François Hollande en Corrèze le 18 janvier
2014.
François Hollande a également évité le marché de Tulle où il avait pris l'habitude de «déambuler» depuis son élection à l'Élysée, le plus souvent aux côtés de sa compagne, Valérie Trierweiler. La première dame a été hospitalisée à la Pitié-Salpêtrière, le 10 janvier, quelques heures après les révélations de Closer sur la liaison entretenue par le président avec l'actrice Julie Gayet.
A La Taverne du Sommelier, Bernadette et Jacques Chirac ont leur table, marquée de leurs noms, François Hollande aussi mais pas Valérie Trierweiler. «François Hollande est un homme très convivial mais Madame (Valérie Trierweiler) avait une distance, elle n'allait pas vers les gens», se souvient la patronne, Cécile At. «Il est temps que notre président prenne des décisions sur sa vie personnelle et que le débat soit clos, qu'il n'y ait plus de rumeurs et de photos», ajoute-t-elle.
A Tulle aussi, l'affaire «Hollande-Gayet» a fait le bonheur des marchands de journaux. Les exemplaires de Closer s'y sont vendus comme des petits pains. Quant à La Montagne, le quotidien régional, il titrait vendredi, à la veille de la visite présidentielle: «La mystérieuse photo au parfum de scandale», racontant comment «depuis une semaine, la presse people traque une photo compromettante pour le président».
François Hollande de passage en Corrèze pour parler ruralité et taire sa vie privée
REPORTAGE - Le chef de l'État a adressé ses vœux aux Corréziens pendant qu'à Paris, Valérie Trierweiler quittait l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière...
Un peu d'air frais. François Hollande a renoué ce samedi pour quelques heures avec sa chère Corrèze pour un éloge à la ruralité dans ses vœux aux Corréziens mais tout le monde n'avait en tête que la liaison présidentielle avec l'actrice Julie Gayet, et les informations de presse sur la sortie de l'hôpital, dans l'après-midi, de sa compagne Valérie Trierweiler.Pas de déambulation au marché de Tulle
Tout juste s'est-il autorisé une allusion à la politique nationale et à son pacte de responsabilité pour les entreprises en s'exprimant devant les pompiers de Vigeois. L'ancien centre de secours était d'un accès difficile l'hiver, «situé dans un virage, je ne vais pas dire un tournant parce que ça pourrait être mal compris», a-t-il plaisanté, évoquant à demi-mot le débat autour de sa ligne social-démocrate, désormais assumée.François Hollande a également évité le marché de Tulle où il avait pris l'habitude de «déambuler» depuis son élection à l'Élysée, le plus souvent aux côtés de sa compagne, Valérie Trierweiler. La première dame a été hospitalisée à la Pitié-Salpêtrière, le 10 janvier, quelques heures après les révélations de Closer sur la liaison entretenue par le président avec l'actrice Julie Gayet.
«Sa vie privée ne nous intéresse pas du tout»
En terre corrézienne, les conversations sur la vie privée du Président allaient en revanche bon train. «Il faut qu'il se fasse tout petit», jugeaient de bon matin Nadine et Régis, alignant leurs saucissons artisanaux sur l'étal et ajoutant, comme beaucoup d'autres commerçants ou passants en ces terres corréziennes où l'expression des sentiments reste mesurée: «Sa vie privée ne nous intéresse pas du tout».A La Taverne du Sommelier, Bernadette et Jacques Chirac ont leur table, marquée de leurs noms, François Hollande aussi mais pas Valérie Trierweiler. «François Hollande est un homme très convivial mais Madame (Valérie Trierweiler) avait une distance, elle n'allait pas vers les gens», se souvient la patronne, Cécile At. «Il est temps que notre président prenne des décisions sur sa vie personnelle et que le débat soit clos, qu'il n'y ait plus de rumeurs et de photos», ajoute-t-elle.
A Tulle aussi, l'affaire «Hollande-Gayet» a fait le bonheur des marchands de journaux. Les exemplaires de Closer s'y sont vendus comme des petits pains. Quant à La Montagne, le quotidien régional, il titrait vendredi, à la veille de la visite présidentielle: «La mystérieuse photo au parfum de scandale», racontant comment «depuis une semaine, la presse people traque une photo compromettante pour le président».
Le «New York Times» et la BBC en Corrèze
L'article de La Montagne relatait par le menu «l'histoire de LA photo de Tulle», qu'un inconnu aurait prise fortuitement, surprenant François Hollande et Julie Gayet ensemble, lors d'une visite impromptue du président, le 20 juillet. En quelques heures, 40.000 internautes l'avaient déjà consulté
«L'odeur du scandale», dixit La Montagne, a encore attiré samedi pas moins de 93 journalistes venus
couvrir la visite présidentielle, parmi lesquels des envoyés spéciaux du New York Times, de la BBC, du magazine allemand Stern ainsi qu'une équipe de télévision néerlandaise. Du jamais vu
depuis l'élection de François Hollande à la présidence de la République, le 6
mai 2012.
Quand cessera-t-on cette tradition
monarchique pesante de privilèges divers de tous ces présidents de la 5 eme
république et de ses institutions qui protègent les élus et nantis?
Il est (semble-t-il) « le président de tous les français »,
expression employée fort galvaudée par lui et ses prédécesseurs, alors arrêtons
ce battage fait sur un déplacement en Corrèze comme un seigneur d’antan venu
visiter ses terres!
En ce qui concerne Valérie Trielweler
sa soit disant compagne, quelle soit choquée mais surtout vexée dans son
honneur de femme on peut le comprendre, mais après coup on apprend, parait-il,
qu'il fréquentait déjà Julie Gayet
depuis 2 ans?
Et La dernière visite de François
Hollande à Tulle remonte au 20 juillet. Ce jour-là, il était justement
accompagné, selon la presse locale, de Julie Gayet.
Donc peut-on supposer que V.Trielweler
ne soit pas au courant? (C'est un peu
gros) ou bien, lors de son investiture, il y avait un accord tacite entre
F.Hollande et elle sa compagne (régulière)
officielle pour faire bonne prestance et
cacher un fait établi?
Si c'est le cas notre président, c'est
pris pour un de nos anciens monarques avec leurs reines et favorites (interchangeables au gré de leur gout
passager) cela explique mieux sa demande de protection de sa vie privée, mais
nous sommes au XXI eme et c'est hélas, un triste sire qui s'est fait piéger par
un journal people bêtement!
Enfin
cela doit être le défaut de nos politiciens élus ou non (car on ne peut pas
s’empêcher de faire un parallèle avec
DSK, même si ce n'est pas aussi graveleux ...)
jdeclef19.01.2014
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