RN et LFI : la
guerre des peurs fomentés par des abrutis qui nous poussent vers le néant !?
Donc désolé de le dire c’est du président et sa « macronie » dont il
faut se séparer pour assainir en profondeur notre classe politique dans sa
totalité en changeant de république il est plus que temps !?
L’ÉDITO DE
FOG. Exit la macronie. Place à l’extrémisme. Celui de droite est aux portes du
pouvoir, quand celui de gauche prospère malgré un antisémitisme obsessionnel.
« Emmanuel Macron a
déclaré la guerre aux Français » : BON ALORS IL FAUT LUI REPONDRE ET
NE PAS HESITER CAR SINON SERA ENCORE DU TEMPS PERDU A BAVASSER POUR NE RIEN DIRE
D’UTILE PUISQU’IL DETESTE TANT CES GENS PAS DE SON MONDE IL A DE LA CHANCE ON N’EST
PLUS EN 1793 IL NE RISQUE PAS SA TETE COMME LOUIS XVI !?
(Mais
attention à un retour de flamme d’un homme orgueilleux et vexé s’il lui reste
des cartouches pour se défendre !?)
Les électeurs
ont répondu au président qui les sommait de confirmer leurs votes pour le RN.
Un face-à-face entre un homme et un peuple qui touche à sa fin.
Publié le
01/07/2024 à 06h00
Voilà donc ce que coûte de dire
« chiche » aux Français. « Chiche », en somme, allez
jusqu'au bout de votre logique ! « Chiche », ayez le courage (ou
la folie) de vouloir ce que vous voulez ! Derrière la dissolution, il y a
aussi cette provocation du président, cette sommation appelée
« clarification ». Une sorte de pulsion nihiliste, qui n'est pas
venue de la rue mais de l'Élysée.
Ce qui a fait dire au sociologue Emmanuel Todd, au lendemain de la
dissolution : « Emmanuel
Macron a déclaré la guerre aux
Français. » Leur réponse est tout entière dans ce résultat
du premier tour des législatives, qui a mobilisé 66,7 % des électeurs.
Réponse claire, cinglante et sans équivoque : 33,1 % pour le RN, 28 %
pour le Nouveau Front populaire, 20 % pour la majorité sortante. Comme
si cette élection était en réalité un face-à-face entre un homme et un
peuple. Un face-à-face qui touche à sa fin, après des années de mots blessants,
de 49.3 et de mouvements sociaux. La personnalisation et la centralisation du
pouvoir ne pouvaient qu'entraîner ce ressentiment populaire à l'endroit du chef
de l'État. Nicolas Sarkozy a perdu en 2012. François Hollande n'a pu se
représenter en 2017. Emmanuel Macron, élu jusqu'en 2027, terminera-t-il son
deuxième mandat ?
Les électeurs ont confirmé la tendance des élections européennes en portant à nouveau le parti de Jordan
Bardella en tête. L'entre-deux-tours donnera lieu à des négociations, des
ralliements et des désistements qui viendront corriger, sinon affaiblir, le
véritable poids électoral du RN, qui ne sera pas proportionnel à sa
représentation parlementaire. Or, pour comprendre où en est politiquement la
France de 2024, il faut retenir les résultats de ce 30 juin,
non ceux du 7 juillet. Une partie du pays a dit vouloir autre chose. Ces
douze millions d'électeurs du RN, longtemps résignés, se sont exprimés comme
ils ne l'avaient jamais fait auparavant au cours de législatives.
Par sa mobilisation, cette France dément le mot fameux
de Paul Valéry, qui disait : « La politique, c'est l'art d'empêcher
les gens de se mêler de ce qui les regarde. » Ces Français, parmi
lesquels de nombreux déclassés, mais aussi de petits retraités et des jeunes
habitants des sous-préfectures, ont décidé de se mêler de leur avenir. Ce qui,
au passage, met une pression colossale aux élus du RN, si d'aventure ils
obtenaient une majorité absolue.
