Des forces tchadiennes de la Misca passent
devant des soldats français à Bangui, en Centrafrique, le 10 janvier 2014.
Un «anti-balaka» (milicien hostile à l'ancien président), un ex-séléka (combattant issu du mouvement de Djotodia) et un civil ont été tués par balle pendant la nuit, a déclaré à l'AFP le président de la Croix-rouge centrafricaine, le pasteur Antoine Mbaobogo.
Selon lui, il y a eu également «énormément de pillages» pendant la nuit. «Ceux qui ont été pillés à l'arrivée des Séléka (en mars, à la prise du pouvoir par Djotodia) pillent à leur tour. Pour eux, c'est le 14 juillet», a expliqué le pasteur.
Le président Djotodia, accusé par la communauté internationale de passivité face aux violences interreligieuses dans son pays, a démissionné vendredi à N'Djamena sous la pression des dirigeants d'Afrique centrale qui l'y avaient convoqué pour un sommet extraordinaire.
Centrafrique: Au moins trois morts à Bangui pendant la nuit, après la démission du président
MONDE - Les blindés français ont pris position dans la capitale...
Au moins trois personnes, dont un civil, ont été tuées par balle dans la nuit de vendredi à ce samedi à Bangui, en proie également à de très nombreux pillages, a-t-on appris auprès de la Croix-rouge centrafricaine.Un «anti-balaka» (milicien hostile à l'ancien président), un ex-séléka (combattant issu du mouvement de Djotodia) et un civil ont été tués par balle pendant la nuit, a déclaré à l'AFP le président de la Croix-rouge centrafricaine, le pasteur Antoine Mbaobogo.
Selon lui, il y a eu également «énormément de pillages» pendant la nuit. «Ceux qui ont été pillés à l'arrivée des Séléka (en mars, à la prise du pouvoir par Djotodia) pillent à leur tour. Pour eux, c'est le 14 juillet», a expliqué le pasteur.
Les pillages continuent
Ce samedi matin, des pillages de commerces se poursuivaient dans la capitale centrafricaine, quadrillée par les blindés français de l'opération Sangaris et des détachements de la force africaine (Misca), ont constaté des journalistes de l'AFP.Le président Djotodia, accusé par la communauté internationale de passivité face aux violences interreligieuses dans son pays, a démissionné vendredi à N'Djamena sous la pression des dirigeants d'Afrique centrale qui l'y avaient convoqué pour un sommet extraordinaire.
Sans nouveaux dirigeants (fiables)
pour diriger même provisoirement ce pays et essayant d’organiser des élections:
La guerre civile va s’amplifier et les
luttes entre chrétiens et musulmans continueront!
L'armée française ne pourra que
limiter les dégâts en comptant les morts de chaque camp!
Ce pays est une coquille vide sans
aucune administration, ni fonctionnaires qui ne sont d'ailleurs plus payés
depuis plusieurs mois!
A savoir si l'ONU cette organisation
souvent inefficace pourra faire quelque chose, ou l'union africaine, mais là
c'est moins sur!
A noter que les expatriés français ou
occidentaux, s'ils en restent devraient s'en aller ce serait plus prudent!
jdeclef11.01.2014 -
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire