lundi 15 juillet 2019

Rien ne sert de s'offusquer sur les incidents du 14 juillet car le gouvernement ne sait pas gérer cela ou ne veut pas le faire avec volonté et fermeté !


Des Champs-Élysées sous tension pour le 14 juillet

Après le défilé, des dizaines de personnes et des Gilets jaunes ont défié les forces de l'ordre, qui ont dispersé les manifestants vers 16 heures.

Des dizaines de personnes, dont des Gilets jaunes, sont parvenues dimanche après-midi à investir les Champs-Élysées dans un face à face tendu avec les forces de l'ordre, à l'issue du défilé militaire du 14 juillet, ont constaté des journalistes de l'Agence France-Presse. C'est la première fois depuis le 16 mars que des Gilets jaunes retournaient sur les Champs-Élysées, qui avaient connu une flambée de violences lors du 18e samedi de mobilisation de ce mouvement social, et étaient devenues depuis un secteur interdit à toute manifestation.
Au total, 175 personnes ont été interpellées, selon la préfecture de police de Paris. D'abord en marge du défilé militaire, où des Gilets jaunes avaient appelé à manifester, puis lors des échauffourées de l'après-midi. Plusieurs figures des Gilets jaunes ont été interpellées dans la matinée et placées en garde à vue quelques heures : Jérôme Rodrigues, qui a perdu son œil droit en janvier, et Maxime Nicolle, dit « Fly Rider », pour « organisation d'une manifestation illicite », et le routier Éric Drouet pour « rébellion », selon le parquet.

Emmanuel Macron hué

Dans la matinée, quelques dizaines de Gilets jaunes, sans leur chasuble fluo, mais armés de sifflets et de ballons, ont copieusement hué le passage du président Emmanuel Macron. C'est après la fin de la cérémonie que la situation s'est tendue. Vers 14 h 30, des manifestants, mais aussi de jeunes gens dissimulant leurs visages sous des foulards et des capuches ont investi le haut de l'avenue en profitant de sa réouverture au public.
De nombreuses barrières métalliques qui avaient été utilisées pour limiter les déplacements des spectateurs ont été mises à terre, des poubelles incendiées, conduisant les forces de l'ordre à riposter en tirant des grenades lacrymogènes. Les policiers ont progressé sur l'avenue, en chassant peu à peu les manifestants, qui se réfugiaient dans les rues adjacentes, a constaté l'Agence France-Presse.

« De retour »

« Ce matin, on est venu assister au défilé car on est citoyen. On nous a tellement interdit de Champs, c'est important d'être de retour », a déclaré Cid, 33 ans, venu de Seine-et-Marne. Bleu, blanc, rouge des pieds à la tête, il est encore révolté par le traitement réservé aux manifestants : « On nous a nassés [encerclés] dans la matinée, on s'est fait traiter comme des chiens. C'est eux [les forces de l'ordre, NDLR] qui ont fait monter la pression. »
Le calme est revenu progressivement à partir de 17 heures sur l'avenue, où les forces de l'ordre demeuraient en nombre. Sur place vers 18 heures, le préfet de police Didier Lallement a déclaré à la presse que « 200 casseurs » s'étaient dirigés sur les Champs dès la fin du défilé. « Nous les avons repoussés », a-t-il dit, assurant : « Les destructions sont extrêmement minimes, il n'y a eu aucun pillage. » Quelques vitrines de commerce ont été cassées dans des rues proches de l'avenue et la vitre d'un abribus a été détruite, a constaté un photographe de l'Agence France-Presse.

Journée chargée sur les Champs-Élysées

Dans l'après-midi, des « street-medics », des bénévoles assurant les premiers secours dans les manifestations, ont indiqué à l'Agence France-Presse avoir pris en charge une touriste étrangère grièvement blessée à l'œil gauche, vers 14 h 30, en haut des Champs-Élysées. Des images d'une femme blessée à l'œil ont circulé sur les réseaux sociaux, mettant en cause un tir de LBD, une hypothèse que l'Agence France-Presse n'a pas pu confirmer à ce stade. « Comment est-ce possible que des #BlackBlocs et des voyous d'extrême gauche arrivent à tout saccager le jour de notre fête nationale ? » s'est indignée la dirigeante du Rassemblement national Marine Le Pen sur Twitter.
Après près de huit mois de mobilisation depuis le 17 novembre, l'essoufflement gagnait le mouvement ces dernières semaines. Ils n'étaient que quelques centaines à manifester samedi dans plusieurs villes de France. Les Champs-Élysées devraient être à nouveau très fréquentés dans la soirée, alors que se dispute à 21 heures la demi-finale de la Coupe d'Afrique des nations (CAN) Algérie-Nigeria. « Je m'attends ce soir à ce que de nouvelles difficultés apparaissent », a prévenu le préfet de police, alors que jeudi soir des incidents avaient éclaté sur les Champs-Élysées après la qualification de l'Algérie. « Ceux qui pensent pouvoir casser, qui pensent pouvoir détruire, se heurteront à un dispositif policier et de gendarmerie conséquent », a-t-il assuré.
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On ne parle pas des gilets jaunes mais des trublions supporters algériens en soirée jusqu’à 3 heures du matin !

Car nos autorités CASTANER et son acolyte et le préfet de police étaient prévenus donc pas d'excuse, car c'est une récidive !

Quant à la victoire de l’Algérie, mais si cela avait été une défaite le résultat aurait été le même au niveau des débordements !

Il aurait fallu interdire de jouer à cette équipe d’Algérie, mais attention là, cela serait considéré discriminatoire ou plus simplement en dehors du politiquement correct hypocrite habituel !

En France on peut tout faire et on n'a même pas la liberté de sévir sérieusement quand il le faut, car des étrangers viennent se défouler sans vergognes en semant le désordre (naturellement, car beaucoup habitent et vivent chez nous et on sait où dans notre pays depuis les vagues d'immigrations depuis plus de trente ans !)

Et certains bien sur issus de cette immigration sont maintenant devenus français...
Si possible en n'en parlant pas trop, car c'était leur fête soi-disant, façon curieuse de la faire dans notre pays plutôt que dans le leur ou cela aurait surement été plus réprimé sévèrement alors qu'en France ou l'on accepte tout, on peut se défouler !

Ajouter à cela une couche de gilets jaunes et la coupe est pleine, mais nos concitoyens français en ont assez de subir ces trublions violents, il faudrait quand même que le gouvernement et le président ait le courage d'en tenir compte (surtout en plus après les sifflets qu'il a subi lors de sa remontée des Champs Élysées, lors du défilé militaire du 14 juillet !)

Notre pays devient de plus en plus ingouvernable au niveau sociétal et régresse par ces mouvements dit sociaux divers !

Jdeclef 15/07/2019 09h19LP

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