mardi 2 juillet 2024

En France on a une spécialité c’est de faire compliqué plutôt que de faire simple que ce soit pour notre nationalité ou notre religion en majorité judéo chrétienne et là c’est pire car ce greffe un mysticisme religieux moyenâgeux remontant à +2000 ANS le tout chapeauté par des dirigeants ou politiciens donneurs de leçons hypocrites et çà c’est notre faiblesse à nous Français lambda et cela semble incurable !?

 


Jordan Bardella « l’Algérien » AH OUI ! MAIS POURQUOI CE SURNOM ? Car il est franco français né en France à DRANCY n’en déplaise à ces fâcheux qui aiment SEMER les troubles racistes ou autres ?!

Kamel Daoud
Chroniqueur, écrivain et reporter

LA CHRONIQUE DE KAMEL DAOUD. Dans l’affaire des postes de la fonction publique interdits aux binationaux, le prétendant RN à Matignon s’inspire d’une invention algérienne.

Dans le chaos des propagandes électorales, Bardella a brisé un tabou : le président du RN souhaite « empêcher » des Français ayant une autre nationalité d'occuper « des emplois extrêmement sensibles », selon les titres des journaux. Très vite, en France, on se scandalise, avec tiédeur ou excès, devant ce énième avatar du racisme, mais on ignore que cette mesure n'est pas une nouveauté dans certains pays où le racisme est « toléré » comme valeur de l'identité. L'idée d'une « nationalité » pure et purgée des étrangers apparaît comme un classique des populismes, en démocratie ou ailleurs.

Et, si Bardella réclame, en annonciateur des mauvais jours, cette « précaution » pour les hautes fonctions en France, l'Algérie l'a déjà mise en œuvre comme étendard il y a une décennie. Dans ce pays, l'interdiction imposée aux binationaux est un sujet qui revient constamment depuis que le régime a déclenché une guerre imaginaire contre la France pour restaurer sa légitimité épuisée après la décolonisation. « Qui est algérien ? » s'interroge-t-on. Celui défini par une pureté excluant les « autres », soit les traîtres par l'émigration, soit les « impurs » de par la pluralité de leurs origines. Et qui est toujours le binational le plus menaçant ? Le Franco-Algérien, même si la formule « généraliste » ne le vise pas expressément.

« Nationalité sportive », une exception culturelle algérienne

L'interdiction aux postes de souveraineté pour les binationaux est un sujet redondant de l'actualité politique algérienne. L'amendement au Code de la nationalité est un thème favori en temps de crise ou de paranoïa identitaire. En Algérie, depuis 2016, pour être ministre, commandant de région militaire ou président du Conseil d'État, il faut exciper… de sa seule et unique nationalité algérienne. À l'époque, mais encore aujourd'hui, on s'empresse de publier la longue liste des postes interdits aux binationaux : président du Sénat, de l'Assemblée populaire nationale (Parlement), du Conseil constitutionnel, Premier ministre, secrétaire général du gouvernement, premier président de la Cour suprême, gouverneur de la Banque d'Algérie, responsable d'un organe de sécurité, président de la haute instance de surveillance des élections, chef d'état-major de l'armée, commandant des forces armées… « Le président de la République doit, quant à lui, posséder la nationalité algérienne d'origine », note-t-on. Par effet de ruissellement, presque tous les postes sont interdits d'accès, par nécessité d'obéissance des échelons inférieurs dans l'administration. Un « bi » est déjà un félon.

Kamel Daoud – La chasse aux « bi » est ouverte

Plus tard, après la chute du régime de Bouteflika, en 2019, l'index fut plus ou moins amendé. Le Code de la nationalité, quant à lui, est aussi utilisé à d'autres fins : le bannissement pour les opposants politiques vivant à l'étranger. En effet, en plus des terroristes, la déchéance de nationalité peut s'appliquer à présent aux personnes «  qui portent de graves préjudices aux intérêts de l'État ou qui portent atteinte à l'unité nationale ». Puis la «  pureté  » s'est étendue aux propriétaires de médias qui, depuis août 2023, doivent être exclusivement algériens. En réalité, le seul champ de reconnaissance, pour les binationaux algériens, reste le football : là, les joueurs français, franco-algériens, formés en France, ont le privilège d'être les stars des foules et des islamistes. Personne ne doute de leur « pureté » ni de leur nationalisme.