Car il faut dorénavant distinguer le RN (l'instrument) de ses
électeurs (la main qui agite l'instrument). Marine Le Pen n'ignore pas que le
populisme-nationaliste dont elle a usé pour arriver à ses fins est un
« hyper démocratisme » (selon l'expression de Pierre-André Taguieff)
qui n'hésitera pas, le moment venu, à la balayer au moindre reniement. Et des
reniements, il y en aura, se dit-on, quand on regarde le programme de son
parti, tant sur l'économie que sur la cohésion du pays. Il faut voir aussi que
le peuple ethnos a parlé au cours de ce premier tour, en même
temps que le peuple demos. Soit la volonté, pour la France du RN, de
renouer à la fois avec un capital immatériel, tout en
se constituant un capital matériel. Autrement dit, l'identité d'avant
et le social pour les lendemains. Il sera plus difficile de répondre à la
première aspiration qu'à la seconde – qui appellera de la dépense publique
facile.
L'épouvantail Le Pen désigne
plus épouvantail qu'elle
Le Nouveau Front populaire, lui aussi, a réussi son pari. D'abord celui de
se réunir très vite après la dissolution, en dépit des détestations internes.
Ensuite, il a su rassembler son électorat, alliance des bourgeois des villes,
des jeunes diplômés et des habitants des périphéries. Le ressort antiraciste,
vieux des années 1980, est encore efficient.
La LFI, par la lâcheté ou l'opportunisme de ses alliés, a pu faire oublier
l'antisémitisme de quelques-uns de ses membres. Le parti de Mélenchon et ses
alliés, par leur nombre, se retrouveront avec le statut de première force
d'opposition au RN de Bardella. D'ailleurs, Marine Le Pen ne s'y est pas
trompée en désignant dès hier soir Mélenchon comme étant son
principal adversaire. La députée, réélue dès le premier tour, est dans la
position de Macron en 2017, qui savait que sa survie électorale dépendait de la
présence d'un repoussoir face à lui. L'épouvantail Le Pen désigne donc plus
épouvantail qu'elle, croit-elle, en la personne du leader Insoumis.
Au centre, Gabriel Attal n'aura pas démérité. Emmanuel Macron l'a un jour
désigné comme son « petit frère ». On ne sait si c'est par mépris ou
par affection. En l'occurrence, le petit frère a fait montre de plus de
raison que le grand. Qu'aurait-il donné, dès 2022, à Matignon, à la place
d'Élisabeth Borne qui fut une erreur de casting que le président paye
encore ?
Attal a pris de l'épaisseur dans cette campagne des législatives, et il
en prendra encore plus en s'affranchissant franchement du président. La
macronie, qu'il faudra désormais appeler autrement, ne peut plus faire fi des
dégâts colossaux d'une mondialisation qui a profité à elle et à ses
électeurs durant au moins trois décennies. La dépense publique sous Emmanuel
Macron a explosé sans que cela ne soit une réponse satisfaisante pour les
catégories populaires qui ont préféré Jordan Bardella. On en revient donc au
capital immatériel, c'est-à-dire à ce que l'économie ne peut pas
produire : la convivialité, l'entraide, la proximité, l'autorité,
l'altruisme, la sécurité, la considération, le mérite, un projet collectif, un
récit fédérateur… Tout a déjà été dit. L'avantage, pour un politique,
résiderait aujourd'hui dans la manière de le redire et surtout de
l'accomplir.
C’est désolant mais ce président
n’a jamais compris les Français et ne l’es a pas aimés voir mêmes les a dédaignés
en ce comportant comme un petit bourgeois du IXX eme siècle ou monarque dans l’ancien
régime de cette Veme république redevenue monarchique pourtant ayant donné aux
Français ce suffrage universel pur élire leurs dirigeants et politiciens de
tous bords dont avec leur assemblée nationale pour leurs députés !?
On voit de plus en plus la médiocrité
de leurs classes politiques et leurs partis ringards pilotés indirectement par
un 1er ministre mais qui est inféodé
au pouvoir presque total du président qui a été augmenté durant ces derniers
quinquennats post septennats il y a + de
40 ans et qui n’ont pas changé grand-chose si ce n’est que de revoir les mêmes réapparaitre
sans que les Français lambda s’en rendent vraiment compte et que ces pauvres
citoyens d’une naïveté ont réélu en 2022 jusqu’en 2027 malgré un quinquennat qu’il
a raté des 2018 avec ces affaires des
gilets jaunes et autres heurts divers comme cette réforme des retraites qui personne
ne voulait ou le COVID dont il se sert d’alibi alors que c’est l’Union Européenne
qui nous a sorti de ce problème de pandémie par une campagne de vaccination
bien pilotée et mêmes des situations internationales devenant dangereuses dans
ce monde entier instable !?
