À Milwaukee, des
républicains incrédules devant l’attaque contre Donald Trump pourtant dans des
états comme le TEXAS certains portent le colt à la ceinture comme du temps des cowboys
dans l’ouest au IXX eme siècle et maintenant vont même acheter leurs cartouches
au distributeurs automatique….
Sous le choc,
des délégués, venus voter pour Donald Trump à la convention républicaine,
pensent que l’attaque aidera l’ancien président.
Publié le
14/07/2024 à 12h20, mis à jour le 15/07/2024 à 09h43
Ce pays nord
et sud US diffèrent par leurs cultures et lois différentes est quand même
divisé malgré que ce disant AMERICAINS avant tout car sachant se protéger quand
des problèmes extérieurs à leurs pays et états savent faire face ce qui fait leur
puissance et leur richesse !?
NOUS EN FRANCE
NOUS SOMMES ENGLUE DANS NOTRE INDIVIDUALISME ET CHACUN POUR SOI BORNE ALORS QUE
NOTRE HISTOIRE EST BIEN PLUS ANCIENNE ET RICHE CULTURELLEMENT QUE LA LEUR QUE
NOUS AVONS CREE PAR NOS MIGRANTS VERS CHEZ EUX IL SUFFIT D’ALLER A NEW YORK
VILLE COSMOPOLITE POUR COMPRENDRE CELA ET S’EN RENDRE COMPTE OU SANS FRANCISCO !?
Accoudé au bar, en demi-cercle, d'un hôtel de Milwaukee, un
homme qui a bu une, ou deux, ou trois, ou quatre bières de trop s'essuie les
yeux. « Mais c'est DINGUE ! Mais Trump, on sait s'il va bien ?
Et l'autre sac à merde, on sait qui c'est ? Il a vraiment tenté de le
tuer, ce salopard… », répète-t-il, incrédule. Au mur, deux téléviseurs
sont branchés, à gauche, sur un match de catch féminin, à droite, sur Fox News
qui retransmet, en boucle, les images de l'attaque contre Donald Trump à
Butler, en Pennsylvanie. On voit Trump porter la main à son oreille, puis
s'abriter sous son pupitre, on entend les coups de feu et les cris de la foule.
« Oh mon Dieu ! Oh mon Dieu ! » crie l'homme en s'agrippant
à mon avant-bras. C'est un délégué républicain, venu voter pour Trump.
À quelques centimètres près
Elizabeth Hinds-Ferrick est une déléguée du Massachusetts. Elle est secouée
par l'attaque. La violence fait partie de l'histoire politique du pays.
« Ça m'a rappelé l'assassinat de JFK, celui de
Robert Kennedy, de Martin Luther King. Ça a fait remonter beaucoup de mauvais
souvenirs. Mais Trump est tenace. Ça n'a fait que renforcer mon soutien pour
lui. » Amy Carnavali, présidente du Parti républicain du Massachusetts,
n'en revient pas non plus : « Ce matin, on est allés chercher nos
badges, puis on est allés visiter le centre de convention, il y avait tous les
ballons, rouges, blancs, bleus, et dorés pour la touche Trump. Et puis comme
toute l'Amérique, on a vu la nouvelle. Pendant 20 minutes, on n'y a
pas cru. Et ensuite, on a commencé à comprendre qu'à quelques centimètres
près il aurait pu perdre la vie, à la veille de sa nomination. »
Depuis des mois, la tension ne cesse de monter. En mars, Trump a promis un « bain de
sang » dans le marché automobile s'il n'était pas réélu, et
ajouté : « Et ce ne sera que le début. » Le 4 juillet,
Kevin Roberts, président de l'institut de réflexion Heritage Foundation, qui a
rédigé le Projet 2025, programme ultraconservateur pour le prochain président,
a assuré qu'il s'agissait d'une « deuxième révolution », qui
resterait « sans effusion de sang, si la gauche le (voulait) bien ».
La rhétorique de la guerre civile est de plus en plus présente.
