lundi 15 juillet 2024

Ce pays les USA (que l’on dit le plus libre du monde ?!) Mais encore jeune en fait ex colonie britannique au regard de notre histoire commune bien plus ancienne en Europe et notre France bourgeoise royaliste ex féodale bien qui l’a aidée a acquérir EN 1776 leur indépendance grâce à notre dernier roi Louis XVI et qui fut exécuté aidé par le noble LAFAYETTE suite à notre révolution de 1789 qui a suivi un monde qui était déjà instable à cette époque ?!

 

À Milwaukee, des républicains incrédules devant l’attaque contre Donald Trump pourtant dans des états comme le TEXAS certains portent le colt à la ceinture comme du temps des cowboys dans l’ouest au IXX eme siècle et maintenant vont même acheter leurs cartouches au distributeurs automatique….

Sous le choc, des délégués, venus voter pour Donald Trump à la convention républicaine, pensent que l’attaque aidera l’ancien président.

Par Claire Meynial

Publié le 14/07/2024 à 12h20, mis à jour le 15/07/2024 à 09h43

Ce pays nord et sud US diffèrent par leurs cultures et lois différentes est quand même divisé malgré que ce disant AMERICAINS avant tout car sachant se protéger quand des problèmes extérieurs à leurs pays et états savent faire face ce qui fait leur puissance et leur richesse !?

NOUS EN FRANCE NOUS SOMMES ENGLUE DANS NOTRE INDIVIDUALISME ET CHACUN POUR SOI BORNE ALORS QUE NOTRE HISTOIRE EST BIEN PLUS ANCIENNE ET RICHE CULTURELLEMENT QUE LA LEUR QUE NOUS AVONS CREE PAR NOS MIGRANTS VERS CHEZ EUX IL SUFFIT D’ALLER A NEW YORK VILLE COSMOPOLITE POUR COMPRENDRE CELA ET S’EN RENDRE COMPTE OU SANS FRANCISCO !?

 Accoudé au bar, en demi-cercle, d'un hôtel de Milwaukee, un homme qui a bu une, ou deux, ou trois, ou quatre bières de trop s'essuie les yeux. « Mais c'est DINGUE ! Mais Trump, on sait s'il va bien ? Et l'autre sac à merde, on sait qui c'est ? Il a vraiment tenté de le tuer, ce salopard… », répète-t-il, incrédule. Au mur, deux téléviseurs sont branchés, à gauche, sur un match de catch féminin, à droite, sur Fox News qui retransmet, en boucle, les images de l'attaque contre Donald Trump à Butler, en Pennsylvanie. On voit Trump porter la main à son oreille, puis s'abriter sous son pupitre, on entend les coups de feu et les cris de la foule. « Oh mon Dieu ! Oh mon Dieu ! » crie l'homme en s'agrippant à mon avant-bras. C'est un délégué républicain, venu voter pour Trump.

À quelques centimètres près

Elizabeth Hinds-Ferrick est une déléguée du Massachusetts. Elle est secouée par l'attaque. La violence fait partie de l'histoire politique du pays. « Ça m'a rappelé l'assassinat de JFK, celui de Robert Kennedy, de Martin Luther King. Ça a fait remonter beaucoup de mauvais souvenirs. Mais Trump est tenace. Ça n'a fait que renforcer mon soutien pour lui. » Amy Carnavali, présidente du Parti républicain du Massachusetts, n'en revient pas non plus : « Ce matin, on est allés chercher nos badges, puis on est allés visiter le centre de convention, il y avait tous les ballons, rouges, blancs, bleus, et dorés pour la touche Trump. Et puis comme toute l'Amérique, on a vu la nouvelle. Pendant 20 minutes, on n'y a pas cru. Et ensuite, on a commencé à comprendre qu'à quelques centimètres près il aurait pu perdre la vie, à la veille de sa nomination. » Depuis des mois, la tension ne cesse de monter. En mars, Trump a promis un « bain de sang » dans le marché automobile s'il n'était pas réélu, et ajouté : « Et ce ne sera que le début. » Le 4 juillet, Kevin Roberts, président de l'institut de réflexion Heritage Foundation, qui a rédigé le Projet 2025, programme ultraconservateur pour le prochain président, a assuré qu'il s'agissait d'une « deuxième révolution », qui resterait « sans effusion de sang, si la gauche le (voulait) bien ». La rhétorique de la guerre civile est de plus en plus présente.

