mercredi 3 juillet 2024

C’est notre propre ignorance ou bêtises et perte de notre bon sens qui sera de notre déclin déjà là dans un pays qui se disait des lumières qui ont éclairé le monde au XVIIIe et certains pensent, deux siècles plus tard, qu’il serait peut-être temps de les rallumer dans toute l’Europe.


 

RN et LFI : la guerre des peurs fomentés par des abrutis qui nous poussent vers le néant !? Donc désolé de le dire c’est du président et sa « macronie » dont il faut se séparer pour assainir en profondeur notre classe politique dans sa totalité en changeant de république il est plus que temps !?

L’ÉDITO DE FOG. Exit la macronie. Place à l’extrémisme. Celui de droite est aux portes du pouvoir, quand celui de gauche prospère malgré un antisémitisme obsessionnel.

Par Franz-Olivier Giesbert

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mardi 2 juillet 2024

Je ne sais pas si les FRANÇAIS ont tous répondu OU lui ont donné un coup de semonce mais si c’est le cas il faut confirmer le 07/7 et couler le navire « macronien » !?

 

« Emmanuel Macron a déclaré la guerre aux Français » : BON ALORS IL FAUT LUI REPONDRE ET NE PAS HESITER CAR SINON SERA ENCORE DU TEMPS PERDU A BAVASSER POUR NE RIEN DIRE D’UTILE PUISQU’IL DETESTE TANT CES GENS PAS DE SON MONDE IL A DE LA CHANCE ON N’EST PLUS EN 1793 IL NE RISQUE PAS SA TETE COMME LOUIS XVI !?

(Mais attention à un retour de flamme d’un homme orgueilleux et vexé s’il lui reste des cartouches pour se défendre !?)

Saïd Mahrane
Grand reporter

Les électeurs ont répondu au président qui les sommait de confirmer leurs votes pour le RN. Un face-à-face entre un homme et un peuple qui touche à sa fin.

Publié le 01/07/2024 à 06h00

Voilà donc ce que coûte de dire « chiche » aux Français. « Chiche », en somme, allez jusqu'au bout de votre logique ! « Chiche », ayez le courage (ou la folie) de vouloir ce que vous voulez ! Derrière la dissolution, il y a aussi cette provocation du président, cette sommation appelée « clarification ». Une sorte de pulsion nihiliste, qui n'est pas venue de la rue mais de l'Élysée.

Ce qui a fait dire au sociologue Emmanuel Todd, au lendemain de la dissolution : « Emmanuel Macron a déclaré la guerre aux Français. » Leur réponse est tout entière dans ce résultat du premier tour des législatives, qui a mobilisé 66,7 % des électeurs. Réponse claire, cinglante et sans équivoque : 33,1 % pour le RN, 28 % pour le Nouveau Front populaire, 20 % pour la majorité sortante. Comme si cette élection était en réalité un face-à-face entre un homme et un peuple. Un face-à-face qui touche à sa fin, après des années de mots blessants, de 49.3 et de mouvements sociaux. La personnalisation et la centralisation du pouvoir ne pouvaient qu'entraîner ce ressentiment populaire à l'endroit du chef de l'État. Nicolas Sarkozy a perdu en 2012. François Hollande n'a pu se représenter en 2017. Emmanuel Macron, élu jusqu'en 2027, terminera-t-il son deuxième mandat ?

Le Rassemblement national confirme sa percée historique

« Hyper démocratisme »

Les électeurs ont confirmé la tendance des élections européennes en portant à nouveau le parti de Jordan Bardella en tête. L'entre-deux-tours donnera lieu à des négociations, des ralliements et des désistements qui viendront corriger, sinon affaiblir, le véritable poids électoral du RN, qui ne sera pas proportionnel à sa représentation parlementaire. Or, pour comprendre où en est politiquement la France de 2024, il faut retenir les résultats de ce 30 juin, non ceux du 7 juillet. Une partie du pays a dit vouloir autre chose. Ces douze millions d'électeurs du RN, longtemps résignés, se sont exprimés comme ils ne l'avaient jamais fait auparavant au cours de législatives.

