Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense
«Ce n'est pas notre intention dans l'état actuel des choses», a répondu Le Drian, interrogé par i>TELE sur la demande de Catherine Samba Panza. Dans le Parisien/Aujourd'hui en France, elle assure que «le nombre de soldats actuel ne suffit même pas à remettre de l'ordre à Bangui». Mais, a argumenté le ministre ,«il y a une montée en puissance» de la force d'interposition africaine Misca, «une meilleure coordination, l'arrivée de la force européenne, avec un espoir politique», même si des risques persistent comme «le risque de partition» qu'il faut «absolument éviter».
Le Drian: «Nous avons sous-estimé l'état de haine» en Centrafrique
MONDE - Le ministre de la Défense a précisé auprès de la présidente de transition qu'il n'y aurait pas de renforts français...
Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense, a répondu jeudi à la présidente de transition centrafricaine qui réclame des renforts de soldats dans son pays, que la France n'avait pas actuellement l'intention d'y renforcer sa présence militaire.«Ce n'est pas notre intention dans l'état actuel des choses», a répondu Le Drian, interrogé par i>TELE sur la demande de Catherine Samba Panza. Dans le Parisien/Aujourd'hui en France, elle assure que «le nombre de soldats actuel ne suffit même pas à remettre de l'ordre à Bangui». Mais, a argumenté le ministre ,«il y a une montée en puissance» de la force d'interposition africaine Misca, «une meilleure coordination, l'arrivée de la force européenne, avec un espoir politique», même si des risques persistent comme «le risque de partition» qu'il faut «absolument éviter».
Retard sur la constitution de la Misca
Dans ce pays, où la France est intervenue le 5 décembre, «nous avons sous-estimé l'état de haine et l'esprit revanchard, l'esprit de représailles», a admis le ministre. «Il y a un mandat des Nations unies qui prévoit en particulier que les forces africaines de la Misca se renforcent pour arriver à 6.000 militaires», a rappelé M. Le Drian
Mr Le Drian fait un semblant de
méa-culpa, mais c'est F.Hollande le responsable qui a décidé cette intervention
militaire, alors ne l'oublions pas, rendons à César ce qui lui appartient!
(Ce
n'est pas le 1er président de cette 5eme république française qui s'entoure de
mauvais conseillers ou ministres médiocres!)
Quand à la sous estimation de la haine
en Centrafrique, il n'y a pas que là!
(Voyez
l'affaire Dieudonné même si c'est à moindre échelle bien sur, ce qu'elle a
déclenchée dans notre pays pourtant démocratique seulement à cause de propos
justement haineux racistes que certains ont voulu faire taire!)
jdeclef23.01.2014
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