 Tentative d'assassinat contre Donald Trump : le tireur identifié par le FBI « C'est allé trop loin, la droite et la gauche, dit Elizabeth Hinds-Ferrick en écartant les mains. Il n'y a plus de juste milieu. C'est ça, le danger. » La polarisation a rendu tout dialogue, entre les deux partis, quasi impossible. Carnavali blâme les propos des démocrates. « Il y a des leaders, côté progressiste, qui ont alimenté le vitriol chez leurs partisans. Et bien sûr, l'un d'eux est allé trop loin aujourd'hui. » On ne sait pour l'instant pas grand-chose de l'assaillant, Thomas Matthew Crooks, 20 ans, qui a été abattu par la police, si ce n'est qu'il était enregistré comme… républicain, même s'il avait donné 15 dollars à un groupe démocrate d'inscription d'électeurs. « La rhétorique de l'extrême gauche, c'est de dire que Donald Trump est “une menace pour la démocratie”, poursuit Carnavali. Et si quelqu'un intériorise ce message, il peut aller trop loin. » C'est l'axe sur lequel Biden a misé pour les élections de mi-mandat, en novembre 2022, avec succès. Et le 8 juillet, dans un appel à ses donateurs refroidis par sa prestation désastreuse au débat du 27 juin, il a lancé : « J'ai un seul boulot, battre Donald Trump. Je suis absolument certain que je suis le mieux placé pour ça. Donc, on arrête de parler du débat, il est temps de se concentrer sur Trump [littéralement : de mettre une cible sur lui, NDLR]. » Vendredi soir, lors d'un événement de campagne à Détroit, il a dit : « Trump est encore plus dangereux maintenant. Il est fou. Trump dit que s'il gagne, il va être un dictateur dès le premier jour. On ne va pas permettre ça. Il faudra me passer sur le corps. » Mais il appelait à voter pour lui, pas à la violence.

« God Bless the USA Bible »

Carnavali pense qu'on a trop parlé de la violence de la droite, « si tant est qu'il y en ait eu » (les démocrates mettent l'accent sur l'assaut du Capitole, le 6 janvier 2021), en négligeant celle de la gauche, qui a suivi l'assassinat de George Floyd, homme noir, par un policier blanc à Minneapolis. « Je redoute que [cette attaque] ne pousse des individus à commettre d'autres violences », dit-elle. Le contexte, qui divise à Gaza (comme celle du Vietnam), avec un président impopulaire (comme l'était Lyndon Johnson), un été de conventions, rappelle 1968, ses assassinats et ses émeutes. La peur de la violence est dans tous les esprits.

Le centre de convention Fiserv, en centre-ville, était vide samedi après-midi. Des équipes de policiers se rassemblaient pour les derniers briefings, entre les stands de produits dérivés à moitié montés, où trône déjà une immense affiche de Donald Trump, vantant sa Bible, la « God Bless the USA Bible ». Décorée d'un drapeau américain, elle inclut la déclaration d'indépendance, la Constitution, le serment d'allégeance et les paroles de la chanson qui accompagne chaque entrée sur scène de Trump, « God Bless the USA », de Lee Greenwood. La grande actualité devait être l'annonce du vice-président de Trump. Ces derniers jours, on a parlé de J. D. Vance, sénateur de l'Ohio, Marco Rubio, sénateur de Floride, ou encore Doug Burgum, gouverneur du Dakota du Nord et candidat malheureux à la primaire républicaine. À Milwaukee, on murmure le nom de Glenn Youngkin, gouverneur de Virginie, élu en promettant de bannir la « théorie critique de la race », discipline antiraciste, à l'école.

