mercredi 31 juillet 2024

Malheureusement on a Mr MACRON au pouvoir et lui bien sûr pas à la hauteur ne sait pas faire à par bavarder et recevoir les dirigeants algériens inutilement cela mais nos autres présidents n’ont pas fait mieux depuis l’indépendance de cette ALGERIE qu’on traine comme un boulet !?

 

Maroc ou Algérie ? Puisqu’il faut choisir…ET PUIS QUOI ENCORE !?

L’ÉDITORIAL DE LUC DE BAROCHEZ. Ayant compris, tardivement, qu’elle s’était fourvoyée avec Alger, la France peut enfin se réconcilier avec Rabat.

Par Luc de Barochez

Publié le 31/07/2024 à 06h15

Mohammed VI, le roi du Maroc, et Emmanuel Macron lors de leur dernière rencontre en date, à Rabat, le 15 novembre 2018. © Christophe Archambault/AP/SIPA / SIPA / Christophe Archambault/AP/SIPA

Les mises en garde venues d'Alger n'y changent rien ; la France avance vers une reconnaissance pleine et entière de la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental. Ce tournant en faveur de Rabat va causer une victime collatérale non négligeable, la réconciliation mémorielle avec l'Algérie. Emmanuel Macron entendait en faire son grand œuvre diplomatique, mais le régime militaro-pétrolier algérien a repoussé cette tentative de rapprochement. Le président de la République n'a plus vraiment d'autres cartes en main.

Il est regrettable que le triangle Paris-Rabat-Alger soit vu comme un jeu à somme nulle par les frères ennemis maghrébins, mais c'est un fait : dès que la France resserre ses liens avec l'un des deux, l'autre se considère comme lésé. Ce blocage empêche toute détente globale avec une région pourtant essentielle pour les intérêts français, que cela concerne l'intégration des diasporas algérienne et marocaine dans l'Hexagone, la lutte contre le terrorisme djihadiste, la régulation de l'immigration, la coopération économique…

Sahara occidental : vers une nouvelle crise entre la France et l'AlgérieEn son temps, Jacques Chirac avait accompli l'impossible en se faisant acclamer dans les rues d'Alger et d'Oran, tout en restant très proche du roi Mohammed VI. C'était, il est vrai, dans un contexte international unique, celui de la guerre américaine en Irak en 2003, à laquelle la France s'opposait. Aucun de ses successeurs n'a jamais pu renouveler l'exploit.

Emmanuel Macron a même réussi à se brouiller « en même temps » avec les deux pays à la fois. Pensant à tort que son jeune âge l'exonérait du crime de complicité avec la colonisation, le chef de l'État a multiplié les ouvertures avec l'Algérie. Las, il a négligé le fait que le pouvoir fondait sa légitimité sur la confrontation permanente avec la France. Le « système » comme on dit outre-Méditerranée, n'attend pas de Paris une reconnaissance des faits historiques, si hardie soit-elle. Il exige, encore et toujours, du repentir et de l'humiliation. Pour lui plaire, il ne suffit pas de revêtir une robe de bure et de se couvrir la tête de cendres, il faut encore s'autoflageller.

Le Sahara, un « dossier existentiel » pour le Maroc

En s'obstinant à parier sur une impossible ouverture réciproque avec Alger, Emmanuel Macron a excédé les autorités de Rabat. Leur mécontentement est apparu aux yeux de tous lorsqu'elles ont décliné l'aide d'urgence française après le séisme meurtrier de septembre 2023. D'autant qu'entre-temps Mohammed VI a obtenu la reconnaissance de la marocanité du Sahara par les États-Unis et par Israël, puis par l'Espagne. Dès lors, il ne pouvait plus se satisfaire de l'attentisme français.

Pour éviter de perdre sur les deux tableaux, la France doit passer sous les fourches caudines du souverain chérifien. Depuis le début de l'année, elle a multiplié les gestes codés. Elle a reconnu que le Sahara était un « dossier existentiel » pour le Maroc ; elle a multiplié les visites ministérielles ; elle prépare pour les derniers mois de l'année une visite d'État d'Emmanuel Macron, qui ne s'est plus rendu dans le royaume depuis 2018 ; et surtout, le président de la République vient d'écrire au roi pour lui garantir qu'aux yeux de Paris, le plan d'autonomie sous souveraineté marocaine proposé par Rabat était bien « la seule base » possible pour un règlement. Exit le projet de référendum d'autodétermination.

 La France écartelée entre le Maroc et l'Algérie

Grand comme la moitié de la France, quasi désertique mais riche en ressources minières et halieutiques grâce à sa vaste façade maritime sur l'océan Atlantique, le Sahara occidental est une ancienne colonie espagnole que Madrid a évacuée après la chute du franquisme en 1975. Alger instrumentalise depuis lors la revendication d'indépendance sahraouie, afin d'y installer un régime vassal. Mais Rabat fait valoir que les tribus du territoire étaient liées par des liens historiques d'allégeance avec le sultan du Maroc.

Entre une junte algérienne sclérosée, alliée de la Russie, de la Chine et de l'Iran, qui a refusé de condamner les massacres du Hamas et qui a rompu en 2021 ses relations avec Rabat, et une monarchie marocaine pro-occidentale, qui joue un rôle actif en Afrique, qui a noué une relation apaisée avec Israël et qui ne demande qu'à coopérer de manière fructueuse avec Paris, le choix français, puisque choix il doit y avoir, peut se faire sans hésitation. Il faut cependant souhaiter que, pour se faire pardonner son audace nouvelle, l'Élysée ne se mette pas en tête de donner des gages à Alger. Ce serait ouvrir la porte à de nouvelles déconvenues.

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Mais il n’y a pas à choisir pour ce Maghreb !?

Mais qu’est ce que l’on est mal gouverné avec notre président « MACRON ET SA MACRONIE FANTOME » !?

Il faut traiter ces pays Souverains comme d'autres pays étrangers c’est tout !?

On subit déjà depuis + de 60 ans la décolonisation de notre ex empire AFRICAIN ex AOF et AEF et du NORD QU’ON NE SAIT PAS GERER et notamment par toujours une immigration importante de certains de leurs ressortissants qui ne supportent pas leurs régimes totalitaires !?

Parallèlement à cela on s’est séparé avec l’affaire DE BYZERTE en TUNISIE qui a conduit à leur indépendance malheureusement pour l’ALGERIE on a eu le tort de leur faire une guerre d’indépendance inutile très meurtrière des 2 cotés POUR notre jeunesse française et algérienne l’époque (j’y ai passé 18 mois de perdus justement) et dont ce pays gouverné par des leurs présidents depuis leurs indépendances qui se sont succédés après et qui nous détestent depuis en demandant moulte réparation en plus !?

Pour le MAROC c’est différent car déjà protectorat indépendant et royaume depuis leur 1er roi Mohamed V « commandeur des croyants » et ses successeurs ou les relations sont correctes avec la France comme pour d’autres pays étrangers qui a lui à des problèmes avec l’Algérie infréquentable et des problèmes de territoires désertique avec le Sahara espagnol !?

Donc c’est simple notre président MACRON lors de ses entretiens inutiles avec l’ALGERIE et ses présidents divers qu’il a reçu n’y connaissant rien car trop jeune à l’époque et bavard incompétent (mais il n’y pas que pour çà hélas) lors de la décolonisation de ce MAGREBH !?

IL FAUT ABSOLUMENT SE SEPARER DE CELUI-CI car on a déjà assez donné et subit et çà aussi pour le reste de notre ex empire colonial AFRICAIN et autre d’ailleurs aussi comme par exemple la NOUVELLE CALEDONIE en crise qui veut son indépendance logiquement !?

