De Rugy
épinglé, à son tour, pour la location d'un logement à vocation sociale
Le
ministre de la Transition écologique, accusé par Mediapart, s'est défendu sur
Facebook et assure que l'information ne lui avait pas été communiquée.
Ceci étant cela ne l’a
pas empêché de limoger sa directrice de cabinet pour les mêmes faits (faite ce
que je dis pas ce que je fais...)
De rugy est visé par une nouvelle affaire. Mediapart épingle de nouveau
le ministre de la Transition écologique pour un logement à vocation sociale
qu'il louerait à Nantes depuis
juillet 2016.Jeudi, le numéro deux du gouvernement a renvoyé sa cheffe de cabinet après d'autres révélations du site d'information en ligne. L'ancienne préfète Nicole Klein n'a pas rendu un logement social qu'elle occupait depuis 2001 à Paris alors qu'elle avait déménagé entre-temps de 2006 à 2018, avant de réintégrer l'appartement.
L'ancien président de l'Assemblée nationale a commencé à occuper l'appartement situé dans la commune d'Orvault en juillet 2016. Commune dans laquelle il a occupé la fonction de conseiller municipal. Il n'était alors que vice-président de la Chambre basse et touchait 5711,08 euros net par mois pour sa fonction de député. Au moment de son entrée dans le logement, un T2 de 48 mètres carrés, il a donné un avis d'imposition 2015 sur les revenus de 2014 qui étaient de 47 958 euros, au-dessus des 34 790 euros exigés par la loi pour l'obtention d'un logement social. Après sa nomination au perchoir, François de Rugy n'a pas rendu le logement alors que son salaire avait considérablement augmenté.
Le ministre de la Transition écologique s'est défendu sur Facebook
face aux nouvelles révélations de Mediapart. « Je fais l'objet ce soir
d'une nouvelle attaque de Mediapart, cette fois-ci sur l'appartement que je
loue à Orvault, près de Nantes, depuis trois ans, où j'accueille mes enfants
lorsque j'en ai la garde le week-end : un deux-pièces de 48 mètres
carrés, loué au prix de 622 euros par mois (appartement et parking), un
montant conforme aux prix du marché. J'ai loué cet appartement à la suite d'une
séparation intervenue en juillet 2016 », écrit le ministre sur sa
page Facebook.
Depuis
mercredi, le ministre est la cible du site d'information en ligne qui a publié
plusieurs articles : un premier évoquant, photos de homards et de vins
grands crus à l'appui, des dîners fastueux organisés à l'hôtel de Lassay
lorsqu'il était président de l'Assemblée nationale. Le feuilleton s'est
poursuivi jeudi avec un autre article concernant des travaux réalisés par le
ministre dans son logement de fonction à l'hôtel de Roquelaure pour un montant
de 63 000 euros.
Ceci étant cela ne l’a
pas empêché de limoger sa directrice de cabinet pour les mêmes faits (faite ce
que je dis pars ce que je fais...)
Mais comme on dit « il
n'y a pas de fumée sans feu », et ses histoires ou ces affaires
diverses sur les avantages de nos élus de tous bords commence à être indigestes
et difficile à supporter !
Et encore donne trop de grain
à moudre à certains médias spécialisés style « MEDIAPART » à l'affut du moindre dérapages divers de nos élus politiciens ou hauts fonctionnaires de
l’état !
Car ces affaires
douteuses ou révélations douteuses ne sont pas inventées de toute pièce, car là
c’est répréhensible pour ceux qui les diffuse, donc que le ministre se défende
rapidement par voie de justice, si elles sont infondées !
Car même si tous nos
politiciens élus ne sont pas des prévaricateurs ou profiteurs divers, cela
commence à faire trop !
On parle de transparence
d'accord, mais c'est surtout de contrôle indépendant dont on manque et
défaillant et quand les faits sont avérés avec les sanctions sévères adéquates
et rapides !
A noter que ces personnages
incriminés sont souvent issus d’une bourgeoisie déjà bien nantie se croyant à l’abri
de par leurs fonctions correctement rémunérées n’ayant pas besoin de plus pour
vivre très correctement !
Alors forcément les français
lambda qui ont du mal pour beaucoup à boucler leur fin de mois ne comprennent pas
ses largesses que s’octroie certains dans nos gouvernements de tous bords, (mais
ça rapporte gros de faire de la politique, peut-être pour cela qu’il y a tant
de candidat comme par exemple par le nombre très important de ceux aux
élections européennes et de nombreuses listes diverses ?!)
Cette V eme république
et ses institutions est usée par une déontologie à peu près inexistante parmi d’autres
défauts ressemblant trop à l’ancien régime dont on n’arrive pas à se débarrasser
qui fait le bonheur des politiciens professionnels, mais pas du peuple !
Jdeclef 12/07/2019 10h04LP