Alain Juppé dans son bureau de maire de
Bordeaux le 8 février 2013.
Parmi les sondés, 69% ont une bonne opinion, dont 55% une «assez bonne opinion» du maire de Bordeaux et 14% une «très bonne opinion», contre 29% qui en ont une mauvaise (24% «plutôt mauvaise» et 5% «très mauvaise»). 2% ne se prononcent pas. Quant à savoir s'il ferait un meilleur président que François Hollande ou Nicolas Sarkozy s'il avait été aux commandes, 60% pensent qu'il aurait fait mieux que l'actuel chef de l'Etat (33% non) et 50% qu'il aurait fait mieux que Sarkozy, dont il a été le ministre des Affaires étrangères (42% moins bien).
Sondés sur des duels fictifs avec des rivaux ou adversaires, les Français interrogés préfèrent aussi majoritairement Alain Juppé aux personnalités proposées. Ainsi, par ordre décroissant, 81% des sondés préfèrent Juppé à Jean-François Copé, président de l'UMP; 64% à François Fillon, ancien Premier ministre de Sarkozy; 55% à François Hollande; 53% à Nicolas Sarkozy et 50% à Manuel Valls.
Dans ces «duels» avec les trois autres ténors de l'UMP, Juppé prend même, auprès des sympathisants de droite, un ascendant encore plus net sur Jean-François Copé (81% à le préférer) et François Fillon (67%). Pas en revanche sur Nicolas Sarkozy, que les sympathisants de droite lui préfèrent à 69%.
Alain Juppé, premier de la classe politique, selon un sondage
POLITIQUE - Le maire de Bordeaux devance toutes les personnalités politiques, à gauche comme à droite, en termes de popularité...
Près de 70% des Français ont une bonne opinion de l'ancien Premier ministre Alain Juppé, selon un sondage BVA pour Le Parisien-Aujourd'hui en France publié dimanche.Parmi les sondés, 69% ont une bonne opinion, dont 55% une «assez bonne opinion» du maire de Bordeaux et 14% une «très bonne opinion», contre 29% qui en ont une mauvaise (24% «plutôt mauvaise» et 5% «très mauvaise»). 2% ne se prononcent pas. Quant à savoir s'il ferait un meilleur président que François Hollande ou Nicolas Sarkozy s'il avait été aux commandes, 60% pensent qu'il aurait fait mieux que l'actuel chef de l'Etat (33% non) et 50% qu'il aurait fait mieux que Sarkozy, dont il a été le ministre des Affaires étrangères (42% moins bien).
Juppé devancé par Sarkozy à droite
Les différences d'opinion sont nettement marquées selon les appartenances politiques. Ainsi, les sympathisants de gauche ne sont que 20% à penser qu'il aurait été meilleur à la tête de l'Etat que François Hollande tandis que les sympathisants de droite sont 92% à le penser. Comparé à Nicolas Sarkozy, la jauge s'inverse: les sympathisants de gauche pensent à 73% qu'il aurait été meilleur que ce dernier, 27% seulement chez les sympathisants de droite.Sondés sur des duels fictifs avec des rivaux ou adversaires, les Français interrogés préfèrent aussi majoritairement Alain Juppé aux personnalités proposées. Ainsi, par ordre décroissant, 81% des sondés préfèrent Juppé à Jean-François Copé, président de l'UMP; 64% à François Fillon, ancien Premier ministre de Sarkozy; 55% à François Hollande; 53% à Nicolas Sarkozy et 50% à Manuel Valls.
Dans ces «duels» avec les trois autres ténors de l'UMP, Juppé prend même, auprès des sympathisants de droite, un ascendant encore plus net sur Jean-François Copé (81% à le préférer) et François Fillon (67%). Pas en revanche sur Nicolas Sarkozy, que les sympathisants de droite lui préfèrent à 69%.
Si les français veulent vraiment une
rigueur drastique, ils seront servis avec A.JUPPE!
Je crois surtout que les français (comme d'habitude) ont la mémoire courte
rappelez vous 1995 et ce qu'il a dit qui a fait descendre tous les français
dans la rue avec une grève retentissante :
Il prononce le 6 juillet 1995 : « Je
suis droit dans mes bottes et je crois en la France ».
Cette impopularité ce renforce avec le
« plan Juppé », projet de réforme de la Sécurité sociale présenté à l’Assemblée
nationale le 15 novembre 1995. Il prévoit un allongement de la durée de
cotisation de 37,5 à 40 annuités pour les salariés de la fonction publique afin
de l'aligner sur celle du secteur privé déjà réformé en 1993, l'établissement
d’une loi annuelle de la Sécurité sociale fixant les objectifs de progression
des dépenses maladies et envisageant la mise en place de sanctions pour les
médecins qui dépassent cet objectif, l'accroissement des frais d'hôpital, des
restrictions sur les médicaments remboursables et le blocage et l'imposition
des allocations familiales versées aux familles avec enfants les plus démunies,
combiné avec l'augmentation des cotisations maladie pour les retraités et les
chômeurs et au gel du salaire des fonctionnaires.
Celui-ci déclenche un vaste
mouvement social dans l'ensemble du pays. (1mois
de grève)
La hausse de la contribution sociale
généralisée (CSG) est décidée tandis qu'une contribution pour le remboursement
de la dette sociale (CRDS) est créée, un objectif quantifié d'augmentation des
dépenses d'assurance-maladie est fixé et les prestations familiales sont gelées
Il augmente la pression fiscale. est
alors largement débattue au sein des partis de droite l'augmentation de 10 %
des tranches de l'ISF et la suppression de son plafonnement. Cette modification
a notamment pour conséquence que certains foyers fiscaux paient un impôt
supérieur à leur revenu
Et çà ce n'est qu'un abrégé de ce
qu'il a fait heureusement les élections législatives de 1997 ont été perdues
par la droite et A.JUPPE et son gouvernement a été forcé de passer la main!
Tout çà pour dire que si les français
le mettaient à la tête de l'état en 2017?
N.SARKOZY ou F.HOLLANDE passeront
pour des enfants de cœur par rapport à ce qu'il ferait (à moins que nos concitoyens aiment "les coups de pieds aux
culs"!)
On se plaint actuellement, mais c'est une
rose sans épine actuellement avec A.
JUPPE vous aurez le rosier entier bien épineux !
Quel malheur que sont nos concitoyens
qui veulent toujours reprendre les mêmes !
jdeclef26.01.2014 -
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire