source
gouvernementale.Elle avait aussi déjà fait un passage en 2014 comme directrice de cabinet de la ministre de l'Environnement Ségolène Royal. L'année précédente, en 2013, elle avait été préfète de la région Poitou-Charentes, présidée alors par Ségolène Royal. Dès 2015, Mme Borne avait toutefois été nommée présidente de la RATP, une grande entreprise publique de transports, quelques années après avoir été directrice de la stratégie de la SNCF, au début des années 2000.
-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Et le président et son 1er
ministre ont nommé la ministre du transport qui garde son poste sans être
nommée ministre d’état, économie oblige, mais qui lui donnera plus de travail
logiquement avec deux ministères !
Ce qui laisserait à
penser que le ministère de l’écologie (ou transition écologique nom fumeux
pour faire croire à son importance) est marginal dans la politique du
président qui parle beaucoup comme d’habitude (mais traîne un boulet avec
cette écologie souvent en opposition avec sa politique, car trop utopique pour
faire plaisir au bon peuple gogo)
A sa décharge tous ces
ministres de l’écologie que ce soit avec son prédécesseur et avant ont été
souvent « des empêcheurs de tourner en rond utopiques excessifs » médiocres
sans résultat probant !
Car l’écologie est bien
sur utile à condition qu’elle ne soit pas extrémiste, car elle ne fait pas bon
ménage avec la politique générale des gouvernements quel que soit leurs bords, et
avec des ministres intègres sans tache ne profitant pas des avantages de leurs
fonctions !
Car les français n’aiment
plus du tout cela, ces avantages indus aux serviteurs élus de l’état dont
certains abusent !
Jdeclef 17/07/2019 08h53LP