mardi 14 janvier 2014

LA PÉNITENTIAIRE À LA MALCHANCE D’ÊTRE LE PARENT PAUVRE DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE DÉJÀ MAL GÉRÉ PAR SA MINISTRE ALORS…

Le centre de détention de Toul (Meurthe-et-Moselle).

Fin de la prise d'otage à la prison de Toul

SÉCURITÉ - Le détenu qui avait pris une psychologue en otage s'est rendu, selon une source syndicale...

La prise d'otage à la brosse à dents s'est terminée sans faire de blessé. «Le détenu s'est rendu peu après 0H30. Il a jeté sa brosse à dent» préalablement taillée sous forme d'une arme, a indiqué dans la nuit de lundi à mardi Fadila Doukhi, responsable FO pénitentiaire à la prison de Toul (Meurthe-et-Moselle).
«Il ne voulait parler qu'à un personnel pénitentiaire» depuis la bibliothèque du quartier disciplinaire se trouvant au bout d'un long couloir de l'établissement, a-t-elle expliqué. «Il ne voulait pas que le GIPN entre dans la pièce.» Le détenu a été placé en garde à vue et transféré vers le commissariat de Nancy où il devait être entendu. «Il n'a pas obtenu gain de cause, grâce au travail de professionnel du GIPN, il a compris qu'il n'avait pas d'issue», a expliqué aux journalistes le procureur de la République de Nancy, Thomas Pison.
La prise d'otage démarrée vers 18H20 dans la salle d'audience du quartier de la prison s'est déroulée sans violence. La victime, choquée, est repartie avec son compagnon. Cette dernière âgée de 30 ans intervenait dans l'établissement pénitentiaire régulièrement depuis trois ans, a indiqué à l'AFP une source proche du dossier.
Une information judiciaire bientôt ouverte
Condamné pour vols avec violence, le détenu dont c'était la première prise d'otage demandait son transfert en Alsace, vers la prison d'Ensisheim ou Mulhouse. Il avait été initialement incarcéré au centre de détention de Montmédy (Meuse), où il avait mené une rébellion, entraînant son transfert disciplinaire à la prison de Toul en juillet et était libérable en 2017, selon le procureur.


Ce que l'on peut noter, c'est qu'il y a de plus en plus  d'incidents de ce type dans les établissements pénitenciers en France ainsi que d'autres plus graves, auquel il faut ajouter les évasions qui ont défrayés la chronique!

Ajouter à cela les mouvements sociaux divers et protestations constantes des personnels chargés de la garde et gestion des détenus qui n'en peuvent plus et qui ne semblent pas être entendus par leur ministre de tutelle Mme Taubira qui est dépassée par ce problème comme pour d'autres d'ailleurs et qui voudrait faire "des prisons ouvertes" et prône une réinsertion inefficace!

Donc tant que cette ministre de la justice sera en charge de l'administration de la pénitentiaire rien ne changera, ni ne s'améliorera!


jdeclef14.01.2014 -

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