Par sa mobilisation, cette France dément le mot fameux de Paul Valéry, qui disait : « La politique, c'est l'art d'empêcher les gens de se mêler de ce qui les regarde. » Ces Français, parmi lesquels de nombreux déclassés, mais aussi de petits retraités et des jeunes habitants des sous-préfectures, ont décidé de se mêler de leur avenir. Ce qui, au passage, met une pression colossale aux élus du RN, si d'aventure ils obtenaient une majorité absolue.

Car il faut dorénavant distinguer le RN (l'instrument) de ses électeurs (la main qui agite l'instrument). Marine Le Pen n'ignore pas que le populisme-nationaliste dont elle a usé pour arriver à ses fins est un « hyper démocratisme » (selon l'expression de Pierre-André Taguieff) qui n'hésitera pas, le moment venu, à la balayer au moindre reniement. Et des reniements, il y en aura, se dit-on, quand on regarde le programme de son parti, tant sur l'économie que sur la cohésion du pays. Il faut voir aussi que le peuple ethnos a parlé au cours de ce premier tour, en même temps que le peuple demos. Soit la volonté, pour la France du RN, de renouer à la fois avec un capital immatériel, tout en se constituant un capital matériel. Autrement dit, l'identité d'avant et le social pour les lendemains. Il sera plus difficile de répondre à la première aspiration qu'à la seconde – qui appellera de la dépense publique facile.

 Après le vote, Mélenchon ne s'appellera pas Mehdi

L'épouvantail Le Pen désigne plus épouvantail qu'elle

Le Nouveau Front populaire, lui aussi, a réussi son pari. D'abord celui de se réunir très vite après la dissolution, en dépit des détestations internes. Ensuite, il a su rassembler son électorat, alliance des bourgeois des villes, des jeunes diplômés et des habitants des périphéries. Le ressort antiraciste, vieux des années 1980, est encore efficient.

La LFI, par la lâcheté ou l'opportunisme de ses alliés, a pu faire oublier l'antisémitisme de quelques-uns de ses membres. Le parti de Mélenchon et ses alliés, par leur nombre, se retrouveront avec le statut de première force d'opposition au RN de Bardella. D'ailleurs, Marine Le Pen ne s'y est pas trompée en désignant dès hier soir Mélenchon comme étant son principal adversaire. La députée, réélue dès le premier tour, est dans la position de Macron en 2017, qui savait que sa survie électorale dépendait de la présence d'un repoussoir face à lui. L'épouvantail Le Pen désigne donc plus épouvantail qu'elle, croit-elle, en la personne du leader Insoumis.

Gabriel Attal, « sauveur » de la macronie (mais pas de Macron) ?

« Petit frère »

Au centre, Gabriel Attal n'aura pas démérité. Emmanuel Macron l'a un jour désigné comme son « petit frère ». On ne sait si c'est par mépris ou par affection. En l'occurrence, le petit frère a fait montre de plus de raison que le grand. Qu'aurait-il donné, dès 2022, à Matignon, à la place d'Élisabeth Borne qui fut une erreur de casting que le président paye encore ?

Attal a pris de l'épaisseur dans cette campagne des législatives, et il en prendra encore plus en s'affranchissant franchement du président. La macronie, qu'il faudra désormais appeler autrement, ne peut plus faire fi des dégâts colossaux d'une mondialisation qui a profité à elle et à ses électeurs durant au moins trois décennies. La dépense publique sous Emmanuel Macron a explosé sans que cela ne soit une réponse satisfaisante pour les catégories populaires qui ont préféré Jordan Bardella. On en revient donc au capital immatériel, c'est-à-dire à ce que l'économie ne peut pas produire : la convivialité, l'entraide, la proximité, l'autorité, l'altruisme, la sécurité, la considération, le mérite, un projet collectif, un récit fédérateur… Tout a déjà été dit. L'avantage, pour un politique, résiderait aujourd'hui dans la manière de le redire et surtout de l'accomplir.