On en est arrivé là : avec
ce capharnaüm électoral organisé par ce président et sa dissolution inutile qui
a réussi à opposer les extremes droite RN et gauches LFI Mélenchoniste NUPES etc.
avec d’autres trublions marginaux ce disant lui-même contre eux pour les
combattre avec sa « macronie » moribonde qui va sombrer comme le pays
malheureusement peut être et si les Français ne comprennent pas cela c’est qu’ils
sont incurables (je dis çà parce qu’ayant connus tous les présidents de cette
VEME de 1958 lui semble le plus mauvais des ratés qui se sont succédés et les
Français semble-t-il n’ont pas évolué en bon sens et éducation et la façon dont
ils votent depuis des décennies semble le prouver hélas !?)
Jordan Bardella « l’Algérien »
AH OUI ! MAIS POURQUOI CE SURNOM ? Car il est franco français né
en France à DRANCY n’en déplaise à ces fâcheux qui aiment SEMER les troubles
racistes ou autres ?!
LA CHRONIQUE
DE KAMEL DAOUD. Dans l’affaire des postes de la fonction
publique interdits aux binationaux, le prétendant RN à Matignon s’inspire
d’une invention algérienne.
Dans le chaos des propagandes électorales,
Bardella a brisé un tabou : le président du RN souhaite
« empêcher » des Français ayant une autre nationalité d'occuper
« des emplois extrêmement sensibles », selon les titres des journaux. Très vite, en France, on se scandalise,
avec tiédeur ou excès, devant ce énième avatar du racisme, mais on
ignore que cette mesure n'est pas une nouveauté dans certains pays où
le racisme est « toléré » comme valeur de l'identité. L'idée d'une
« nationalité » pure et purgée des étrangers apparaît comme un
classique des populismes, en démocratie ou ailleurs.
Et, si
Bardella réclame, en annonciateur des mauvais jours, cette
« précaution » pour les hautes fonctions en France, l'Algérie
l'a déjà mise en œuvre comme étendard il y a une décennie. Dans ce pays,
l'interdiction imposée aux binationaux est un sujet qui revient constamment
depuis que le régime a déclenché une guerre imaginaire
contre la France pour restaurer sa légitimité épuisée après la
décolonisation. « Qui est algérien ? » s'interroge-t-on. Celui
défini par une pureté excluant les « autres », soit les traîtres
par l'émigration, soit les
« impurs » de par la pluralité de leurs origines. Et qui est
toujours le binational le plus menaçant ? Le Franco-Algérien, même si la
formule « généraliste » ne le vise pas expressément.
« Nationalité
sportive », une exception culturelle algérienne
L'interdiction
aux postes de souveraineté pour les binationaux est un sujet redondant de
l'actualité politique algérienne. L'amendement au Code de la nationalité est un
thème favori en temps de crise ou de paranoïa identitaire. En Algérie, depuis 2016,
pour être ministre, commandant de région militaire ou président du Conseil
d'État, il faut exciper… de sa seule et unique nationalité algérienne. À
l'époque, mais encore aujourd'hui, on s'empresse de publier la longue liste
des postes interdits aux binationaux : président du Sénat, de l'Assemblée
populaire nationale (Parlement), du Conseil constitutionnel, Premier ministre,
secrétaire général du gouvernement, premier président de la Cour suprême,
gouverneur de la Banque d'Algérie, responsable d'un organe de sécurité,
président de la haute instance de surveillance des élections, chef d'état-major
de l'armée, commandant des forces armées… « Le
président de la République doit, quant à lui, posséder la nationalité
algérienne d'origine », note-t-on. Par effet de ruissellement,
presque tous les postes sont interdits d'accès, par nécessité d'obéissance des
échelons inférieurs dans l'administration. Un « bi » est déjà un
félon.