Jdeclef 31/07/2024 31/07/2024

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

mardi 30 juillet 2024

La présidente de l’assemblée nationale aboie plus qu’elle ne mord mais elle connait le poste aidé indirectement par les médias ou par exemple comme l’hebdo « Le Point » qui est inféodé au pouvoir en en place (auquel je suis abonné d’ailleurs !)

 

Yaël Braun-Pivet recadre LFI et sa « commission d’enquête populaire » sur les JO de Paris (BLA-BLA HABITUEL !?)

La présidente de l’Assemblée nationale a demandé au groupe LFI de retirer le logo de la Chambre basse du communiqué annonçant la tenue d’une « commission d’enquête populaire » sur les Jeux.

Par Henri Michelet

Alors qu'ils battent leur plein depuis leur ouverture vendredi dernier, les Jeux olympiques de Paris ont fait rejaillir le clivage entre l'ex-majorité présidentielle et les oppositions. Lundi, la présidente de l'Assemblée nationale a mis en garde la tenue par le groupe parlementaire de La France insoumise d'une « commission d'enquête populaire » qui vise à auditionner des membres de l'organisation des JO sur les « implications sociales, économiques et écologiques des JOP 2024 ».

Yaël Braun-Pivet a notamment exigé le retrait du logo de l'Assemblée nationale du communiqué de presse de LFI. Elle mentionne que ce dernier ne peut « accréditer l'idée qu'une commission d'enquête aurait été instituée sur ce sujet par l'Assemblée nationale en tant qu'institution et que les personnes invitées à témoigner seraient obligées de répondre aux sollicitations de ce groupe de travail ». La présidente de l'Assemblée nationale a, en outre, demandé à modifier le nom de ce groupe de travail « afin d'éviter toute ambiguïté vis-à-vis des personnes que ces députés souhaiteraient auditionner ».

 JO 2024 : Emmanuel Macron a-t-il transgressé le protocole ? Le 25 juillet, le groupe parlementaire de La France insoumise annonçait réunir une « commission d'enquête populaire » censée se tenir jusqu'au 8 septembre, jour de clôture des Jeux paralympiques. Dans leur communication, les députés LFI dénoncent des JOP 2024 qui « exacerbent les travers et les dérives de la politique d'Emmanuel Macron ». Accusant le Comité international olympique d'organiser un « sport business », La France insoumise voit dans ces olympiades un événement qui n'a « plus rien à voir avec la cohésion et le plaisir du sport ». Les Insoumis dénoncent entre autres « les populations expulsées et paupérisées, et les restrictions de libertés publiques » liées à l'organisation des 33es JO.

Une commission « contraire au règlement de l'Assemblée nationale »

La tenue d'une commission d'enquête au sein de l'Assemblée nationale nécessite un respect des codes juridiques et du règlement de la Chambre basse. Pour la constitutionnaliste Anne-Charlène Bezzina, il n'existe pas de conformité entre la commission réclamée par LFI et le protocole du Palais-Bourbon. « Cette commission est contraire au règlement de l'Assemblée nationale » selon la professeure de droit public de l'université de Rouen. « Dans ses termes, elle reprend le vocabulaire parlementaire en le tiraillant, comme en témoigne l'ajout du mot “populaire” », explique Anne-Charlène Bezzina, pour qui la confusion liée au champ lexical a été « volontairement choisie », mais sans « apporter d'éléments juridiques ».

 JO 2024 : pendant ce temps, au tribunal, le marathon judiciaire a commencé…

Considérée comme « irrecevable » puisqu'elle n'a pas été « déposée sur le bureau de l'Assemblée nationale », cette commission d'enquête extraordinaire devrait être vue comme une « joute politicienne », selon la constitutionnaliste. « On y voit juste un groupe politique qui s'en prend à un autre. Il y a une confusion concernant l'état de cette commission, mais la présidente de l'Assemblée nationale est dans son rôle pour dire qu'elle n'est pas conforme. »

Les politiciens Français de tous bords élus voire réélus par défaut de Français complètement perdus qui regardent leur pays péricliter dont une majorité n’y comprend rien se contentant de mal voter ou choisir leur dirigeants dans cette classe politique plus que médiocre ou qui sont bornés ignares avec leurs partis politiques désespérants comme cette LFI Mélenchonistes de cette soi- disant extrême gauche indéfinissable de mal élevés stupides et du reste de cette NUPES avec cette gauche PS/PC lamentable et même cette droite LR de fausse opposition car inexistante et une extrême droite RN qui compte les points LEPENISTE !?

Mais il ne faut pas oublier le meilleur : ce président inutile fat grand donneur de leçon ce Petit Mr MACRON hyper bavard qui a fait en sorte de semer ce désordre qui était déjà présent avant sa dissolution inutile en se servant de l’épisode J.O. comme trêve politique bidon et qui attend pour nommer un 1er ministre qui sera tout aussi inutile mais pas le gouvernement qu’il faudra quand même nommer car pour l’instant il s’en fiche totalement car inéligible jusqu’en 2027 et qui continue à se moquer ouvertement des Français !?

Car ces mêmes citoyens qui sont « des gens de peu pas de son monde » en les insultant comme il a dit si élégamment car il les connait surement mieux qu’eux même le connaisse car ils doivent être masochistes car ils avalent tout depuis 2017/2022 bien que nous soyons dans un des pays les plus libres et démocratique du monde et qui pourraient demander sa destitution !?

Mais lui notre petit marconien bon chic bon genre se verrait bien à la tête d’un démocrature comme dans d’autres grands pays connus bien qu’il ait déjà beaucoup trop de pouvoir dans notre France « cul par-dessus tête » comme il s’est encore plut à dire car les Français lambda ont perdu tout bon sens et amour propre !?

Après les J.O. festifs le réveil de ceux-ci risque d’être dur après les congés d’été et la rentrée çà c’est sûr et MACRON sera toujours là mais ils l’ont mérité pour 3 ans !?

Jdeclef 30/07/2024 14h38

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

lundi 29 juillet 2024

JO 2024 : chassez le Macron, il revient au galop il n’y a pas besoin il s’accroche à cause des Français qui n’ont pas encore compris son inutilité aux J.O. et surtout en France comme chef d’état !?

 

PARIS 2024. On ne l’avait pas vu sur le tour de France. On l’a beaucoup vu, depuis vendredi, sur la scène olympique. Trop ? Un chef d’État hôte des Jeux à certains devoirs.

Surement celui de se taire car on l’a déjà  trop entendu ou vu !?

Par François-Guillaume Lorrain

L'abstinence, dissolution oblige, aura duré quelques semaines. Pendant le tour de France, on s'était inquiété. Pas la moindre trace du président pourtant prévu sur l'étape du 13 juillet. Il avait été question de l'arrivée à Isola 2000 le 19 juillet. « Plus de son, plus d'images », nous avait répondu le patron du Tour, Christian Prudhomme.

C'est ainsi qu'Emmanuel Macron avait rompu le protocole républicain qui veut que, depuis Nicolas Sarkozy, le chef de l'État, chaque année, agite la main depuis la fenêtre de la voiture numéro 1 du directeur de la Grande Boucle.

Bien conseillé sur le parcours à suivre

C'était pour mieux se réserver pour les Jeux. Condamné à la concision pour une cérémonie d'ouverture, le président Macron a rentabilisé son samedi 27 juillet en se démultipliant sur les sites olympiques.

Après avoir salué une cérémonie qui aurait permis le rayonnement de la France, mais qui a non seulement divisé mais aussi déplu au CIO, après avoir exprimé la gratitude de la nation aux forces de l'ordre, on l'a vu étreindre, en tribunes, Antoine Dupont à la suite de la victoire de l'équipe de rugby à 7 au Stade de France.
 Antoine Dupont : « Ce sont des émotions qui sont tellement fortes qu'elles sont dures à décrire »

Il était à l'Arena Champ-de-Mars au judo, samedi après-midi, où il a pu féliciter la première médaillée de la France, Shirine Boukli, avant de filer au Grand Palais pour la finale de l'épée féminine d'Auriane Mallo-Breton. Reconnaissons qu'il fut bien conseillé sur le parcours à suivre, pour surgir là où des médailles étaient glanées par la France. Bien sûr, on l'avait aiguillé sur des finales ou des demi-finales.