 Législatives : le RN et le piège de la binationalité

En 2008, un président de la Fédération algérienne de football inventa même la « nationalité sportive » pour surmonter l'écueil attentatoire à la race pure. On lui attribue, à tort ou à raison, la paternité de la fameuse « loi de Bahamas », «  un mécanisme qui permet aux footballeurs ayant joué dans les catégories jeunes d'un pays de changer de nationalité sportive  ». Ainsi les binationaux franco-algériens possèdent une « nationalité sportive », instrument d'exaltation d'un hypernationalisme autochtone et qui permet de coiffer, avec bigoterie, ce paradoxe de la « pureté ».

La France vaut bien un ministère

Que fera la France de ce sujet après les élections ? Un peu de tout : polémiques, inquiétudes, outrances, racisme, réflexion sur la souveraineté… Bardella a brisé un tabou, mais gageons qu'il sera bien vite rattrapé par la réalité. Là aussi, il ne serait pas le premier. Une petite anecdote savoureuse : en juin 2020, Alger nomme un ex-député algérien, chargé de la communauté algérienne en France, ministre de la Diaspora… pour trois jours. En effet, on s'aperçut très vite qu'il possédait la double nationalité franco-algérienne, ce qui lui interdisait de facto l'accès à cette fonction. Sommé de décider entre le portefeuille et la nationalité française, l'homme n'hésita pas : entre le passeport rouge de la France et l'hypernationalisme, il choisit la nationalité… française. On ne joue pas au ballon ou avec l'avenir.

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Là avec ces élections législatives « macroniennes puisque c’est le président qui les a déclenchées de par sa volonté de dissoudre notre ASSEMBLEE NATIONALE (ce qui est un acte de presque totalitarisme confirmant que nous donnons trop de pouvoir à un seul homme comme d’autres avant lui ce qui-là est inutile dans ce cas-là d’ailleurs puisqu’il est inéligible jusqu’en 2027)

De par notre constitution donc gratuit pour lui car pour semer le désordre dont il veut aussi effrayer les Français ce qui est aussi une attitude impardonnable de plus de plus puisque c’est de BARDELLA dont on parle leader RN pourquoi le surnomme-t-on : Jordan Bardella « l’Algérien » alors qu’il est né à DRANCY !?

Est-ce un défaut de vouloir prendre des dirigeants jeunes comme notre président ou comme le beau BARDELLA remarquer il y a un autre mais lui c’est un vieux revanchard de MELENCHON ex ministre PS qui est dans la course le pire du pire semble-t-il que l’on puisse trouver et ce qui démontre avec trop d’autres problèmes non résolus que notre France que j’aime va vraiment mal !?

Drancy a longtemps été un bastion communiste de la « ceinture Rouge » de la région parisienne (de 1935 à 2001), dirigé pendant 38 ans (1959-1997) par une figure historique du PCF et ancien grand résistant de la Seconde Guerre mondiale, Maurice Nilès, qui fut député sans interruption pendant 28 ans (1958-1986)

D'août 1941 à août 1944, le camp d'internement de Drancy a été le site principal de la Shoah en France de triste mémoire !?

Donc pour revenir à ses élections législatives stupides la seule vraie solution qui semble la seule raisonnable serait de nous débarrasser rapidement et sans attendre 2027 de ce président d’une nullité remarquable avec « sa macronie » tirée au sort et ses gouvernements de politiciens de tous bords qui ne pensent qu’à eux pas à la France avant qu’il ne soit trop tard mais là cela parait utopique concernant les Français qui pourtant ne l’aime plus beaucoup fassent quelque chose dans ce sens alors attendons les résultats du 07/7 mais sans beaucoup d’espoir !?

Jdeclef 02/07/2024 11h50

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