Plus tard,
après la chute du régime de Bouteflika, en 2019, l'index fut plus ou moins
amendé. Le Code de la nationalité, quant à lui, est aussi utilisé à
d'autres fins : le bannissement pour les opposants politiques vivant à
l'étranger. En effet, en plus des terroristes, la déchéance de nationalité peut
s'appliquer à présent aux personnes « qui
portent de graves préjudices aux intérêts de l'État ou qui portent atteinte à
l'unité nationale ». Puis la « pureté » s'est
étendue aux propriétaires de médias qui, depuis août 2023, doivent être
exclusivement algériens. En réalité, le seul champ de reconnaissance, pour
les binationaux algériens, reste le football : là, les joueurs français,
franco-algériens, formés en France, ont le privilège d'être les stars des
foules et des islamistes. Personne ne doute de leur « pureté »
ni de leur nationalisme.
En 2008, un
président de la Fédération algérienne de football inventa même la
« nationalité sportive » pour surmonter l'écueil attentatoire à la
race pure. On lui attribue, à tort ou à raison, la paternité de la fameuse
« loi de Bahamas », « un
mécanisme qui permet aux footballeurs ayant joué dans les catégories
jeunes d'un pays de changer de nationalité sportive ».
Ainsi les binationaux franco-algériens possèdent une « nationalité
sportive », instrument d'exaltation d'un hypernationalisme autochtone et qui
permet de coiffer, avec bigoterie, ce paradoxe de la « pureté ».
La
France vaut bien un ministère
Que fera
la France de ce sujet après les élections ? Un peu de tout :
polémiques, inquiétudes, outrances, racisme, réflexion sur la souveraineté…
Bardella a brisé un tabou, mais gageons qu'il sera bien vite rattrapé
par la réalité. Là aussi, il ne serait pas le premier. Une petite anecdote
savoureuse : en juin 2020, Alger nomme un ex-député algérien, chargé
de la communauté algérienne en France, ministre de la Diaspora… pour trois
jours. En effet, on s'aperçut très vite qu'il possédait la double nationalité
franco-algérienne, ce qui lui interdisait de facto l'accès à cette fonction.
Sommé de décider entre le portefeuille et la nationalité française, l'homme
n'hésita pas : entre le passeport rouge de la France et
l'hypernationalisme, il choisit la nationalité… française. On ne joue pas au
ballon ou avec l'avenir.
Là avec ces
élections législatives « macroniennes puisque c’est le président qui les a
déclenchées de par sa volonté de dissoudre notre ASSEMBLEE NATIONALE (ce qui
est un acte de presque totalitarisme confirmant que nous donnons trop de
pouvoir à un seul homme comme d’autres avant lui ce qui-là est inutile dans ce
cas-là d’ailleurs puisqu’il est inéligible jusqu’en 2027)
De par
notre constitution donc gratuit pour lui car pour semer le désordre dont il
veut aussi effrayer les Français ce qui est aussi une attitude impardonnable de
plus de plus puisque c’est de BARDELLA dont on parle leader RN pourquoi le surnomme-t-on :Jordan Bardella « l’Algérien »alors qu’il est né à DRANCY !?
Est-ce un
défaut de vouloir prendre des dirigeants jeunes comme notre président ou comme
le beau BARDELLA remarquer il y a un autre mais lui c’est un vieux revanchard
de MELENCHON ex ministre PS qui est dans la course le pire du pire semble-t-il
que l’on puisse trouver et ce qui démontre avec trop d’autres problèmes non
résolus que notre France que j’aime va vraiment mal !?
Drancy a longtemps été un bastion communiste de la « ceinture
Rouge » de la région parisienne (de 1935 à
2001), dirigé pendant 38 ans (1959-1997) par une figure historique du PCF et
ancien grand résistant de la Seconde Guerre mondiale, Maurice
Nilès, qui fut député sans interruption pendant 28
ans (1958-1986)
Donc pour revenir à ses élections législatives stupides la
seule vraie solution qui semble la seule raisonnable serait de nous débarrasser
rapidement et sans attendre 2027 de ce président d’une nullité remarquable avec
« sa macronie » tirée au sort et ses gouvernements de politiciens de
tous bords qui ne pensent qu’à eux pas à la France avant qu’il ne soit trop
tard mais là cela parait utopique concernant les Français qui pourtant ne
l’aime plus beaucoup fassent quelque chose dans ce sens alors attendons les
résultats du 07/7 mais sans beaucoup d’espoir !?