Engranger le maximum de visibilité

Dimanche, alors qu'il avait quitté l'Élysée pour le fort de Brégançon, il a été aussi le premier à appeler Léon Marchand après son succès stratosphérique sur le 400 mètres 4 nages. Un coup de fil filmé, auquel a patiemment assisté le Premier ministre, Gabriel Attal, présent lui physiquement aux côtés du nageur français qui promet d'être l'homme de ces Jeux.

Léon Marchand, portrait d'un surdoué de la natation française

Si Emmanuel Macron a ainsi sprinté, c'était pour engranger le maximum de visibilité avant ses vacances, après une longue séquence olympique qui avait débuté jeudi. Sur le principe, il rompt, nous rappelle Éric Monnin, spécialiste de l'histoire de l'olympisme, avec le devoir de réserve auquel est tenu le chef d'État hôte des Jeux.

« Rien n'est spécifiquement écrit dans la charte, mais s'il veut féliciter les athlètes de son pays, il doit le faire de manière confidentielle, hors des enceintes, hors du champ des caméras, afin qu'il n'y ait pas de caractère discriminant envers les athlètes des autres pays qu'il ne salue pas. Sinon, il est passible d'être taxé de politisation là où il faut donner dans une forme d'apolitisme. »

Obligation de neutralité

C'est du reste l'argument que Baillet-Latour, président du CIO en 1936, avait avancé auprès d'Adolf Hitler après le premier jour des compétitions des Jeux de Berlin, afin qu'il cesse de féliciter les vainqueurs allemands. Argument auquel le chef d'État du Reich s'était rangé, ce qui explique qu'il ne soit pas allé, ensuite, serrer la main de Jesse Owens.

 Comment les Jeux « nazis » de 1936 ont pu voir le jour Savoir se mettre en réserve des Jeux olympiques est une coutume que certains chefs d'État – Juan Carlos en 1992, Xi Jinping en 2008, Poutine en 2014 – n'ont pas toujours pratiquée.

Cette obligation de neutralité ne semble pas avoir été non plus complètement assimilée par un président plus habitué à descendre sur les pelouses de football pour embrasser ou consoler les champions français. Ses vacances à Brégançon le dissuaderont de poursuivre dans cette voie. Mais il n'est pas exclu, en cas de triomphe de l'un de nos athlètes, qu'il sorte de nouveau de sa réserve.

De toute façon ce Mr MACRON ce président élu et réélu par défaut par des Français qui se sont trompés et qui ont récidivé hélas ne manque à personne ainsi que ce bavardages ou discours alambiqués dont il ne sort jamais rien concret et qui lui se sert pour se faire mousser car il a su se faire détester par une majorité de Français lambda « ces gens de peu » qu’il dédaigne en les insultant car n’étant pas de son monde ?!

Car le défaut de cette Vème république vieillissante dite gaullienne c’est de donner trop de pouvoir a un seul homme qui se prend pour un monarque ou dans un ersatz de démocrature que l’on connait dans d’autres grands pays ce qu’il doit regretter bien que pourtant ayant déjà beaucoup trop de pouvoir !?

Ce n’est qu’un mauvais théâtreux triste médiocre et fat enseigné pas son épouse son ex professeure qu’il a épousé ce qui sur le fond est quand même bizarre qu’un psychiatre pourrait peut-être décoder mais qui a en plus réussi malgré sa procrastination pathologique à très mal gouverné en semant un souk innommable et le désordre sous sa présidence à cause des Français lambda qui avalent tout ou n’y comprennent rien tout en râlant comme d’habitude ce qui est parfaitement inutile car lui en profite c’est cela la réalité bien aidé aussi par les médias divers jusqu’n 2027 !?

Merci à MR MACRON qui pour l’instant à réussi à survivre grâce à la bêtise de TROP nombreux Français qui doivent le mériter tant pis pour notre pauvre France et bonnes vacances à BREGRANCON dans sa piscine de poche !?

Jdeclef 29/07/2024 17h56

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

dimanche 28 juillet 2024

ENCORE UN EXEMPLE DE L'INUTILITE DE NOTRE PRESIDENT :La France écartelée entre le Maroc et l’Algérie parce que l’on le veut bien car mal gouverné de puis que cette Veme république de 1958 existe pilotée par de mauvais présidents de tous bords que nous élisons et réélisons !?

 

LETTRE DU MAGHREB. Après les États-Unis et l’Espagne, Paris opterait pour le plan d’autonomie qui « marocaniserait » le Sahara Occidental. Une clarification utile. 

Par Benoît Delmas

Publié le 28/07/2024 à 11h00

NON IL N’Y A RIEN A FAIRE D’CI 2027 PUISQUE MAL GOUVERNE PAR CE Mr MACRON QUI A SEME UN TROUBLE INUTILE POUR JOUER AU MONARQUE ABSOLU DIGNE DE L’ANCIEN REGIME : PAUVRE France INCURABLE ?!

Le dégel des relations entre Rabat et Paris pourrait déboucher sur une visite du président Emmanuel Macron au Maroc pour rencontrer le roi Mohammed VI. (Image d'archive 2018) © Christophe Archambault/AP/SIPA

Si la furia en mondovision des Jeux Olympiques 2024 éclipse toute autre forme d'actualité, si les écrans sont squattés par les athlètes du monde entier, il est une discipline qui ne participe pas aux JO : la diplomatie. Pourtant, les épéistes des relations internationales vont avoir l'occasion de croiser le fer la semaine prochaine. Un vieux dossier, celui du Sahara Occidental, devrait connaître une avancée importante selon Alger. Une dépêche de l'agence officielle algérienne APS annonçait le 25 juillet que « le gouvernement algérien a pris connaissance avec un grand regret et une profonde désapprobation de la décision inattendue, inopportune et contre-productive du gouvernement français apportant un soutien sans équivoque et sans nuance au plan d'autonomie sur le Sahara Occidental dans le cadre de la souveraineté marocaine". La demi-information ou demi-intox n'a été ni infirmée, ni confirmée par la France. Au Maroc, on a chargé la presse proche du palais de s'acquitter du boulot : un courrier officiel de l'Élysée confirmerait l'affirmation et serait évoqué par le Roi Mohammed VI lors du discours du Trône, le 30 juillet. On peine à croire que la position française soit rendue publique par le monarque. Paris se trouve une nouvelle fois au cœur du conflit entre les deux puissances du Maghreb. 

 Sahara occidental : vers une nouvelle crise entre la France et l'Algérie

Sahara Occidental, la patate chaude diplomatique

C'est un dossier qui empoisonne la vie du service contentieux de la diplomatie internationale en général et celui du Quai d'Orsay en particulier. Une cause quasi perdue, sans espoir de la moindre avancée, presque cinquante ans d'âge. Le Sahara Occidental ? Une terre vaste comme l'Italie, deux habitants par kilomètre carré, une vaste façade sur l'Atlantique, un spot formidable pour les surfeurs paraît-il. Sur le papier, un héritage de l'Histoire, un leg des années coloniales. Une terre que se disputent frontalement l'Algérie et le Maroc sans avoir le même objectif. Alger ne revendique pas la paternité du territoire mais exige son indépendance au profit des Sahraouis. Le Royaume chérifien est formel : cela fait partie de son territoire, « les terres du sud » comme disent les Marocains. La carte officielle l'englobe.