Tentative
d'assassinat contre Donald Trump : le tireur identifié par le FBI
« C'est allé trop loin, la droite et la gauche, dit Elizabeth
Hinds-Ferrick en écartant les mains. Il n'y a plus de juste milieu. C'est ça,
le danger. » La polarisation a rendu tout dialogue, entre les deux partis,
quasi impossible. Carnavali blâme les propos des démocrates. « Il y a des
leaders, côté progressiste, qui ont alimenté le vitriol chez leurs partisans.
Et bien sûr, l'un d'eux est allé trop loin aujourd'hui. » On ne sait pour
l'instant pas grand-chose de l'assaillant, Thomas Matthew Crooks, 20 ans,
qui a été abattu par la police, si ce n'est qu'il était enregistré comme…
républicain, même s'il avait donné 15 dollars à un groupe démocrate
d'inscription d'électeurs. « La rhétorique de l'extrême gauche, c'est de
dire que Donald Trump est “une menace pour la démocratie”,
poursuit Carnavali. Et si quelqu'un intériorise ce message, il peut aller trop
loin. » C'est l'axe sur lequel Biden a misé pour les élections de
mi-mandat, en novembre 2022, avec succès. Et le 8 juillet, dans un
appel à ses donateurs refroidis par sa prestation désastreuse au débat du
27 juin, il a lancé : « J'ai un seul boulot, battre Donald
Trump. Je suis absolument certain que je suis le mieux placé pour ça. Donc, on
arrête de parler du débat, il est temps de se concentrer sur Trump
[littéralement : de mettre une cible sur lui, NDLR]. » Vendredi soir,
lors d'un événement de campagne à Détroit, il a dit : « Trump est
encore plus dangereux maintenant. Il est fou. Trump dit que s'il gagne, il va
être un dictateur dès le premier jour. On ne va pas permettre ça. Il faudra me
passer sur le corps. » Mais il appelait à voter pour lui, pas à la
violence.
« God Bless the USA
Bible »
Carnavali pense qu'on a trop parlé de la violence de la droite, « si
tant est qu'il y en ait eu » (les démocrates mettent l'accent sur l'assaut
du Capitole, le 6 janvier 2021), en négligeant celle de la gauche, qui a
suivi l'assassinat de George Floyd, homme noir, par un policier blanc à
Minneapolis. « Je redoute que [cette attaque] ne pousse des individus à
commettre d'autres violences », dit-elle. Le contexte, qui divise à Gaza
(comme celle du Vietnam), avec un président impopulaire (comme l'était Lyndon Johnson),
un été de conventions, rappelle 1968, ses assassinats et ses émeutes. La peur
de la violence est dans tous les esprits.
Le centre de convention Fiserv, en centre-ville, était vide samedi
après-midi. Des équipes de policiers se rassemblaient pour les derniers
briefings, entre les stands de produits dérivés à moitié montés, où trône déjà
une immense affiche de Donald Trump, vantant sa Bible, la « God Bless the
USA Bible ». Décorée d'un drapeau américain, elle inclut la déclaration
d'indépendance, la Constitution, le serment d'allégeance et les paroles de la
chanson qui accompagne chaque entrée sur scène de Trump, « God Bless the
USA », de Lee Greenwood. La grande actualité devait être l'annonce du
vice-président de Trump. Ces derniers jours, on a parlé de J. D. Vance,
sénateur de l'Ohio, Marco Rubio, sénateur de Floride, ou encore Doug Burgum,
gouverneur du Dakota du Nord et candidat malheureux à la primaire républicaine.
À Milwaukee, on murmure le nom de Glenn Youngkin, gouverneur de Virginie, élu
en promettant de bannir la « théorie critique de la race »,
discipline antiraciste, à l'école.