Consignes de vote,
retrait… Tout ce qu’il faut savoir avant le second tour des législatives
IL N’Y A RIEN A SAVOIR DE CETTE CLASSE POLITIQUE DE TOUS BORDS C’EST MAGOUILLES
ET CIES ?!
Les candidats
ont jusqu’à 18 heures ce mardi 2 juillet pour décider de se
maintenir. La France insoumise a d’ores et déjà annoncé que les candidats en
troisième position se désisteraient lorsque le RN est arrivé en tête.
Publié le
01/07/2024 à 09h56, mis à jour le 01/07/2024 à 11h28
Les tractations pour le second tour
ont commencé. Au lendemain du score inédit du Rassemblement national lors du premier tour des élections
législatives, les consignes de vote s'affinent. Clé du second tour des
législatives, plus de 300 circonscriptions sont dans une situation
potentielle de triangulaire, voire de quadrangulaire, dont 161 où le
Rassemblement national et ses alliés d'extrême droite sont arrivés en tête.
Cela devrait ainsi entraîner de nombreux désistements alors
que les candidats encore en lice ont jusqu'à 18 heures ce
mardi 2 juillet pour décider de se retirer, ou non.
Or, dans plus de la moitié de ces territoires, l'extrême droite s'est placée
en première position, le plus souvent sous l'étiquette RN (134 candidats) et
dans les autres cas d'un parti allié (27 candidats). Dans ce cas de
figure, la gauche et la macronie appellent à des désistements sous
certaines conditions. Du côté du Nouveau Front populaire, les partis ont déjà
donné une consigne claire : tout
candidat arrivé en troisième position devra se retirer uniquement lorsque
le RN est arrivé en tête.
« Jean-Luc Mélenchon a dit : retrait sans condition de tous
les candidats LFI arrivés troisièmes dans l'hypothèse où le Rassemblement
national (RN) est en tête et donc en mesure d'emporter des sièges
supplémentaires. Notre mot d'ordre, c'est “pas une voix, pas un siège de plus
au Rassemblement national” », a expliqué Manuel Bompard, coordinateur
national de La France
insoumise, au micro de RTL.
« Quand le RN est en tête, et donc en mesure de l'emporter, et que nous
arrivons en troisième position, nous prenons nos responsabilités »,
a-t-il martelé. En gage de bonne volonté, le candidat LFI de la 6e
circonscription du Calvados a annoncé son retrait au profit de l'ex-Première
ministre Élisabeth Borne.
Braun-Pivet fait le « distinguo » au sein de La France insoumise
Emmanuel Macron, lui, a donné des
consignes encore floues en appelant à « un large rassemblement
clairement démocrate et républicain pour le second tour ». Sans préciser
si LFI entre dans ce périmètre. Ayant régulièrement exclu le parti
Insoumis du champ républicain, Emmanuel Macron semble ainsi opter
pour une approche au cas par cas, en fonction des candidats qualifiés pour le
second tour.
C'est en tout cas la ligne de conduite que préconise Yaël Braun-Pivet,
présidente de l'Assemblée nationale jusqu'à sa récente dissolution.
Interrogée par BFMTV-RMC sur les consignes de vote du parti présidentiel, elle
a insisté sur le fait qu'aucune voix ne devait aller « pour le
RN ». « Concernant le bloc de gauche, l'immense majorité du bloc est
républicain, on peut appeler à voter pour eux et c'est ce que je fais pour les
socialistes, écologistes et communistes. […] Au sein de La France
insoumise, je fais le distinguo, du cas par cas, je ne traite pas de la même
façon Caroline Fiat et David Guiraud », a-t-elle détaillé.
Maire appele à voter pour le camp social-démocrate, qui n'inclut pas LFI
Le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, a appelé lundi à voter au
second tour des législatives pour « un candidat du camp
social-démocrate » qui n'inclut pas LFI afin de contrer le
Rassemblement national. « J'appelle […] tous nos électeurs, lorsque nos
candidats ne sont pas au second tour, à voter pour un candidat du camp
social-démocrate, c'est-à-dire un représentant du Parti socialiste, du Parti
communiste ou des Verts », a-t-il déclaré sur France Inter.