Ils ont été légion les diplomates à se casser la patience sur ce dossier. Autour de la table, deux pays qui ne se parlent plus, ont rompu tous liens, allant jusqu'à supprimer les émissaires de bonnes volontés, ces gens qui dans l'ombre sont sensés poursuivre les discussions afin d'amoindrir les sujets de sécurité, les problèmes régionaux. 

 Macron : le casse-tête marocain

Paris sommé de choisir entre Alger et Rabat mais c’est de la démence car ils sont indépendants qu’ils l’assument !?

On peut se demander que vient faire la France dans cette galère ? Sommée de choisir entre l'Algérie et le Maroc, Paris a longtemps joué l'équilibriste, le hussard sur un toit glissant. L'hexagone abrite la première diaspora marocaine au monde tout autant que la première diaspora algérienne. Depuis que Mohammed VI a fait de la question du Sahara Occidental l'alpha et l'oméga de sa politique étrangère, « la “Marocanité” du Sahara est une vérité aussi pérenne qu'immuable. Elle ne souffre, de ce fait, aucune contestation », on est avec le Maroc ou on est contre. 

Si Paris a connu récemment des relations discourtoises avec Rabat (Pegasus, visas...), c'est en cours de résolution. Après les petits gestes, les petites attentions, serait-ce le temps du grand geste ? Pour Rabat, obtenir l'approbation de Paris, ce ne serait pas rien : membre du conseil de sécurité (aux côtés des États-Unis qui ont tranché en faveur du Maroc), pays puissance de l'UE avec l'Allemagne, partenaire économique majeur... 

Ce serait pour Paris l'occasion d'être disruptif, de privilégier ses intérêts dans une région vitale pour la France, dans un monde clivé par les guerres en Ukraine et à Gaza. D'assumer que l'Algérie n'avance pas d'un iota dans sa relation avec elle. La dépêche officielle d'APS cinglait que "les puissances coloniales, anciennes et nouvelles, savent se reconnaître, se comprendre et se tendre des mains secourables". 

En 2017, Emmanuel Macron avait abordé le Maghreb avec la volonté de cautériser des plaies souvent ravivées au nom de la rente mémorielle. Le jeune président s'était heurté de plein fouet au « système algérien » et en avait tiré les leçons. La venue du président Tebboune à Paris est devenue une série avec plusieurs saisons, des rebondissements, claquements de portes, exigences disproportionnées. Elle était prévue en septembre prochain après l'élection présidentielle. Que la nouvelle propagée par Alger soit fausse ou exacte, son unique objectif était d'étaler la mauvaise humeur du pouvoir algérien. Une fois de plus. 

Là le trop c’est trop avec ce MAGREBH dont n’arrive pas à se séparer depuis l’indépendance de leurs pays depuis + de 60 ans et dont cette guerre d’ALGERIE a été inutile et meurtrière que ce soit pour les Français ou les algériens qui nous détestent et qui comme les autres de ces 3 pays nous envoie depuis leur migrants ceux de leur ressortissants qui ne supportent pas le totalitarisme de leurs dirigeants ou gouvernements à consonnance religieuse islamiste à la limite de l’extrémisme pour certains !?

Alors Hélas ce n’est pas avec notre président car trop jeune n’y comprenant rien hors de sol « pas de son monde » comme il dit dédaigneusement car n’ayant pas connu cette époque pré coloniale d’Afrique du NORD ni même celle de notre Afrique Equatoriale Occidentale Française et nos ex colonies dans le monde comme on voit bien avec la Nouvelle Calédonie qui va ressembler à ce qu’est devenue l’ALGERIE vers son indépendance  bon chic bon genre donneur de leçons bien-pensant hypocrite de bavard en faux monarque s’écoutant parler pour ne rien dire ni faire d’utile car c’est cela la réalité !?

Comment voulez que les Français de ma génération qui ont connus tous les présidents de cette Veme république devenue digne de l’ancien régime monarchique comprennent cela après avoir réélu ce Mr MACRON en plus comme en 2022 bien sûr ils râlent beaucoup mais cela s’arrête pas là puisqu’ils votent si mal depuis 66 ans (alors ils méritent « des coups de pieds aux c.ls) qu’ils excusent ma grivoiserie sans malice d’un vieux Français qui aime son pays mais dégouté ou écœuré comme d’autres car il n’y a pas que moi hélas !?

QUAND ON EST MAL GOUVERNE ET QUE L'ON NE SAIT PAS CHOISIR OU VOTER POUR NOS DIRIGEANTS OU POLITICIENS DE TOUS BORDS DE CETTE CLASSE POLITIQUE MEDIOCRE ON NE GAGNE RIEN MAIS PIRE ON PERD SANS CESSE ET LE PAYS DEGRINGOLE VERS LE BAS DE CES PAYS LAISSES POUR COMPTE QUE L'ON N'ECOUTE PLUS A L'INTERNATIONAL !?

Jdeclef 28/07/2024 13h36

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++


samedi 27 juillet 2024

De toute façon ce personnage ne sert à rien et on devra le trainer comme un boulet jusqu’en 2027 de par notre faute à nous FRANÇAIS !?

 

Les rendez-vous manqués de Macron mais lui n’a manqué à personne c’est cela le principal !?

LA CHRONIQUE DE MICHEL RICHARD. Trêve olympique ou pas, Macron aurait été bien inspiré de recevoir les chefs des partis et des groupes parlementaires. Et même, pourquoi pas, Lucie Castets !

Par Michel Richard

Publié le 27/07/2024 à 08h00

Emmanuel Macron donnant un discours lors d'un sommet sur le sport et le développement durable au Carrousel du Louvre, à Paris, le 25 juillet 2024. © Stephane Lemouton-Pool/SIPA

Dans une petite vidéo tournée devant la tour Eiffel, Emmanuel Macron s'est exclamé : « On ouvre grand les Jeux. À bientôt. » De fait, le président français s'ouvre à tous et au monde. Il visite les athlètes, bien sûr, et reçoit aussi des chefs d'entreprises sponsors de la compétition, des grands patrons internationaux et ses collègues présidents ou chefs de gouvernement. Il aurait été dommage qu'il en fût autrement.

Qu'on se permette toutefois de regretter que, s'ouvrant à tous et au monde, les portes de l'Élysée soient restées fermées aux chefs des partis ou patrons des groupes parlementaires, dont dépendent pourtant les trois années à venir de son mandat.

L'excuse des Jeux (bidons)

La trêve olympique a du bon, mais elle a bon dos. Depuis le second tour des élections législatives du 7 juillet, le président est resté en retrait, s'exprimant juste pour expliquer comment il voit les choses, à savoir des coalitions ou des accords plus ponctuels entre les députés allant de la droite républicaine aux socialistes et aux écologistes. Autrement dit, sans RN ni LFI.

Macron, un Narcisse mâtiné de Néron (ou le contraire)

Il aurait été d'autant plus normal qu'il parle avec les uns et les autres puisque ses scénarios dépendent moins de lui que d'eux. Macron a certes le pouvoir constitutionnel de nommer le Premier ministre. Encore faut-il que celui-ci ne soit pas l'objet d'une motion de censure au premier texte législatif soumis au vote parlementaire.

Ce cas de figure inédit dans la Ve République eût mérité sinon des rencontres, du moins des contacts. Les rendez-vous de Saint-Denis au cours desquels le président avait consulté les partis jusqu'à leurs extrêmes droite et gauche n'avaient pas un objet plus important que les risques de blocages institutionnels d'aujourd'hui.

Le « Monsieur X » de Macron

On ne s'explique pas cette apparente désinvolture présidentielle qui a nourri le procès en déni démocratique, comme si Macron n'admettait pas avoir perdu, même si aucun autre n'avait gagné. Pourquoi se mettre ainsi en défaut quand Macron aurait pu inaugurer une nouvelle posture présidentielle dans un régime devenu vraiment parlementaire ? Et gagner une hauteur qui ne soit pas arrogante, mais arbitrale ?

