Le théâtre de la Main d'or, à Paris, le 13
janvier 2014, où Dieudonné s'est produit pour la première d'«Asu Zoa»(quand on voit "la tronche" des spectateurs qui attendent pour une place dans le théâtre on comprend mieux..)
En termes purement légaux, Dieudonné s'est toutefois bel et bien conformé à la décision de justice lui ordonnant de supprimer certains propos de ses spectacles. Ainsi, la référence explicite au maréchal Pétain, qui apparaissait auparavant comme le président «préféré» de Dieudonné, a disparu. Le journaliste de France Inter Patrick Cohen, lui, est encore mentionné, mais sans les références aux chambres à gaz qui avaient choqué et mobilisé notamment le ministère de l'Intérieur. De même, indique l'AFP, Dieudonné ne dit plus «Je n'ai pas à choisir entre juifs et nazis, je suis neutre dans cette affaire», un des passages qui avaient choqué dans son spectacle «Le Mur». «Je n'étais pas né, qu'est-ce qu'il s'est passé? Qui a volé qui? J'ai ma petite idée...», a aussi disparu de la nouvelle version.
L'UEJF «dubitative»
La chanson finale «Shoahnanas», a elle été remplacée par «François, la quenelle, la sens-tu?», sur le rythme du «Chant des partisans», repris en chœur par le public. Un public venu très nombreux et qui a apprécié la performance de Dieudonné, l'acclamant debout à la fin de la représentation, selon l'AFP.
L'Union des étudiants juifs de France (UEJF) est pour sa part «dubitative sur cette volte-face et remarque que Dieudonné continue de diffuser sur Internet des messages vidéos racistes et antisémites via sa chaîne Youtube», écrit-elle dans un communiqué diffusé dans la nuit de lundi à mardi.
A Paris, Dieudonné joue le même spectacle, expurgé des propos antisémites (donc il a obéit « toute grande gueule qu’il est..! »)
ANTISÉMITISME - Le polémiste a fait ce que la justice lui avait ordonné: s'abstenir des charges antisémites dont «Le Mur» avait été jugé coupable...
Si «Le Mur» de Dieudonné est tombé sous les coups de boutoir de Manuel Valls, il en reste encore les fondations. Le polémiste, qui avait présenté le spectacle qu'il donnait à Paris ce lundi soir comme nouveau, s'est en effet contenté de reprendre entièrement la trame du précédent, dont la justice avait interdit certains propos, en l'expurgeant des attaques les plus frontales contre les Juifs, selon un journaliste de l'AFP qui a assisté à la première représentation de ce lundi.En termes purement légaux, Dieudonné s'est toutefois bel et bien conformé à la décision de justice lui ordonnant de supprimer certains propos de ses spectacles. Ainsi, la référence explicite au maréchal Pétain, qui apparaissait auparavant comme le président «préféré» de Dieudonné, a disparu. Le journaliste de France Inter Patrick Cohen, lui, est encore mentionné, mais sans les références aux chambres à gaz qui avaient choqué et mobilisé notamment le ministère de l'Intérieur. De même, indique l'AFP, Dieudonné ne dit plus «Je n'ai pas à choisir entre juifs et nazis, je suis neutre dans cette affaire», un des passages qui avaient choqué dans son spectacle «Le Mur». «Je n'étais pas né, qu'est-ce qu'il s'est passé? Qui a volé qui? J'ai ma petite idée...», a aussi disparu de la nouvelle version.
L'UEJF «dubitative»
La chanson finale «Shoahnanas», a elle été remplacée par «François, la quenelle, la sens-tu?», sur le rythme du «Chant des partisans», repris en chœur par le public. Un public venu très nombreux et qui a apprécié la performance de Dieudonné, l'acclamant debout à la fin de la représentation, selon l'AFP.
L'Union des étudiants juifs de France (UEJF) est pour sa part «dubitative sur cette volte-face et remarque que Dieudonné continue de diffuser sur Internet des messages vidéos racistes et antisémites via sa chaîne Youtube», écrit-elle dans un communiqué diffusé dans la nuit de lundi à mardi.
L’expérience est concluante pourquoi
aurait-il changé et plié devant un pouvoir politique qu'il déteste autant que
les juifs ou autres et qu'il juge responsable de tous les maux de notre société!
Il a donc édulcoré à minima ce nouveau
spectacle accordé indirectement par la préfecture pour le tester et surtout ne
pas déclencher encore de nouveaux désordres publics pernicieux
(Et peut être aussi pour que cela na fasse
pas trop de vague avant la conférence de presse de ce jour de F.Hollande déjà
entachée par ce que l'on sait !)
Pour le contenu du spectacle en tant
que tel, c'est à la justice à faire son travail (s'il y a lieu ?)
Par contre en ce qui concerne ses
paroles sur les réseaux sociaux ou "youtube" et autres sur le net etc.,
il y a matière à la justice à revoir (toujours
s'il y a lieu..?)
Tout cela est un concours à qui sera
le plus faux jeton, gouvernement, justice ou l’intéressé (et accessoirement les quidams gogos qui se laissent piéger par cet
individu)
Pauvre France !
jdeclef14.01.2014 -
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