dimanche 21 juillet 2024

On ferait mieux de s’occuper de notre pays ou on n’est pas capable de constituer un gouvernement valable tout çà à cause de ce Mr MACRON petit bourgeois fat qui a déraillé avec sa dissolution inutile et des Français eux même puisqu’ils l’ont élu et réélu !?

 

Le trumpisme nouveau est arrivé CA CHANGE QUOI EUX AUSSI CES AMERICAINS ILS REPRENNENT LES MEMES !? Avec ce Trump nous aussi on a eu un Robespierre qui s’est pris une balle dans la figure Comme Augustin Robespierre se précipite d’une fenêtre et se brise une jambe, Maximilien se tire dans la bouche un coup de pistolet (version de tous les témoignages datant du moment même) ou il reçoit une balle dans le visage tirée par le gendarme Merda !?

LA CHRONIQUE DE GÉRARD ARAUD. En désignant J. D. Vance comme candidat à la vice-présidence, Donald Trump tente d’ancrer son mouvement dans la durée.

Par Gérard Araud

Publié le 21/07/2024 à 07h00

Donald Trump et J. D. Vance lors de la convention républicaine, le 18 juillet 2024. © Paul Sancya/AP/SIPA / SIPA / Paul Sancya/AP/SIPA

Donald Trump vient donc de désigner J. D. Vance comme son colistier. Il serait facile de ne pas attacher de l'importance à un potentiel vice-président au rôle traditionnellement ingrat d'autant que, dans ce cas, le président n'est pas du genre à partager les responsabilités. Ce serait pourtant une erreur du fait de la personnalité hors du commun de Vance. En effet, il s'est fait connaître par la publication d'un best-seller, Hillbilly Elegy, traduit en français (Hillbilly Élégie), qui dit la misère blanche dans l'État de l'Ohio. L'auteur, issu de ce milieu, nous montre chômage, alcoolisme, drogue, violence domestique, pauvreté dans un paysage postapocalyptique d'usines fermées, de villes mourantes et d'existences sans espoir. C'est un livre tout en colère rentrée qui révèle, par ailleurs, un réel talent littéraire. Vance s'en est tiré, comme beaucoup d'Américains dans son cas le font, en s'engageant dans les Marines qui, à la fin de son contrat, lui ont payé ses études universitaires jusqu'à un diplôme de droit d'une des universités les plus réputées du pays, Yale. Un intellectuel égaré chez un président qui ne lit rien ?

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Ces instincts, ce sont un isolationnisme musclé et le refus de toute contrainte internationale, un protectionnisme de combat, un autoritarisme fondé sur le mépris de l'État de droit, le manichéisme d'une politique devenue le combat du Bien contre le Mal, la limitation du rôle de l'État, la baisse des impôts en particulier des plus riches… Le tout exprimé dans un vocabulaire simpliste où logique et faits cèdent le pas devant violence et contre-vérités. Cette brutalité primitive dissimule un sens politique averti. Trump a compris avant tout le monde la crise économique, culturelle et sociale que dissimulent les bons chiffres macro-économiques américains. Il s'en est saisi : oui, les élites trahissent leur mission ; oui, les immigrés sont une menace ; oui, les revendications des minorités sont abusives ; oui, les États-Unis perdent leur identité chrétienne ; oui, les pays étrangers profitent de notre générosité ; oui, nous avons mené trop de guerres ; oui, moi, Donald Trump, je suis votre représentant et je suis persécuté pour cette raison.

Le cartel des Non

Sur cette base, Trump a su fédérer toutes les angoisses, toutes les colères, toutes les peurs, que ce soit de la droite évangéliste ou des victimes blanches de la désindustrialisation : en termes français, on dirait qu'il a réuni sous sa houlette Manifpourtous et Gilets jaunes. Trump est le porte-parole de tous ceux qui n'approuvent pas la direction dans laquelle évolue la société américaine : des Blancs pour la grande majorité.