Des scénarios de préférence

Que Macron mijote ses scénarios de préférence, notamment celui né d'un schisme entre les Insoumis et les socialistes qui ouvrirait le jeu, on le comprend, pour ne pas dire qu'on l'approuve. Mais on peut difficilement appeler à un dialogue sincère et loyal entre les forces républicaines, au compromis, au respect et à l'écoute mutuelle et rester sur son Aventin.

On peut difficilement condamner les députés qui ont refusé de serrer la main à d'autres députés, élus comme eux, fussent-ils du Rassemblement national, voir dans cette attitude un manquement élémentaire à la civilité, et se refuser soi-même à un coup de fil, même de convenance.

Élections, n'avoir rien à regretter

L'apparition soudaine de Lucie Castets sur le marché aux enchères des premiers-ministrables que soumet le Nouveau Front populaire à Macron est un peu plus inconfortable. Pourquoi la recevoir elle, qui, pas plus que d'autres, ne dispose de majorité parlementaire ? Qui n'a même pas encore rencontré les députés NFP, dont elle est censée être la future cheffe ? Qui, mauvais point aux yeux du président, plait trop aux Insoumis pour lui plaire ? Elle qui, enfin, dès ses premières prestations médiatiques, l'admoneste vertement et le somme de la nommer fissa à Matignon ?

Même elle, n'excluons pas qu'il serait malin, sinon élégant, de l'appeler. Qui sait ? Peut-être en resterait-elle coite, et toute gênée de cette compromettante civilité.

Comment voulez vous que ce Mr MACRON président fat et inutile malgré sa réélection par défaut à cause de FRANCAIS naïfs qui n’ont hélas pas assez réfléchis ou qui ne savent plus choisir ou même voter depuis + de 40 ans et l’après mitterrandisme qui fut échec d’ailleurs avec aussi une réélection du président de l’époque de cette gauche PS !?

Et donc que ce président et sa « macronie » moribonde prenne une décision ce procrastinateur maladif pathologique de toute façon ce qui est rare car quand il en prend il se plante ?!

Quand on l’a vu la cérémonie d’ouverture de ces J.O. sublime très bien organisée par ceux dont c’étaient la tache nombreux et très professionnels qui ont mis en valeur la France avec honneur pour notre pays avec ses citoyens ont acclamé à juste titre car spectacle merveilleux !?

Lui n’a fait que déclarer « ces jeux olympiques ouvert » car c’est son rôle de président de la France et là pour cette phrase courte officielle car bavard d’habitude cela ne l’a pas fait sourire il semblait plutôt pressé de terminer cela semblant s’ennuyer d’avoir attendu comme une corvée de plus car là bien sur ce n’est pas pour lui mais pour la France que cet honneur était mérité pour tous ceux qu’ils l’ont organisé et pour les sportifs du monde entier qui y participent !?  

Le président du CIO suffisait car a fait un excellent discours !?

Peut-être que ce petit bourgeois roitelet digne de l’ancien régime qui nous colle à la peau malgré notre révolution de 1789 et cette Veme république usée de 66 ans et s’il n’avait pas été là il n’aurait manqué à personne en France car mal aimé par ce peuple lambda « de gens de peu pas de son monde » selon ses propres paroles passées dont lui qui leur rend bien se moquant d’eux même voir les insultant !?

Cette manifestation populaire sportive de ces JEUX OLYMPIQUES à des traditions (loin des jeux du cirque de l’empire romains heureusement) car fait oublier un temps nos guerres qui perdurent dans le monde et rien que pour cela est très utile !)

Jdeclef 27/07/2024 16h04

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++


vendredi 26 juillet 2024

Bof qu’est ce que çà peu faire pour « ces gens de peu » comme a dit si dédaigneusement notre président car n’étant pas de son monde çà c’est sur car il n’est PAS si beau que cela !?

 

C’est la France qu’on attaque » : le PDG de la SNCF furieux après les actes de sabotage !?

Le réseau TGV de la SNCF est fortement perturbé ce vendredi après des incendies volontaires concomitants sur plusieurs axes. Au moins 800 000 voyageurs vont être concernés par des perturbations.

QUAND JE DIS DEPUIS LONGTEMPS QU’ON EST MAL PROTEGE C’EST EVIDENT CAR MAL GOUVERNE ?!

Par Juliette Vignaud

Publié le 26/07/2024 à 10h46, mis à jour le 26/07/2024 à 11h01

« Sabotage » sur le réseau de trains SNCF à quelques heures de la cérémonie d'ouverture des JO. Le PDG de la SNCF a dénoncé « une bande d'illuminés, d'irresponsables » qui ont causé l'attaque massive sur plusieurs lignes à grande vitesse du réseau ce vendredi. « Aujourd'hui, ce sont les grands départs qui sont attaqués. À travers la SNCF, ce sont les Français qu'on attaque », a déclaré Jean-Pierre Farandou, qui s'est dit « désolé » pour les familles et les voyageurs touchés.

« C'est un jour de tristesse », a-t-il regretté, déplorant une « une bande d'illuminés, d'irresponsables » qui les « empêchent de faire [leur] métier ». « Notre devoir, c'est la mobilisation. On sera là […], des milliers de cheminots vont se mobiliser pour réparer, pour accueillir les clients et les guider, pour réfléchir au plan de transport que l'on va faire », a-t-il assuré.

Selon le patron de la SNCF, 800 000 voyageurs vont être concernés par ces perturbations massives ce week-end. « Cela aurait dû être une fête, les grands départs, l'ouverture des Jeux olympiques… Tout ça, c'est gâché », a-t-il répété.

Un « acte criminel scandaleux »

Trois lignes TGV de la SNCF, Atlantique, Nord et Est, ont été ciblées par des incendies volontaires dans la nuit de jeudi à vendredi, jour d'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024. Dénonçant un « acte criminel scandaleux », le ministre délégué aux Transports Patrice Vergriete a évoqué des « conséquences très lourdes » sur le trafic ferroviaire avec un train sur deux vers le Nord, l'Est et la Bretagne et un train sur quatre « vers le Bordelais » en ce week-end de chassé-croisé estival et d'ouverture des Jeux olympiques.

JO 2024 : une « bulle de protection » aérienne de 150 km pour la cérémonie d'ouvertureSelon la SNCF, les perturbations vont s'étendre « au moins jusqu'à ce week-end » car « un travail d'orfèvre » va être nécessaire pour effectuer les réparations. Des câbles ont été « coupés puis brûlés », ces câbles « comportent des fils qu'il faut ensuite reconnecter un par un », a détaillé un responsable de la société ferroviaire en conférence de presse.

Les équipes de la SNCF « sont mobilisées, c'est plusieurs centaines de personnes qui vont travailler en continu entre maintenant et la fin du week-end », a-t-il expliqué, assurant : « D'ici la fin de la journée, on y verra beaucoup plus clair. » !?

Le PDG de la SNCF à raison de s’offusquer et de s’alarmer mais ce n’est pas la 1ere fois que de tels incidents ou mêmes sabotages malveillants se produisent notamment lors des grands départs en congés on y a droit à chaque fois ou évènements divers comme le J.O. par exemples ou autres !?

Car là il ne s’agit pas de grèves SNCF quelque fois habituelles à la rentrée d’automne ou d’autres de services dit publics mais là d’une atteinte à la sécurité car la circulation des trains est sensible dans la matière donc sous tutelle du ministre des transports et services publics et notre gouvernement de pattes cassées surtout qu’il est provisoire donc gouverné au minimum grâce à notre président inutile qui n’a rien fait de mieux que de semer le marasme avec sa dissolution inutile pour nous et pour lui par caprice de roitelet fat qui ce soir va bien diner copieusement par un repas fait par un chef étoilé DUCASSE  pour annoncer ouvert le début  de ces J.O !?

