Pourquoi LFI risque de
perdre de sa superbe dimanche car les divisions internes des ces partis dits de
gauche extrémistes servent à notre président pour propulser l’extrême droite RN
pour son profit et çà risque de réussir d’ailleurs la majorité totale de l’extrême
droite n’est plus acquise car les Français sont individualistes et versatiles
un de leurs principaux défauts déjà nombreux parmi d’autres ( et les « macronistes »
pas morts ?! )
Dimanche
soir, les socialistes devraient gagner beaucoup plus de députés que les
Insoumis, affaiblissant le poids des mélenchonistes dans l’alliance de gauche.
Publié le
04/07/2024 à 08h00, mis à jour le 04/07/2024 à 10h45
Aux grandes heures du Parti socialiste, on les appelait les
« poètes ». Chaque courant avait le sien. Leur boulot :
s'enfermer de longues heures pour négocier les investitures lors des élections.
Les courants ne sont plus aussi drus qu'à la grande époque de Solférino, mais
il reste quelques héritiers des « poètes ».
On a négocié circonscription par
circonscription pour doubler, voire tripler la taille de notre groupeCorinne Narassiguin, sénatrice PS proche
d’Olivier Faure
Précisons : puisqu'on s'intéresse au PS, il faut entrer dans le détail
des courants. Chacun a sa façon de compter. Le camp Hélène Geoffroy, maire de
Vaulx-en-Velin, estime le futur groupe socialiste au Palais-Bourbon à une
soixantaine de députés ; le camp de Nicolas Mayer-Rossignol, maire de
Rouen, est un peu moins optimiste, avec une fourchette comprise
entre 50 et 55 élus. Les experts d'Olivier Faure, enfin,
avancent une fourchette plus large encore : les socialistes enverraient
entre 55 et 75 députés dimanche soir au Palais-Bourbon.
« C'est 80 à 140 % de plus qu'en 2022 », observe
Baptiste Maurin, expert de la carte électorale du pays. Il y a deux ans,
seuls 27 candidats PS avaient été élus sous la bannière de la Nupes
(auxquels se sont joints quatre apparentés). « On a négocié
circonscription par circonscription pour doubler, voire tripler la taille de
notre groupe », confie Corinne Narassiguin, sénatrice PS
proche d'Olivier Faure.
Front
républicain : les mille et une perversités de Jean-Luc Mélenchon
Le Parti socialiste, grand gagnant de cette élection, risque toutefois de
rester le deuxième groupe de gauche derrière celui de LFI. Les Insoumis, selon
les calculs du PS, devraient décrocher
entre 60 et 80 sièges, soit une stabilité par rapport à
2022, voire une légère augmentation d'une dizaine de sièges. Mais la fourchette
basse de LFI (60 sièges, donc) ne croise pas la fourchette haute des
socialistes (75 sièges) : les deux estimations évoluent de conserve ;
quand l'une augmente, l'autre aussi. Les Écologistes, qui les premiers se sont
jetés dans les bras de LFI pour négocier une alliance, devraient récolter les
fruits de cet empressement : leur groupe pourrait compter une trentaine de
députés, contre 21 en 2022. Les communistes, enfin, récoltent les
miettes. Ils obtiendraient une dizaine d'élus, à peine de quoi constituer un
groupe au Palais-Bourbon (ils étaient tout juste 15 jusqu'à la
dissolution).
Les chiffrages sont encore imprécis, notamment parce que les effets des
triangulaires sont difficiles à évaluer. De même, dans les QG de gauche, on
s'interroge sur les effets de la campagne des européennes et des mois passés,
qui ont vu les Insoumis s'écharper, parfois violemment, avec les socialistes. Refroidis par tant de virulence,
échaudés par les ambiguïtés avec l'antisémitisme
de certains élus LFI, les électeurs du PS voteront-ils comme un seul homme en
faveur d'un Insoumis ? Alma Dufour, candidate LFI sortante en
Seine-Maritime, pourrait ainsi payer ses prises de position radicales,
notamment en faveur de la Palestine, sur ces terres de socialisme tempéré.
Les députés LFI « purgés » avec les communistes ?
Le risque de déperdition semble toutefois modéré. L'épouvantail RN
soude les troupes du Nouveau Front populaire. « La gauche fait
bloc », constate Baptiste Maurin. Et, au sein de ce bloc, les socialistes
tirent mieux leur épingle du jeu que les Insoumis : tenté de faire barrage
au RN, un électeur de droite ou du centre votera plus facilement pour un
social-démocrate bon teint que pour un agitateur mélenchoniste.