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C’est désolant mais ce président n’a jamais compris les Français et ne l’es a pas aimés voir mêmes les a dédaignés en ce comportant comme un petit bourgeois du IXX eme siècle ou monarque dans l’ancien régime de cette Veme république redevenue monarchique pourtant ayant donné aux Français ce suffrage universel pur élire leurs dirigeants et politiciens de tous bords dont avec leur assemblée nationale pour leurs députés !?

On voit de plus en plus la médiocrité de leurs classes politiques et leurs partis ringards pilotés indirectement par un 1er ministre mais qui est  inféodé au pouvoir presque total du président qui a été augmenté durant ces derniers quinquennats post septennats il y a  + de 40 ans et qui n’ont pas changé grand-chose si ce n’est que de revoir les mêmes réapparaitre sans que les Français lambda s’en rendent vraiment compte et que ces pauvres citoyens d’une naïveté ont réélu en 2022 jusqu’en 2027 malgré un quinquennat qu’il a  raté des 2018 avec ces affaires des gilets jaunes et autres heurts divers comme cette réforme des retraites qui personne ne voulait ou le COVID dont il se sert d’alibi alors que c’est l’Union Européenne qui nous a sorti de ce problème de pandémie par une campagne de vaccination bien pilotée et mêmes des situations internationales devenant dangereuses dans ce monde entier instable !?

On en est arrivé là : avec ce capharnaüm électoral organisé par ce président et sa dissolution inutile qui a réussi à opposer les extremes droite RN et gauches LFI Mélenchoniste NUPES etc. avec d’autres trublions marginaux ce disant lui-même contre eux pour les combattre avec sa « macronie » moribonde qui va sombrer comme le pays malheureusement peut être et si les Français ne comprennent pas cela c’est qu’ils sont incurables (je dis çà parce qu’ayant connus tous les présidents de cette VEME de 1958 lui semble le plus mauvais des ratés qui se sont succédés et les Français semble-t-il n’ont pas évolué en bon sens et éducation et la façon dont ils votent depuis des décennies semble le prouver hélas !?)

Jdeclef 02/07/2024 14h10

En France on a une spécialité c’est de faire compliqué plutôt que de faire simple que ce soit pour notre nationalité ou notre religion en majorité judéo chrétienne et là c’est pire car ce greffe un mysticisme religieux moyenâgeux remontant à +2000 ANS le tout chapeauté par des dirigeants ou politiciens donneurs de leçons hypocrites et çà c’est notre faiblesse à nous Français lambda et cela semble incurable !?

 


Jordan Bardella « l’Algérien » AH OUI ! MAIS POURQUOI CE SURNOM ? Car il est franco français né en France à DRANCY n’en déplaise à ces fâcheux qui aiment SEMER les troubles racistes ou autres ?!

Kamel Daoud
Chroniqueur, écrivain et reporter

LA CHRONIQUE DE KAMEL DAOUD. Dans l’affaire des postes de la fonction publique interdits aux binationaux, le prétendant RN à Matignon s’inspire d’une invention algérienne.

Dans le chaos des propagandes électorales, Bardella a brisé un tabou : le président du RN souhaite « empêcher » des Français ayant une autre nationalité d'occuper « des emplois extrêmement sensibles », selon les titres des journaux. Très vite, en France, on se scandalise, avec tiédeur ou excès, devant ce énième avatar du racisme, mais on ignore que cette mesure n'est pas une nouveauté dans certains pays où le racisme est « toléré » comme valeur de l'identité. L'idée d'une « nationalité » pure et purgée des étrangers apparaît comme un classique des populismes, en démocratie ou ailleurs.