Si ce cartel des Non lui est resté fidèle, c'est d'abord qu'il a répondu à leurs demandes au cours de son premier mandat : le hasard qui lui a permis de nommer trois juges réactionnaires à la Cour suprême y a assuré une majorité conservatrice pour des décennies et a déjà conduit à la fin de la protection fédérale du droit à l'avortement. Une vingtaine d'États républicains ont pu ainsi voter des lois restrictives en la matière. C'est le Graal pour la droite chrétienne dont c'était le combat emblématique depuis un demi-siècle. Par ailleurs, son mandat a été marqué par une croissance économique rapide tandis qu'il mettait en place un protectionnisme de choc face à la Chine mais aussi face au Canada et aux pays européens. Enfin, il a entretenu le dialogue avec son électorat tout au long de son mandat, que ce soit par Twitter/X ou par de grands meetings populaires.

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C'est dans ce contexte que s'inscrit J. D. Vance. Son expérience singulière, son indéniable intelligence, il les a mises au service d'une vision réactionnaire de la politique. Avec lui, les foucades de Trump acquièrent une cohérence doctrinale. L'un gouverne aux tripes ; l'autre, qui manque de charisme, a plutôt recours à son cerveau. Pour Vance, c'est la destruction de la société traditionnelle – églises, famille, industrie nationale – qui est la source de la misère des siens. Les élites globalistes en sont responsables. Elles doivent être balayées, y compris par une purge brutale de l'administration fédérale. Le pouvoir doit être ramené, autant que possible, au niveau des États fédérés. En politique étrangère, Vance exprime un néo-isolationnisme sans concession qui le conduit, en particulier, à appeler à un dégagement d'Europe, y compris d'Ukraine. Derrière lui, autre singularité, les milliardaires de la côte ouest, comme Peter Thiel (PayPal, Palantir entre autres) ou Elon Musk (Tesla, SpaceX, Twitter/X), qui prônent le démantèlement de l'État. « Libertariens », ils rêvent d'une sorte de Far West où les « meilleurs » s'enrichissent et où la famille constitue la cellule de base de la société.

J. D. Vance pourrait donc représenter la survie à Trump d'un trumpisme qui n'a jusque-là attiré que des imitateurs trop caricaturaux pour avoir un avenir. À lui de prouver que celui-ci peut exister sans les excès, les éclats et le charisme du père fondateur.

Cela suffit ce mauvais  feuilleton préélectoral US de ces deux vieux ex présidents TRUMP/BIDEN sans intérêt sous prétexte que cette Amérique du Nord USA est notre allié surtout après la dernière guerre mondiale car c’est la plus grande puissance de ce monde entier devenu instable voir dangereux pour la paix des hommes femmes et enfants dans notre race dit humaine soi-disant au plus haut de l’échelle des espèces vivant sur notre terre par son intelligence qu’elle utilise mal ou pas du tout pour évoluer dans nos sociétés pour celles dites démocratiques et libres et améliorer la vies des leurs ressortissants !?

Comme je le dis souvent de par mon âge et ayant connus tous ces présidents depuis 1958 dans notre pays la France et ceux des USA qui font l’actualité à cause de cet attentat contre un de leur ex président (et ce n’est pas le 1er chez eux depuis leur guerre de sécession de 1865 entre leurs états du nord et sud  avec LINCOLN et contre leurs discriminations et fin de l’esclavage) en voulant donner des leçons au monde mais çà nous aussi on sait le faire avec notre président inutile car incompétents hyper bavard qui a réussi à semer un souk inapproprié avec sa dissolution de notre ASSEMBLEE NATIONALE que nous avons élu et réélu comme des naïfs stupides et bien sûr ou on n’arrive pas à constituer un nouveau gouvernement viable et fiable donc ce Mr MACRON hyper orgueilleux a réussi à mettre une majorité contre lui mais il doit être masochiste car indéboulonnable jusqu’en 2027 car on donne toujours trop de pouvoir à un seul homme dans notre constitution ( un piège ou le peuple de Français lambda tombe toujours !? )

Alors tant pis pour nous et pauvre France si malade dans tous les compartiments de ce mauvais pouvoir et cette mauvaise classe politique de tous bords dont quelques poignées d’élus profitent sans oublier les médias bien sur qui jettent de l’huile sur le feu !?

Jdeclef 21/07/2024 11h35

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