Pop-corn

Tout cela passe au second plan, même si les républicains pensent que l'attaque les aidera. Le contexte leur était déjà favorable. « Ces deux dernières semaines, on a pu se relaxer avec notre pop-corn et regarder les démocrates imploser, sourit Carnavali. Franchement, il n'y a pas mieux comme position, parce que c'est la débandade. Chaque jour, c'est plus chaotique. » Elle suppose que la tentative d'assassinat contre Trump occupera largement la convention. « Le connaissant, il pourrait faire monter sur scène des gens, soit qui ont été touchés aujourd'hui, soit des membres de leur famille, enfin, il trouvera un moyen d'en parler. Hinds-Ferrick est confiante : « Je pense que ça va attirer plus de gens de notre côté. Tous les indécis, ça va les convaincre. Parce que ce sont les États-Unis, ça ne devrait pas arriver. Oui, on a eu de la violence politique dans les années 1960, mais on ne s'y attend pas, ici et maintenant. »

 Michael O'Hanlon : « Si Trump ne vous aime pas, vous êtes comme son ennemi » La convention est aussi l'occasion de mettre en avant la plateforme du parti. En 2020, le Parti républicain n'en a pas présenté, confirmant combien l'élection était une question de personne, et non de programme. Le 8 juillet, il en a publié une, en lettres capitales, pour 2024, intitulée « Rendre sa grandeur à l'Amérique ! », le slogan MAGA de Donald Trump. Tout cela est éclipsé. « Vous allez voir l'enthousiasme, conclut Hinds-Ferrick. Ça aurait pu être une convention un peu tranquille, mais vous allez voir, la base va être super motivée. » Dans le bar, des délégués ivres morts chantent « God Bless America ». La télévision retransmet la conférence de presse du FBI qui confirme « une tentative d'assassinat sur l'ancien président ». La campagne de Trump, elle, a déjà lancé ses traditionnels textos d'appels de fonds. Le dernier dit simplement : « Je n'abandonnerai jamais ! »

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Pour le reste cette Amérique du nord et ses ressortissants ont déjà eu plusieurs présidents qui on subit des attentats criminels le plus connu étant celui de KENNEDY ?!

Certains diront que c’est lié à leur histoires plus anciennes de leurs Amériques et notamment celle du Nord marquée par les colonisations européennes en majorité britanniques et Françaises et autres qui avaient déjà des empires coloniaux africains et autres déjà importants ce qui nous[H1]  ramène à cette histoire américaine de la fameuse conquête de l’ouest  du IXX eme siècle pour créer ces USA sans avoir échappé avant à leurs guerres de sécession de 1865 entre le sud et nord de ce continent américain du NORD éradiquant presque tous les autochtones appelés « indiens » en les parquant dans des réserves que ce soit au CANADA pour les Français et la création indirecte des 50 états actuels et qui a mis fin à la prohibition de l’alcool dans les années 30 mais n’ayant pas totalement éradiqué Les discrimination raciales africaines noires surtout au Sud malgré la fin de l’esclavagisme jusque dans les années 1960 sans oublier aussi les hispaniques indirectement issu de La guerre hispano-américaine a entraîné le retrait de l'Espagne de l'île de CUBA en 1898 et, après trois ans et demi de régime militaire des États-Unis, Cuba a obtenu son indépendance formelle en 1902 

Ce grand pays a subi  le défaut de ses qualités issues de ses immigrations européennes avec trop de libertés mal encadrées et est devenue la plus grande puissance du monde libre mais qui mène quelque fois à ce genre d’actes criminels que  d’avoir des armes à disposition facile pour savoir ce défendre ce qui mène forcement certains à s’en servir pour régler leur compte et qui débouche sur des pseudo dirigeants déjantés excités aboyeurs de foire en poussant une certaine population à dérailler comme TRUMP lors ces manifestations violentes au capitole et que l’on n’arrive pas à condamner d’ailleurs car c’est déplorable et inutile de vouloir tuer un homme politique pour ça  ?!

Nous aussi chez nous Français donneurs de leçons on a notre aboyeur de foule mal élevé MELENCHON le tribun trublion avec ces partis de ces gauches extrémiste ou droites lamentables incapables de s’entendre ce qui profite à notre petit président inutile qui a semé le désordre par son orgueil mal placé et qui compte les points (car en plus il n’avait pas besoin de le faire jusqu’en 2027 !?)

Mais cela souligne quand même que notre monde entier et même celui des pays démocratiques libres va mal et si on ne fait rien on ira au chaos comme a dit notre président inutile faudrait-il savoir quoi faire ?!

Jdeclef 15/07/2024 14h56

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