Et, si Bardella réclame, en annonciateur des mauvais jours, cette « précaution » pour les hautes fonctions en France, l'Algérie l'a déjà mise en œuvre comme étendard il y a une décennie. Dans ce pays, l'interdiction imposée aux binationaux est un sujet qui revient constamment depuis que le régime a déclenché une guerre imaginaire contre la France pour restaurer sa légitimité épuisée après la décolonisation. « Qui est algérien ? » s'interroge-t-on. Celui défini par une pureté excluant les « autres », soit les traîtres par l'émigration, soit les « impurs » de par la pluralité de leurs origines. Et qui est toujours le binational le plus menaçant ? Le Franco-Algérien, même si la formule « généraliste » ne le vise pas expressément.

« Nationalité sportive », une exception culturelle algérienne

L'interdiction aux postes de souveraineté pour les binationaux est un sujet redondant de l'actualité politique algérienne. L'amendement au Code de la nationalité est un thème favori en temps de crise ou de paranoïa identitaire. En Algérie, depuis 2016, pour être ministre, commandant de région militaire ou président du Conseil d'État, il faut exciper… de sa seule et unique nationalité algérienne. À l'époque, mais encore aujourd'hui, on s'empresse de publier la longue liste des postes interdits aux binationaux : président du Sénat, de l'Assemblée populaire nationale (Parlement), du Conseil constitutionnel, Premier ministre, secrétaire général du gouvernement, premier président de la Cour suprême, gouverneur de la Banque d'Algérie, responsable d'un organe de sécurité, président de la haute instance de surveillance des élections, chef d'état-major de l'armée, commandant des forces armées… « Le président de la République doit, quant à lui, posséder la nationalité algérienne d'origine », note-t-on. Par effet de ruissellement, presque tous les postes sont interdits d'accès, par nécessité d'obéissance des échelons inférieurs dans l'administration. Un « bi » est déjà un félon.

Kamel Daoud – La chasse aux « bi » est ouverte

Plus tard, après la chute du régime de Bouteflika, en 2019, l'index fut plus ou moins amendé. Le Code de la nationalité, quant à lui, est aussi utilisé à d'autres fins : le bannissement pour les opposants politiques vivant à l'étranger. En effet, en plus des terroristes, la déchéance de nationalité peut s'appliquer à présent aux personnes «  qui portent de graves préjudices aux intérêts de l'État ou qui portent atteinte à l'unité nationale ». Puis la «  pureté  » s'est étendue aux propriétaires de médias qui, depuis août 2023, doivent être exclusivement algériens. En réalité, le seul champ de reconnaissance, pour les binationaux algériens, reste le football : là, les joueurs français, franco-algériens, formés en France, ont le privilège d'être les stars des foules et des islamistes. Personne ne doute de leur « pureté » ni de leur nationalisme.

 Législatives : le RN et le piège de la binationalité

En 2008, un président de la Fédération algérienne de football inventa même la « nationalité sportive » pour surmonter l'écueil attentatoire à la race pure. On lui attribue, à tort ou à raison, la paternité de la fameuse « loi de Bahamas », «  un mécanisme qui permet aux footballeurs ayant joué dans les catégories jeunes d'un pays de changer de nationalité sportive  ». Ainsi les binationaux franco-algériens possèdent une « nationalité sportive », instrument d'exaltation d'un hypernationalisme autochtone et qui permet de coiffer, avec bigoterie, ce paradoxe de la « pureté ».

La France vaut bien un ministère

Que fera la France de ce sujet après les élections ? Un peu de tout : polémiques, inquiétudes, outrances, racisme, réflexion sur la souveraineté… Bardella a brisé un tabou, mais gageons qu'il sera bien vite rattrapé par la réalité. Là aussi, il ne serait pas le premier. Une petite anecdote savoureuse : en juin 2020, Alger nomme un ex-député algérien, chargé de la communauté algérienne en France, ministre de la Diaspora… pour trois jours. En effet, on s'aperçut très vite qu'il possédait la double nationalité franco-algérienne, ce qui lui interdisait de facto l'accès à cette fonction. Sommé de décider entre le portefeuille et la nationalité française, l'homme n'hésita pas : entre le passeport rouge de la France et l'hypernationalisme, il choisit la nationalité… française. On ne joue pas au ballon ou avec l'avenir.