Alain Ducasse est un chef cuisinier, né le 13 septembre 1956 à Castel-Sarrazin (Landes). Longtemps français, mais il a renonce à sa citoyenneté française en 2008 et devient citoyen de Monaco. A obtenu trois étoiles au Guide Michelin avec trois établissements différents : Le Louis XV à l’hôtel de Paris Monte-Carlo (en 1990), Alain Ducasse au Plaza Athénée à Paris (en 1997) En 2023, il est le chef cuisinier le plus étoilé au monde avec 21 étoiles Michelin obtenues à travers ses différents restaurants !?

Cela montre ce que vaut notre président digne de l’ancien régime monarchique qui dédaigne ce Français « ces gens de peu » qui prennent le train pour simplement aller en vacances et même travailler quotidiennement mais inutile car quand le minium n’est pas fait au niveau de l’insécurité globale qui augmente dans notre pays là ce n’est pas pardonnable !?

Alors merci Mr le président ne vous étranglez pas au repas ce soir s’il y a une arête de poisson (s’il y en a au menu) il n’y manquerait plus que çà on a assez de problèmes comme çà car oui c’est grâce à vous tout cela indirectement !?

Jdeclef 26/07/2024 14h42

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++


Bravo pour ces J.O. de PARIS et de la France et ses sportifs et Français qui ont travaillés pour les organiser au mieux et tant pis si on doit supporter les discours ou bavardages creux de ce Mr MACRON hier bavard inutile !?

 

Cérémonie d’ouverture des JO : « Les déclarations d’intention semblent un petit peu étranges »

ENTRETIEN. L’historien Paul Dietschy réagit à l’hypothèse d’une cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024 très peu française.

Propos recueillis par Kévin Badeau

Publié le 25/07/2024 à 18h00, mis à jour le 26/07/2024 à 08h13

Pont de la Tournelle, les tribunes attendent les spectateurs pour la cérémonie d'ouverture des JO 2024. © SETBOUN/SIPA / SIPA / SETBOUN/SIPA

De toute façon on ne peut plaire à tout le monde mais mélanger de la mauvaise politique politicienne d’état Marconienne avec cet évènement sportif mondial que sont c’est J.O. c’est déjà lui donne déjà l’honneur d’annoncer ces J.O. ouvert alors ça suffit !?

Une cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris de 2024 qui célèbre tout... sauf la France ? La question suscite une petite polémique à l'approche du grand spectacle, qui se déroulera le vendredi 26 juillet, à partir de 19 h 30, et qui devrait durer plus de trois heures.

Dans un entretien au Monde, publié la semaine dernière, l'historien militant Patrick Boucheron, la scénariste Fanny Herrero, la romancière Leïla Slimani, l'auteur de théâtre Damien Gabriac et le metteur en scène Thomas Jolly avaient dévoilé les contours et l'esprit des douze tableaux prévus pour les célébrations. Au programme, « l'inverse » du Puy du Fou, « le contraire d'une histoire virile, héroïsée et providentielle », pas « d'ode à la grandeur » ni de « manifestation de force » et, très certainement, une glorification du « métissage planétaire ».

Tous ces indices laissent penser que peu de place sera laissée au roman national et peut-être même à la France. Le Point a contacté Paul Dietschy, professeur d'histoire contemporaine à l'université de Franche-Comté et spécialiste du sport, qui nous livre ses impressions.

Le Point : La prochaine cérémonie des JO s'annonce peu française. Serait-ce une occasion manquée de partager notre récit national avec le monde ?

Paul Dietschy : Les déclarations d'intention des organisateurs semblent un petit peu étranges. On entend parler de « métissage planétaire », d'un spectacle qui sera « le contraire d'une histoire héroïsée ». C'est peut-être ce qu'attendent les lecteurs de Télérama, mais pas forcément l'ensemble de la communauté nationale, qui pourrait d'ailleurs être déçue.

Jeux olympiques : ces épreuves qui se tiennent avant la cérémonie d'ouverture

Quant aux étrangers, je pense qu'ils s'attendent à ce que la France parle d'elle-même. Peut-être pas de manière clichée à la Emily in Paris, mais au moins que soient abordés les grands thèmes de notre histoire qui font la France depuis plus de mille ans. Tout cela est très secret, mais nous savons déjà que le patrimoine parisien, bordé par la Seine, sera mis en valeur, notamment l'île de la Cité avec la cathédrale Notre-Dame et la conciergerie. Qu'en fera-t-on ? À voir, d'autant que la cérémonie sera d'abord jugée sur ses dimensions esthétiques et spectaculaires et sur une narration qui devra être rythmée.

Quels tableaux les précédents pays hôtes ont-ils proposés ?

Tous les pays organisateurs parlent d'abord d'eux-mêmes, parfois de manière un peu nationaliste. En 2008, pour les Jeux olympiques de Beijing, la Chine a fait dans sa cérémonie l'étalage de tout ce qu'elle a inventé d'important pour l'humanité : l'imprimerie ou encore la poudre. Les Britanniques, pour Londres 2012, avaient choisi l'autodérision, tout en parvenant à transmettre un certain récit de leur histoire, y compris économique et sociale, au monde.

En cette période de division, un tableau exaltant la culture et l'histoire de France, même légèrement idéalisé, n'aurait-il pas été le bienvenu ?

L'historien Patrick Boucheron, au cœur de la conception de cette cérémonie, a dit plusieurs fois qu'il voulait faire « acte politique » en faisant de l'histoire. Or dès que l'on fait d'une cérémonie un manifeste politique, on s'adresse à un camp et l'on prend forcément le risque que ce spectacle devienne un objet d'opposition, voire d'affrontement.

 La France, cette « personne », selon Michelet

La grande difficulté réside dans la recherche d'un récit qui satisfasse tout le monde. D'un côté, nous pourrions mettre en lumière les grandes réalisations architecturales de notre pays, ses traditions – comme le vin et la cuisine – et célébrer nos œuvres artistiques majeures. Rappelons, par exemple, que c'est Victor Hugo qui a écrit Notre-Dame de Paris, et non Walt Disney qui en a inventé l'histoire !

De l'autre, cette cérémonie pourrait être l'occasion de rendre hommage à tous les Français qui ont souffert à différentes époques : les paysans sous l'Ancien Régime, les ouvriers et le petit peuple des villes au XIXe siècle. Sans oublier, bien sûr, les victimes des guerres et de la colonisation. Tout cela fait partie de l'histoire de France !

Quel est le risque de proposer une grille de lecture « métissée » ?

Le danger est de laisser entendre aux Français qu'ils n'ont pas façonné leur propre pays, mais que c'est le monde qui l'a fait. Je ne voudrais pas trop m'avancer, n'ayant pas connaissance du synopsis, mais j'espère que nous n'aurons pas à assister à une cérémonie hors sol.

À l'opposé du métissage, la cérémonie d'ouverture de la Coupe du monde de rugby, en 2023, avait été critiquée à gauche, car jugée « surannée » et symbole d'une « France rance »…

C'est une sorte de réflexe pavlovien dès lors que l'on sort des canons imposés. Le show a mis en scène une représentation théâtrale de la vie à la française, orchestrée par l'acteur Jean Dujardin, en commençant par un hommage à la ruralité, au rugby de village et aux métiers traditionnels, dont celui de boulanger. Je ne vois pas en quoi c'est « suranné » ou « rance »…

La revanche de la France « rance »

De très grands historiens étrangers, comme Steven Kaplan, ont consacré leur travail au pain en France. N'oublions pas que cette cérémonie jouait aussi sur les clichés d'une France vue par les Anglo-Saxons, particulièrement férus de rugby. Il faut prendre aussi les choses avec un peu d'humour. Et j'espère qu'il y en aura vendredi.

Quel message universel la France peut-elle envoyer au monde ?