« Je combats le Rassemblement national, mais je ne vote pas pour La
France insoumise », a-t-il ajouté, en raison, selon lui, des
« positions contre la nation française » adoptées par le parti de
Jean-Luc Mélenchon.
LFI était déjà un piège à couillons
mal élevés trublions qui passaient leur temps à manifester à l’ASSEMBLEE NATIONALE
en vociférant insultant aboyant etc. à l’image de leur vieux tribun faux jeton
patenté Mélenchon qui lui n’est plus élu en créant indirectement cette NUPES de
résidus de cette gauche moribonde PS/PC NPA etc. et ce contente du balcon ce qui lui donne des coudées franches et car
changeant d’opinion en fonction des mouvements politiques du moment puisqu’il
en vient même à rêver encore à être président de la république puisque 1er
ministre qu’il a essayé ça ne marchera pas et là il se régale quand il faut supporter
ce genre de trublions dans notre classe politique française il faut avoir de la
constante !?
Je ne sais pas ce qu’il faut faire
pour que la France arrête de dégringoler à cause de politiciens de tous bords
aussi médiocres voire même dangereux pour certains jusqu’au plus haut de l’état
car d’une incapacité remarquable qui ne savent plus gouverner et même nos
protégés et que les Français retrouvent leurs bons sens qu’ils ont perdus depuis
trop longtemps !?
A titre d’exemple personnel ma fille
de 42 ans et moi-même vivons ensemble car nous n’avons plus de famille mon épouse
sa mère est décédée en 2010 à 65 ans de grave maladie et tous les deux nous
nous tenons les coudes et faisons une bonne équipe nous voyageons de par le monde
quand nous pouvons le faire lors des vacances comme je le faisais déjà avec sa mère.
Tout cela pour dire que dernièrement
ma fille m’a dit tellement elle était écœurée par notre société française
actuelle : tu sais papa si tu n’étais pas là je serais partie à l’étranger
elle travaille dans une société qui aide les gens handicapés de tout ordre secrétaire
de direction à l’image de sa mère elle ménage pas sa peine qui elle aussi était
éducatrice spécialisée pour personnes ayant des handicaps mentaux ou autres d’ailleurs
et elle n’a pas profité de sa retraite çà tient de famille !?
Chaos des
législatives : merci Macron ! CE PRESIDENT EST CELUI DANS CETTE VEME
REPUBLIQUE QUI SERA LE PLUS MOQUE D’EUX :(il faut dire que chez nos
concitoyens il y en a qui traine une sacrée couche de nullité d’ailleurs quand
on vote si mal depuis si longtemps c’est comme une maladie incurable attendons ce
2 eme tour sans surprise car il n'y a pas de remède !?)
LA CHRONIQUE
DE SOPHIE COIGNARD. Présentée par son auteur comme un trait de génie, la
dissolution débouche, au soir du premier tour, sur un paysage politique
dévasté.
Un homme en blouson de cuir,
baskets noires, jean, casquette et lunettes de soleil, façon vedette se
promenant incognito, arpente les
trottoirs du Touquet ce week-end d'élections législatives. Mais
ses nombreux gardes du corps le font repérer de loin. Cet homme, c'est Emmanuel Macron. Ce
président qui, par dépit narcissique, au soir de sa déroute aux européennes, a fait
un caprice et mené son pays au bord du précipice.
A-t-il au moins l'air grave, préoccupé, dans l'attente de résultats qui
s'annoncent inquiétants ? Pas le moins du monde. Il sourit comme un
adolescent qui a décidé de montrer par sa démarche, par sa tenue vestimentaire,
combien il est « cool ».
« Une
nouvelle campagne commence » : veillée d'armes en macronieLes heures passent, ce dimanche
30 juin, jusqu'au verdict des urnes, prononcé à 20 heures. Le RN et
ses ralliés ciottistes arrivent largement en tête, avec
plus de 10 millions de voix, 15 points de plus qu'aux
législatives précédentes, un score amélioré par rapport aux récentes élections
européennes.
En 2017, l'homme à la
casquette et aux baskets avait assuré que, grâce à son action à la tête de
l'État, il n'y aurait plus aucune raison de voter Front national. Bravo
l'artiste ! Sept ans plus tard, l'extrême droite qu'il entendait effacer
est en passe de le neutraliser. Pas seulement en raison de la détestation qu'il
provoque dans de nombreuses couches de la société, mais aussi à cause de son
bilan si facile à déconstruire, entre la dette galopante, l'incapacité à
réformer l'État et les petites feintes politiciennes sur la loi immigration…
Entre autres !