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Là avec ces élections législatives « macroniennes puisque c’est le président qui les a déclenchées de par sa volonté de dissoudre notre ASSEMBLEE NATIONALE (ce qui est un acte de presque totalitarisme confirmant que nous donnons trop de pouvoir à un seul homme comme d’autres avant lui ce qui-là est inutile dans ce cas-là d’ailleurs puisqu’il est inéligible jusqu’en 2027)

De par notre constitution donc gratuit pour lui car pour semer le désordre dont il veut aussi effrayer les Français ce qui est aussi une attitude impardonnable de plus de plus puisque c’est de BARDELLA dont on parle leader RN pourquoi le surnomme-t-on : Jordan Bardella « l’Algérien » alors qu’il est né à DRANCY !?

Est-ce un défaut de vouloir prendre des dirigeants jeunes comme notre président ou comme le beau BARDELLA remarquer il y a un autre mais lui c’est un vieux revanchard de MELENCHON ex ministre PS qui est dans la course le pire du pire semble-t-il que l’on puisse trouver et ce qui démontre avec trop d’autres problèmes non résolus que notre France que j’aime va vraiment mal !?

Drancy a longtemps été un bastion communiste de la « ceinture Rouge » de la région parisienne (de 1935 à 2001), dirigé pendant 38 ans (1959-1997) par une figure historique du PCF et ancien grand résistant de la Seconde Guerre mondiale, Maurice Nilès, qui fut député sans interruption pendant 28 ans (1958-1986)

D'août 1941 à août 1944, le camp d'internement de Drancy a été le site principal de la Shoah en France de triste mémoire !?

Donc pour revenir à ses élections législatives stupides la seule vraie solution qui semble la seule raisonnable serait de nous débarrasser rapidement et sans attendre 2027 de ce président d’une nullité remarquable avec « sa macronie » tirée au sort et ses gouvernements de politiciens de tous bords qui ne pensent qu’à eux pas à la France avant qu’il ne soit trop tard mais là cela parait utopique concernant les Français qui pourtant ne l’aime plus beaucoup fassent quelque chose dans ce sens alors attendons les résultats du 07/7 mais sans beaucoup d’espoir !?

Jdeclef 02/07/2024 11h50

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lundi 1 juillet 2024

Avec cette déplorable classe politique de politiciens de tous bords dans un pays qui part à vau l’eau dans tous les domaines de notre société l’avenir n’est plus rose ou vert et il est déjà passé au gris et pas loin du noir quant au bleu il devient transparent attention qu’il ne devienne pas totalitaire et démocrature !?

 

Consignes de vote, retrait… Tout ce qu’il faut savoir avant le second tour des législatives IL N’Y A RIEN A SAVOIR DE CETTE CLASSE POLITIQUE DE TOUS BORDS C’EST MAGOUILLES ET CIES ?!

Les candidats ont jusqu’à 18 heures ce mardi 2 juillet pour décider de se maintenir. La France insoumise a d’ores et déjà annoncé que les candidats en troisième position se désisteraient lorsque le RN est arrivé en tête.

Par Juliette Vignaud

Publié le 01/07/2024 à 09h56, mis à jour le 01/07/2024 à 11h28

Les tractations pour le second tour ont commencé. Au lendemain du score inédit du Rassemblement national lors du premier tour des élections législatives, les consignes de vote s'affinent. Clé du second tour des législatives, plus de 300 circonscriptions sont dans une situation potentielle de triangulaire, voire de quadrangulaire, dont 161 où le Rassemblement national et ses alliés d'extrême droite sont arrivés en tête. Cela devrait ainsi entraîner de nombreux désistements alors que les candidats encore en lice ont jusqu'à 18 heures ce mardi 2 juillet pour décider de se retirer, ou non.

Or, dans plus de la moitié de ces territoires, l'extrême droite s'est placée en première position, le plus souvent sous l'étiquette RN (134 candidats) et dans les autres cas d'un parti allié (27 candidats). Dans ce cas de figure, la gauche et la macronie appellent à des désistements sous certaines conditions. Du côté du Nouveau Front populaire, les partis ont déjà donné une consigne claire : tout candidat arrivé en troisième position devra se retirer uniquement lorsque le RN est arrivé en tête.