La France est l'un des pays qui a le plus promu l'universalisme dans le sport. Si elle n'a pas toujours brillé sur les terrains, elle s'est distinguée par ses dirigeants, souvent à l'origine des plus grandes compétitions mondiales, peu à peu ouvertes à tous. Citons Pierre de Coubertin, le père fondateur des Jeux olympiques modernes, ou encore Jules Rimet, promoteur du football mondial. Voilà une porte d'entrée !

On ne peut pas ôter à la France son ouverture précoce à la diversité !

Par ailleurs, la France est l'un des premiers pays européens à avoir aligné des sportifs noirs, dès 1931 pour l'équipe de France de football. Certes, tout n'est pas parfait, mais on ne peut pas lui ôter son ouverture précoce à la diversité.

Comment trouver le juste équilibre entre fierté nationale et universalité ?

Il faut être capable de concilier nos lointaines racines gallo-romaines avec la France d'aujourd'hui, qui s'est aussi constituée, à partir du XXe siècle, par différentes vagues d'immigrations. Rappelons que la France est un pays ouvert sur le monde, Paris étant une capitale mondiale depuis le XIXe siècle. Il faudrait un côté « bienvenue chez nous », regardez d'où l'on vient, ce que nous sommes, tout en affirmant notre place dans l'Histoire de l'humanité.

Dans ce cadre, l'évocation de grands acteurs et moments de l'histoire de France peut très bien se combiner avec une histoire de l'ensemble de la population française. C'est d'ailleurs ce qui fonde le goût des Français pour l'histoire qui n'est pas forcément celle pratiquée par les cénacles universitaires : une quête des origines, les grands personnages, une plongée dans un passé dépaysant et fascinant.

C’est J.O. centenaires en France sont un évènement mondial sportif et qui se veut festif c’est un fait historique pour notre pays (mais qui ne gomme pas loin de là nos défauts et nos problèmes intérieurs et extérieurs encore trop nombreux chez nous et dans le monde !?)

A l’image de ce premier jour pluvieux avec ce climat d’été inhabituel et hasardeux pour un mois juillet de cette cérémonie d’ouverture de ces J.O. à PARIS que l’on attend spectaculaire et festif d’ailleurs certaines épreuves sportives diverses ont déjà eu lieu hier et se sont parfaitement déroulées ou les sportifs Français ont commencé à briller ce qui est de bon augure !?

Pour le reste on ne peut éviter le mauvais côté de la politique politicienne de notre pays car hyper médiocre véhiculée par ce président fat Mr MACRON comme un « un paon qui fait la roue » qui se sert indirectement de cet alibi de ces J.O. pour oublier un temps court sa mauvaise gouvernance qui nous soule depuis 2017 et que nous avons réélu en 2022 comme des idiots car il est le champion des donneurs de leçons hypocrites et que soi-disant une majorité de Français détestent mais pas assez Francs pour l’exprimer vraiment ce qui est difficilement compréhensible après 2 quinquennats médiocres et jusqu’en 2027 dont il profite mais sans amour propre car dédaignant ces Français lambda pas de son monde selon lui !?

Je serais spectateur des exploits de tous ces sportifs mondiaux car c’est le sport qui doit être la vedette et rien d’autre que je regarderais à la télé car par  mon état de santé et mon âge avancé ou je verrais nos sportifs nationaux donner le meilleur de ce qu’il peuvent faire ou montrer leurs exploits car je suis franchouillard aimant mon pays plus que tout ou je suis né et depuis des générations de Français qui comme mes grands-pères ont donné leur vies pour notre pays car moi aussi en ALGERIE mais ait eu plus de chance car j’aime la France avant tout notre beau pays !?

Mais vive la France si mal gouvernée !?

Jdeclef 26/07/2024 11h08

++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

jeudi 25 juillet 2024

C’est de notre faute à nous ces Français de tous bords qui soi-disant déteste ce Mr MACRON qui les a bien roulés avec sa bienpensante de donneurs de leçons hypocrite champion de ses discours alambiqués avec interview ou conférence de presse orientées que beaucoup de français avalent s’en rien y comprendre car c’est un théâtreux qui a appris de sa professeure d’épouse avec qui il a étudié !?

 

(heureux  comme un pou volant qui a trouvé des têtes pour se poser)


Jusqu’où ira le naufrage politique français jusqu’à que l’on se noie vraiment?

La journaliste Nathalie Schuck a publié en mai un livre sur le délitement des institutions de la République. Le chaos actuel impose un nouveau chapitre. Le voici.

Par Nathalie Schuck

Publié le 25/07/2024 à 06h30

Emmanuel Macron lors de sa visite du village olympique, le 22 juillet 2024, à Paris. © Michel Euler/AP/SIPA

On en était là du naufrage, le Titanic à moitié enfoncé dans l'eau. En cette mi-mai, notre livre tout juste sorti en librairie (Les Naufrageurs. Comment ils ont tué la politique) sur le lent pourrissement de la vie politique qui avait conduit les Français au bord de l'écœurement et de la révolte électorale, on se demandait avec anxiété quelle serait la prochaine étape du calvaire : une explosion dans les urnes ou dans la rue ? Un remake des Gilets jaunes ou l'avènement des extrêmes au pouvoir ? Sans cesse nous revenaient ces mots de Jean-François Copé, comme un funeste présage au moment où l'Occident, de Paris à Washington, tremble sur ses bases : « La démocratie est mortelle, c'est une construction, un effort. C'est la dictature qui est naturelle. » On songeait à cette boutade, pas si drôle finalement, d'un dirigeant des Républicains : « J'ai une amie astrologue. Quand Macron a été élu, elle m'a dit qu'il avait le même thème astral que Néron ! » Ou à cette prophétie de Jean-Louis Borloo, à qui l'état du pays donne des insomnies : « Le jour où tous les damnés de la terre s'associeront avec tous les cinglés, on est mal ! » Quand on demandait il y a quelques mois à l'ex-ministre de Jacques Chirac ce qui nous pendait au nez, il répondait, énigmatique : « Un drame, je ne sais pas lequel. »

Concédons qu'on n'a pas eu à attendre la réponse longtemps. Déjà atomisé par un septennat de débauchages au nom du « en même temps », le paysage politique a été passé au napalm par cette dissolution qui a conduit 10,6 millions de Français dans les bras de Jordan Bardella et consorts, et la gauche dans ceux des Insoumis, effaçant comme par magie les impardonnables fautes commises depuis les attaques du 7 Octobre. Une « clarification », jurait le maître de l'Élysée. On peine toujours à comprendre ce qu'il pouvait en sortir de bon.

Depuis ce sinistre 9 juin, la classe politique a hélas donné d'elle-même le plus désolant des spectacles, fragilisant comme jamais nos institutions, que chacun décrypte désormais à sa guise jusqu'à l'absurde, selon ce qui lui sied ou non. Un ministre par intérim peut-il voter pour lui-même à l'Assemblée ? On était persuadé que non, en vertu de la séparation des pouvoirs. Mais puisque les « sages » du Conseil constitutionnel se déclarent incompétents… Un scrutin pouvait-il être entaché de fraude dans cette vénérable enceinte et des députés se toiser à coups de chifoumi, comme dans une cour d'école ? Les scénaristes les plus créatifs sont enfoncés.

Une équipe « zombie » au gouvernement

Au pays des Guignols de l'info et de Philippe Caverivière, on n'ose même plus en rire. « On a honte », lâchent plusieurs élus. La France accueille le monde pour les Jeux olympiques et s'expose à la risée internationale, ravalée au même rang que nos voisins belges, qui se permettent de nous livrer des leçons sur la survie en terra incognita, sans gouvernement à notre tête. Le chef de l'État, qui voulait faire de ces Jeux l'acmé de son mandat, se retrouve seul en scène. Qui sait, peut-être était-ce le but…

Attendons de voir quel lapin le « maître des horloges » sortira de son chapeau. Dans les couloirs de l'Assemblée, ses fidèles, jamais à court d'imagination en matière d'innovations institutionnelles, évoquent la désignation de « préfigurateurs » chargés de jouer les ambassadeurs à droite et à gauche pour ramener tout le monde à la table des négociations.