Cacophonie en macronie
Pourtant, cet homme, le
président donc, n'a toujours pas appris l'humilité. Il ne sait pas se taire.
Donner de la valeur à ses silences. Au contraire, il a démonétisé sa parole. La
campagne de son camp a été polluée par ses prises de parole à répétition. Et
voilà qu'à 20 heures et quelques minutes à peine il s'exprime le
premier, avant tous les chefs de parti. Il a passé son temps à vendre le
« ni ni » (ni extrême droite ni extrême gauche) pour tenter de
promouvoir le sien et doit bien, ce soir, reconnaître son cinglant échec. Son
jeu de construction vient de s'écrouler ? Peu lui chaut ! « Face
au Rassemblement national, l'heure est à un large rassemblement clairement
démocrate et républicain pour le second tour », écrit-il dans une déclaration
envoyée à l'AFP.
« Pas une voix ne
doit aller au Rassemblement national », dit en écho Gabriel Attal depuis
l'hôtel Matignon. D'accord, mille fois d'accord. Cela implique donc un
désistement en faveur de tout candidat autre que RN quand celui de la majorité
est en troisième position ? C'est alors que les choses se compliquent.
Une
majorité absolue RN, « un scénario possible mais pas le plus
probable »
La macronie passe la soirée à tergiverser et à se contredire sur une question
que son chef a créée de toutes pièces en flinguant la droite et la
gauche : que faire quand on a le choix entre deux candidats éloignés des
valeurs républicaines ? Entre un RN et un mélenchoniste impénitent ?
« La
décision de dissoudre l'Assemblée nationale a, dans les faits, mis fin à un
paysage politique qui avait résulté de l'élection présidentielle de
2017 », acte Édouard Philippe. Seul problème : le paysage que lègue
Emmanuel Macron est bien plus dévasté que celui qu'il s'est employé à détruire
depuis son accession au pouvoir.
Mais pour quoi faire ce « Mr » et sa « macronie » fantôme »
pour semer le chaos électoral et semer un désordre pas possible ce président
vexé par cette dissolution style « caca nerveux » que les Français n’ont
pas compris et qui logiquement auraient mieux accepté une démission parce que
là il a semé un souk inadmissible puisque inéligible jusqu’en 2027 !?
Si l’extrême droite RN de M.LE PEN et son dauphin le beau BARDELLA qui aurait
la majorité totale ce qui parait peut être difficile plus proche d’une relative
ce qui fait dire que celui-ci a eu peut être « les yeux plus gros que le
ventre » mais il s’en est rendu compte ce qui est à mettre à son crédit
car retrouvant un bon sens que beaucoup de français lambda ont perdu dans notre
pauvre France qui collectionne les jeunes loups petits minets 1ers ministres
inutiles car c’est le président à qui on a donné trop de pouvoir qui décide de
tout (remarquons que SARKOZY avec son 1er ministre collaborateur avait
raison sur le fond !?)
Comme d’autres qui essaient de réfléchir ou qui tempêtent comme
moi depuis ce « macronisme » arrivé chez nous en 2017 par défaut et
en plus reconduit par réélection de son chef en 2022 jusqu’en 2027 par des Français
idiots car ce n’est pas facile se convaincre avec ces citoyens fantasques car
depuis si longtemps ne sachant plus voter ni choisir leurs dirigeants et
gouvernements et aussi leurs députés aux législatives pour notre assemblée
nationale (mais qui votent les lois !?)
Pour terminer et çà c’est le plus important dans cette lutte des extrêmes
initiés soi-disant par notre président donneur de leçons qui savait ce qu’il
faisait : il y a l’extrême droite M.Lepen ex FN devenu RN BARDELLA on connait
sans surprise c’est un pétard mouillé par contre l’extrême gauche Mélenchoniste
LFI et ses ramassis de ces gauches PS PC écolos déçus NPA etc. Là c’est une bombe
à fragmentation et retardement qui peut faire du dégât dans la nouvelle gouvernance
déjà difficile de notre pauvre pays !?