« Jean-Luc Mélenchon a dit : retrait sans condition de tous les candidats LFI arrivés troisièmes dans l'hypothèse où le Rassemblement national (RN) est en tête et donc en mesure d'emporter des sièges supplémentaires. Notre mot d'ordre, c'est “pas une voix, pas un siège de plus au Rassemblement national” », a expliqué Manuel Bompard, coordinateur national de La France insoumise, au micro de RTL.

  « Quand le RN est en tête, et donc en mesure de l'emporter, et que nous arrivons en troisième position, nous prenons nos responsabilités », a-t-il martelé. En gage de bonne volonté, le candidat LFI de la 6e circonscription du Calvados a annoncé son retrait au profit de l'ex-Première ministre Élisabeth Borne.

Braun-Pivet fait le « distinguo » au sein de La France insoumise

Emmanuel Macron, lui, a donné des consignes encore floues en appelant à « un large rassemblement clairement démocrate et républicain pour le second tour ». Sans préciser si LFI entre dans ce périmètre. Ayant régulièrement exclu le parti Insoumis du champ républicain, Emmanuel Macron semble ainsi opter pour une approche au cas par cas, en fonction des candidats qualifiés pour le second tour.

C'est en tout cas la ligne de conduite que préconise Yaël Braun-Pivet, présidente de l'Assemblée nationale jusqu'à sa récente dissolution. Interrogée par BFMTV-RMC sur les consignes de vote du parti présidentiel, elle a insisté sur le fait qu'aucune voix ne devait aller « pour le RN ». « Concernant le bloc de gauche, l'immense majorité du bloc est républicain, on peut appeler à voter pour eux et c'est ce que je fais pour les socialistes, écologistes et communistes. […] Au sein de La France insoumise, je fais le distinguo, du cas par cas, je ne traite pas de la même façon Caroline Fiat et David Guiraud », a-t-elle détaillé.

 Maire appele à voter pour le camp social-démocrate, qui n'inclut pas LFI

Le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, a appelé lundi à voter au second tour des législatives pour « un candidat du camp social-démocrate » qui n'inclut pas LFI afin de contrer le Rassemblement national. « J'appelle […] tous nos électeurs, lorsque nos candidats ne sont pas au second tour, à voter pour un candidat du camp social-démocrate, c'est-à-dire un représentant du Parti socialiste, du Parti communiste ou des Verts », a-t-il déclaré sur France Inter.

« Je combats le Rassemblement national, mais je ne vote pas pour La France insoumise », a-t-il ajouté, en raison, selon lui, des « positions contre la nation française » adoptées par le parti de Jean-Luc Mélenchon.

 Le Rassemblement national confirme sa percée historiqueDu côté des Républicains, le parti a choisi de ne pas donner de consigne de vote, renvoyant dos à dos La France insoumise et le RN.

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LFI était déjà un piège à couillons mal élevés trublions qui passaient leur temps à manifester à l’ASSEMBLEE NATIONALE en vociférant insultant aboyant etc. à l’image de leur vieux tribun faux jeton patenté Mélenchon qui lui n’est plus élu en créant indirectement cette NUPES de résidus de cette gauche moribonde PS/PC NPA etc. et ce contente du balcon  ce qui lui donne des coudées franches et car changeant d’opinion en fonction des mouvements politiques du moment puisqu’il en vient même à rêver encore à être président de la république puisque 1er ministre qu’il a essayé ça ne marchera pas et là il se régale quand il faut supporter ce genre de trublions dans notre classe politique française il faut avoir de la constante !?

 

Je ne sais pas ce qu’il faut faire pour que la France arrête de dégringoler à cause de politiciens de tous bords aussi médiocres voire même dangereux pour certains jusqu’au plus haut de l’état car d’une incapacité remarquable qui ne savent plus gouverner et même nos protégés et que les Français retrouvent leurs bons sens qu’ils ont perdus depuis trop longtemps !?