Dans la torpeur estivale, on n'a plus qu'une envie : du pain et des jeux, cela tombe bien, pour oublier quelques semaines durant ce marasme. Il y a fort à craindre qu'on se réveille groggy mi-août avec, pour tout gouvernement, une équipe « zombie » inapte à prendre la moindre décision politique, selon le mot du constitutionnaliste Benjamin Morel.

Au Sénat, où le deuxième personnage du pays, Gérard Larcher, s'active au chevet du prochain budget de l'État, on s'affole de la dégradation des comptes publics, qui vont nécessiter de courageux arbitrages pour faire avaler aux Français 20 milliards d'économies. Ce qui est totalement incompatible avec le programme du Nouveau Front populaire, dont les leaders se sont, de toute façon, avérés incapables en plus de quinze jours de s'entendre sur un nom pour Matignon. Rappelons qu'il leur avait fallu vingt-quatre heures pour nouer un accord de principe afin de sauver leurs fauteuils à l'Assemblée.

 Plus de 80 % des Français ont une mauvaise image des politiquesOn peine à croire que leurs électeurs, qui ont rempli leur part du contrat en votant parfois à contrecœur dans l'isoloir en appliquant le front républicain, au nom du fol espoir suscité par le smic à 1 600 euros et la retraite à 62 puis 60 ans, leur pardonnent jamais cette mauvaise farce. « Tout s'est joué le soir des européennes à 20 h 03. On aurait dû imposer un accord à la macronie » et rompre avec LFI, se morfond un ténor de gauche. Les tractations lunaires du NFP auraient même inspiré à Ségolène Royal, discrète, comme tous ceux qui savent qu'il ne faut pas trop s'exposer en pareille période, ce mot piquant : « On a pensé à Michel Sapin ou Eva Joly pour Matignon ? »

Un stock de munitions inespéré à Marine Le Pen

L'autre faute de cette dissolution, c'est qu'elle vient abîmer par ricochet le costume de ceux qui porteront peut-être demain les espoirs de leur camp. Comme s'il s'agissait d'anéantir toute alternative, en condamnant les successeurs putatifs du président à se salir les mains dans un régime parlementaire et forcément politicien. « Macron est comme Cronos, qui dévore ses enfants pour qu'ils ne le détrônent pas », devise un stratège. Sorti d'abord grandi de cette épreuve, Gabriel Attal a raté ses premiers pas de patron de groupe parlementaire en se faisant avoir dans la nuit de 19 au 20 juillet par le classique « coup du rideau » : ses troupes et la droite ont été piégées par le départ des élus RN, se retrouvant en minorité, puis débordées par la gauche, désormais majoritaire au bureau de l'Assemblée. Si bien que les députés LFI, sanctionnés à d'innombrables reprises sous la précédente législature, ont tout loisir de se livrer à des provocations, à l'instar du récidiviste Thomas Portes.

« Pacte législatif d'urgence » : l'étonnant numéro de contorsionnisme de Wauquiez

Quant à Laurent Wauquiez, qui a rompu avec l'image velléitaire qui lui collait à la peau, il a compris qu'il lui fallait reprendre les commandes de son parti après la trahison d'Éric Ciotti. Las ! le voici contraint de négocier avec une macronie qu'il conspuait pour offrir des lots de consolation aux siens, appâtés par l'odeur du pouvoir, tout en répétant qu'il ne veut pas de coalition. « Que fera-t-il si Macron appelle un LR à Matignon ? » grince un cadre PS.

Éclats. Le 19 juillet, les députés Émeric Salmon (RN, photo) et Nicolas Turquois (MoDem) ont failli en venir aux mains. © Eric TSCHAEN/REA

Le plus grave est ailleurs. En appuyant sur le bouton nucléaire, Emmanuel Macron a offert un stock de munitions inespéré à Marine Le Pen. La triple candidate va pouvoir combler les failles du ronflant « plan Matignon », en évinçant les candidats à casquette nazie ou preneurs d'otages de ses rangs, sans parler de la manne publique que son parti va percevoir. En l'écartant des « top jobs » à l'Assemblée, les macronistes et la droite viennent aussi alimenter son refrain victimaire sur le « système » qui mépriserait ses millions d'électeurs. Il n'est guère surprenant que la véritable patronne du RN ne soit pas entrée dans ces conciliabules. Ainsi ne sera-t-elle pas jugée comptable du bilan de cette législature, qui démarre sous les pires auspices. Regardez les ennemis d'hier pactiser pour des rogatons, serine-t-elle déjà aux Français. Giorgia Meloni, avant elle, avait refusé de rejoindre la coalition de Mario Draghi. On connaît la suite.

On pourra trouver le constat brutal, mais qui osera dire que nous venons de montrer le meilleur de nous-mêmes après ce formidable élan démocratique dans les urnes ? Quel sera l'ultime chapitre de cette décomposition ? En dignes animaux politiques qui savent renifler à des kilomètres l'odeur de l'orage, les Mélenchon, Wauquiez, Hollande ou Le Pen ont compris qu'une présidentielle anticipée n'avait plus rien d'un scénario de science-fiction si plusieurs gouvernements tombaient dans les prochains mois sur des motions de censure à répétition. Tous candidats à devenir demain, selon le mot apocalyptique d'un conseiller du PS, « l'homme (ou la femme) le plus riche du cimetière ».

Mais ce soi-disant naufrage est réél et bien entretenu depuis l’après 1968 et une période de 1970 ou la situation financière du pays était à l’équilibre sans dette et d’ailleurs dans mon souvenir on vivait correctement pour une majorité de Français de ma génération qui ont connu depuis tous ces présidents de la Veme république mais ça n’a pas duré et déjà les Français depuis 1958 ont changé depuis 66 ans après leurs guerres mondiales et la fin de leurs empires coloniaux Européens ont récupéré de fait une immigration importante qui n’a pas cessé dans cette Europe dit unie sans Frontières et on subit ces attentats barbares islamiques à consonance religieuse depuis2001/2015/16 etc et toujours présent périodiquement car on n’a pas réussi à éradiquer ces mouvements islamiques terroristes barbares on a vue avec la bande de GAZA et cet attentat  du 7 octobre et d’autres marginaux !?

Puisque l’on vote et choisi nos dirigeants dans notre pays qui fait partie d’un des pays les plus libres et démocratiques malgré ce que disent certains fâcheux jamais contents !?

Maintenant on est au bord d’un trou sans fond il n’y a plus qu’à pousser d’une pichenette c’est vrai on n’est pas loin de la situation de l’Argentine avec ce président MACRON hors sol inutile élu par défaut en 2017 qui n’a rien fait sauf bavarder en s’écoutant parler pour ne rien dire d’utile et que nous avons réélu en 2022 comme des idiots pour enfoncer se clou déjà rouillé dans cette planche pourrie de classe politique hyper médiocre de tous bords car mal gouverné mal protégé par ce soi-disant chef d’état indéboulonnable jusqu’en 2027 et sa ma « macronie » devenue « ensemble » moribonde et qui fait le paon grâce à ces J.O. faux alibi pour pousser la poussière sous le tapis et +  3200 millions €  de dette !?

Le tout alimenté par ses médias qui jettent de l’huile sur le feu par leurs diatribes journalistiques diverses il faut bien qu’ils vivent !?

Ce n'est qu'un constat que tous citoyens français anciens peuvent faire donc pas d'excuses ?!

Jdeclef 25/07/2024 12H35

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++