Dimanche soir, le visage de la gauche devrait donc être modifié. Le poids
numérique du PS lui conférera un nouveau poids politique. « Le centre
de gravité de la gauche va se déplacer », note Guillaume Garot, député
socialiste sortant de Mayenne, en bonne voie pour être réélu. Les difficultés
de LFI devraient, de surcroît, renforcer un peu plus le PS et les autres partis
du Nouveau Front populaire : les députés « purgés » de
LFI pourraient se détacher du groupe mélenchoniste, réduisant sa taille.
Ils seront sans doute trop peu nombreux pour constituer un groupe à part
entière (soit 15 membres minimum), mais Alexis Corbière, François
Ruffin ou Clémentine Autain pourraient trouver refuge chez les communistes.
Encore faut-il que ces derniers soient prêts à accueillir un Ruffin qui
deviendrait, de fait, le leader des députés PCF… Avec moins
de 100 députés, le groupe des Insoumis serait, en tout cas, inférieur
en nombre aux trois autres réunis. « Il y a de bonnes chances que LFI soit
désormais minoritaire au sein du NFP », confirme un soutien d'Olivier
Faure.
Ce que les législatives
révèlent de Mélenchon
Le rétrécissement numérique et politique de LFI aura des conséquences en cas
de gouvernement composite, bricolé si le RN n'a pas la majorité absolue
dimanche. Jean-Luc
Mélenchon et ses lieutenants ne pourront imposer un Premier ministre issu de leurs rangs,
si l'équation politique le commandait. En début de semaine, Sophia Chikirou,
tout juste réélue à l'Assemblée, assurait que le successeur de Gabriel Attal à
Matignon serait soit Mélenchon, soit un membre de
LFI… « L'accord, c'est que le Premier ministre soit issu de nos
rangs », a-t-elle professé, comme si elle voulait semer la pagaille à
gauche.
« Faux », répond l'un des négociateurs du PS. Aucun codicille de
ce genre ni accord verbal ne figure dans le compromis signé entre les
quatre partis de gauche. Ce sera, désormais, à la politique de parler,
c'est-à-dire au rapport de force. Mélenchon le sait mieux que quiconque.
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Notre président est un « homme
seul » c’est là l’erreur de plus à qui on a donné trop de pouvoir çà c’est
un autre de nos défauts peut être le pire avec son « quoi il en coute et son
en même temps » d’une débilité remarquable en servant en plus de cet alibi
de ce COVID pandémique qu’il ne maitrisait pas avec ces conseils de défense
bidons et nos soit disant scientifiques émérites qui n’arrivaient pas à
s’entendre entre eux pour heureusement aboutir à un arrêt de cette pandémie par
une vaccination mais pas éradication totale de ce virus par cette Europe Unie
qui elle a montré son utilité ?!
En fait peut être entrainé
par son orgueil mal placé de faux monarque et comme il se serait rendu compte
qu’il était de plus en plus désavoué par des Français de tous bords qu’il dédaignait
voire les insultait en passant ce croyant le meilleur a dissous cette ASSEMBLEE
NATIONALE composée d’élus incompétents mais il n’y a pas qu’eux il y a « LUI »
dans cette classe politique super médiocre on en a l’exemple dans ce ramassis d’extrémistes :
de politiciens usés droites LR et RN qui se voit en haut de l’affiche et
gauches LFI de cette gauche PS PC écolos NPA mais surtout drivés par ce non élu
MELENCHON surement le pire cet ex
ministre PS vindicatif mal élevé ce vieux tribun trublion patenté dont le désordre
et l’anarchie est devenue sa religion donc dangereux (çà fait comme
penser à TRUMP aux USA !?)
Malheureusement à l’issue de
ce deuxième tour d’élections législatives la majorité absolue d’un des 2 mouvements
opposants et ces partis ringards LR RN / Nouveau FRONT POPULAIRE ne sera pas atteint
donc il faudrait changer de président et cette V eme république usée de 66 ans (donc
mise à la retraite d’office) en mettant pour les 3 ans à venir tout à plat avec
un gouvernement provisoire avec même « un Macron l’inutile » mais
sans pouvoir si ce n’est que pour arroser les chrysanthèmes comme sous la IV
eme république !?
Ce ne n’est que de la politique
fiction car les FRANÇAIS n’y comprennent rien depuis + de 40ans (sauf quand ils
seront trop nombreux à faire la queue à la soupe populaire ou aux associations
caritatives pour survivre là le président pourra dire que ce serait une guerre
civile ?!)
Jdeclef 04/07/2024 13h19
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