A titre d’exemple personnel ma fille de 42 ans et moi-même vivons ensemble car nous n’avons plus de famille mon épouse sa mère est décédée en 2010 à 65 ans de grave maladie et tous les deux nous nous tenons les coudes et faisons une bonne équipe nous voyageons de par le monde quand nous pouvons le faire lors des vacances comme je le faisais déjà avec sa mère.

 

Tout cela pour dire que dernièrement ma fille m’a dit tellement elle était écœurée par notre société française actuelle : tu sais papa si tu n’étais pas là je serais partie à l’étranger elle travaille dans une société qui aide les gens handicapés de tout ordre secrétaire de direction à l’image de sa mère elle ménage pas sa peine qui elle aussi était éducatrice spécialisée pour personnes ayant des handicaps mentaux ou autres d’ailleurs et elle n’a pas profité de sa retraite çà tient de famille !?

Jdeclef 01/07/2024 15h16

OUI ! On peut dire qu’il n’a pas perdu ce qui n’est pas tout à fait la même chose que d’avoir gagné franchement notre président qui dédaigne tant les français qu’il déteste mais le plus grave chez cet homme orgueilleux petit bourgeois à l’image bien pire que nos présidents précédents guères meilleurs mais moins malins pour faire court depuis Sarkozy et depuis les derniers quinquennats après les septennats de la gauche mitterrandienne donc depuis + de 40 ans et la déconfiture de la droite LR !?

 

Chaos des législatives : merci Macron ! CE PRESIDENT EST CELUI DANS CETTE VEME REPUBLIQUE QUI SERA LE PLUS MOQUE D’EUX :(il faut dire que chez nos concitoyens il y en a qui traine une sacrée couche de nullité d’ailleurs quand on vote si mal depuis si longtemps c’est comme une maladie incurable attendons ce 2 eme tour sans surprise car il n'y a pas de remède !?)

LA CHRONIQUE DE SOPHIE COIGNARD. Présentée par son auteur comme un trait de génie, la dissolution débouche, au soir du premier tour, sur un paysage politique dévasté.

Par Sophie Coignard

Publié le 01/07/2024 à 06h10

Lors de son élection en 2017, Emmanuel Macron s'était engagé à « tout faire » contre la progression des « extrêmes ». © JEANNE ACCORSINI/SIPA

Un homme en blouson de cuir, baskets noires, jean, casquette et lunettes de soleil, façon vedette se promenant incognito, arpente les trottoirs du Touquet ce week-end d'élections législatives. Mais ses nombreux gardes du corps le font repérer de loin. Cet homme, c'est Emmanuel Macron. Ce président qui, par dépit narcissique, au soir de sa déroute aux européennes, a fait un caprice et mené son pays au bord du précipice. A-t-il au moins l'air grave, préoccupé, dans l'attente de résultats qui s'annoncent inquiétants ? Pas le moins du monde. Il sourit comme un adolescent qui a décidé de montrer par sa démarche, par sa tenue vestimentaire, combien il est « cool ».

 « Une nouvelle campagne commence » : veillée d'armes en macronieLes heures passent, ce dimanche 30 juin, jusqu'au verdict des urnes, prononcé à 20 heures. Le RN et ses ralliés ciottistes arrivent largement en tête, avec plus de 10 millions de voix, 15 points de plus qu'aux législatives précédentes, un score amélioré par rapport aux récentes élections européennes.

En 2017, l'homme à la casquette et aux baskets avait assuré que, grâce à son action à la tête de l'État, il n'y aurait plus aucune raison de voter Front national. Bravo l'artiste ! Sept ans plus tard, l'extrême droite qu'il entendait effacer est en passe de le neutraliser. Pas seulement en raison de la détestation qu'il provoque dans de nombreuses couches de la société, mais aussi à cause de son bilan si facile à déconstruire, entre la dette galopante, l'incapacité à réformer l'État et les petites feintes politiciennes sur la loi immigration… Entre autres !