Pop-corn
Tout cela passe au second plan, même si les républicains pensent que
l'attaque les aidera. Le contexte leur était déjà favorable. « Ces deux
dernières semaines, on a pu se relaxer avec notre pop-corn et regarder les
démocrates imploser, sourit Carnavali. Franchement, il n'y a pas mieux comme
position, parce que c'est la débandade. Chaque jour, c'est plus
chaotique. » Elle suppose que la tentative d'assassinat contre Trump
occupera largement la convention. « Le connaissant, il pourrait faire
monter sur scène des gens, soit qui ont été touchés aujourd'hui, soit des
membres de leur famille, enfin, il trouvera un moyen d'en parler. Hinds-Ferrick
est confiante : « Je pense que ça va attirer plus de gens de notre
côté. Tous les indécis, ça va les convaincre. Parce que ce sont les États-Unis,
ça ne devrait pas arriver. Oui, on a eu de la violence politique dans les
années 1960, mais on ne s'y attend pas, ici et maintenant. »
Michael
O'Hanlon : « Si Trump ne vous aime pas, vous êtes comme son
ennemi » La convention est aussi l'occasion de mettre en
avant la plateforme du parti. En 2020, le Parti républicain n'en a pas
présenté, confirmant combien l'élection était une question de personne, et non
de programme. Le 8 juillet, il en a publié une, en lettres capitales, pour
2024, intitulée « Rendre sa grandeur à l'Amérique ! », le slogan
MAGA de Donald Trump. Tout cela est éclipsé. « Vous allez voir
l'enthousiasme, conclut Hinds-Ferrick. Ça aurait pu être une convention un peu
tranquille, mais vous allez voir, la base va être super
motivée. » Dans le bar, des délégués ivres morts chantent « God
Bless America ». La télévision retransmet la conférence de presse du FBI
qui confirme « une tentative d'assassinat sur l'ancien président ».
La campagne de Trump, elle, a déjà lancé ses traditionnels textos d'appels de
fonds. Le dernier dit simplement : « Je n'abandonnerai
jamais ! »
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Pour le reste cette Amérique du nord et ses ressortissants
ont déjà eu plusieurs présidents qui on subit des attentats criminels le plus
connu étant celui de KENNEDY ?!
Certains diront que c’est lié à leur histoires plus anciennes
de leurs Amériques et notamment celle du Nord marquée par les colonisations européennes
en majorité britanniques et Françaises et autres qui avaient déjà des empires coloniaux
africains et autres déjà importants ce qui nous[H1] ramène à cette histoire américaine de la fameuse conquête de
l’ouest du IXX eme siècle pour créer ces
USA sans avoir échappé avant à leurs guerres de sécession de 1865 entre le sud
et nord de ce continent américain du NORD éradiquant presque tous les autochtones
appelés « indiens » en les parquant dans des réserves que ce soit au CANADA
pour les Français et la création indirecte des 50 états actuels et qui a mis
fin à la prohibition de l’alcool dans les années 30 mais n’ayant pas totalement
éradiqué Les discrimination raciales africaines noires surtout au Sud malgré la
fin de l’esclavagisme jusque dans les années 1960 sans oublier aussi les
hispaniques indirectement issu de La guerre
hispano-américaine a entraîné le retrait de l'Espagne de l'île
de CUBA en 1898 et, après trois ans et demi de régime
militaire des États-Unis, Cuba a obtenu son indépendance formelle en 1902
Ce grand pays a subi le défaut de ses qualités issues de ses immigrations
européennes avec trop de libertés mal encadrées et est devenue la plus grande
puissance du monde libre mais qui mène quelque fois à ce genre d’actes criminels
que d’avoir des armes à disposition
facile pour savoir ce défendre ce qui mène forcement certains à s’en servir
pour régler leur compte et qui débouche sur des pseudo dirigeants déjantés excités
aboyeurs de foire en poussant une certaine population à dérailler comme TRUMP
lors ces manifestations violentes au capitole et que l’on n’arrive pas à condamner
d’ailleurs car c’est déplorable et inutile de vouloir tuer un homme politique
pour ça ?!
Nous aussi chez nous Français donneurs de leçons on a
notre aboyeur de foule mal élevé MELENCHON le tribun trublion avec ces partis
de ces gauches extrémiste ou droites lamentables incapables de s’entendre ce qui
profite à notre petit président inutile qui a semé le désordre par son orgueil
mal placé et qui compte les points (car en plus il n’avait pas besoin de le faire
jusqu’en 2027 !?)
Mais cela souligne quand même que notre monde entier et
même celui des pays démocratiques libres va mal et si on ne fait rien on ira au
chaos comme a dit notre président inutile faudrait-il savoir quoi faire ?!
Jdeclef 15/07/2024 14h56
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