Cacophonie en macronie

Pourtant, cet homme, le président donc, n'a toujours pas appris l'humilité. Il ne sait pas se taire. Donner de la valeur à ses silences. Au contraire, il a démonétisé sa parole. La campagne de son camp a été polluée par ses prises de parole à répétition. Et voilà qu'à 20 heures et quelques minutes à peine il s'exprime le premier, avant tous les chefs de parti. Il a passé son temps à vendre le « ni ni » (ni extrême droite ni extrême gauche) pour tenter de promouvoir le sien et doit bien, ce soir, reconnaître son cinglant échec. Son jeu de construction vient de s'écrouler ? Peu lui chaut ! « Face au Rassemblement national, l'heure est à un large rassemblement clairement démocrate et républicain pour le second tour », écrit-il dans une déclaration envoyée à l'AFP.

« Pas une voix ne doit aller au Rassemblement national », dit en écho Gabriel Attal depuis l'hôtel Matignon. D'accord, mille fois d'accord. Cela implique donc un désistement en faveur de tout candidat autre que RN quand celui de la majorité est en troisième position ? C'est alors que les choses se compliquent.

 Une majorité absolue RN, « un scénario possible mais pas le plus probable » La macronie passe la soirée à tergiverser et à se contredire sur une question que son chef a créée de toutes pièces en flinguant la droite et la gauche : que faire quand on a le choix entre deux candidats éloignés des valeurs républicaines ? Entre un RN et un mélenchoniste impénitent ?

« La décision de dissoudre l'Assemblée nationale a, dans les faits, mis fin à un paysage politique qui avait résulté de l'élection présidentielle de 2017 », acte Édouard Philippe. Seul problème : le paysage que lègue Emmanuel Macron est bien plus dévasté que celui qu'il s'est employé à détruire depuis son accession au pouvoir.

Mais pour quoi faire ce « Mr » et sa « macronie » fantôme » pour semer le chaos électoral et semer un désordre pas possible ce président vexé par cette dissolution style « caca nerveux » que les Français n’ont pas compris et qui logiquement auraient mieux accepté une démission parce que là il a semé un souk inadmissible puisque inéligible jusqu’en 2027 !?

Si l’extrême droite RN de M.LE PEN et son dauphin le beau BARDELLA qui aurait la majorité totale ce qui parait peut être difficile plus proche d’une relative ce qui fait dire que celui-ci a eu peut être « les yeux plus gros que le ventre » mais il s’en est rendu compte ce qui est à mettre à son crédit car retrouvant un bon sens que beaucoup de français lambda ont perdu dans notre pauvre France qui collectionne les jeunes loups petits minets 1ers ministres inutiles car c’est le président à qui on a donné trop de pouvoir qui décide de tout (remarquons que SARKOZY avec son 1er ministre collaborateur avait raison sur le fond !?)

Comme d’autres qui essaient de réfléchir ou qui tempêtent comme moi depuis ce « macronisme » arrivé chez nous en 2017 par défaut et en plus reconduit par réélection de son chef en 2022 jusqu’en 2027 par des Français idiots car ce n’est pas facile se convaincre avec ces citoyens fantasques car depuis si longtemps ne sachant plus voter ni choisir leurs dirigeants et gouvernements et aussi leurs députés aux législatives pour notre assemblée nationale (mais qui votent les lois !?)

Pour terminer et çà c’est le plus important dans cette lutte des extrêmes initiés soi-disant par notre président donneur de leçons qui savait ce qu’il faisait : il y a l’extrême droite M.Lepen ex FN devenu RN BARDELLA on connait sans surprise c’est un pétard mouillé par contre l’extrême gauche Mélenchoniste LFI et ses ramassis de ces gauches PS PC écolos déçus NPA etc. Là c’est une bombe à fragmentation et retardement qui peut faire du dégât dans la nouvelle gouvernance déjà difficile de notre pauvre pays !?

Jdeclef 01/07/2024 13h01

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