Négociations pour
Matignon : LFI réclame le poste pour Mélenchon AU POINT OU ON EN EST METTONS LE NEZ DEDANT MEME SI CA PUE ON
SE BOUCHERA LE NEZ APRES !?
Lors du
dernier round de négociations à gauche, les Insoumis ont enfin abattu leur jeu
en avançant le nom de leur patron pour piloter un gouvernement du NFP.
Publié le
12/07/2024 à 11h14, mis à jour le 12/07/2024 à 11h15
Lors
du dernier round de négociations qui s’est ouvert jeudi 11 juillet 2024, les
Insoumis ont explicitement mis dans la balance le nom de Jean-Luc Mélenchon
pour Matignon. © Abdullah Firas / Abdullah
Firas/ABACA
« Ça y est, ils ont enfin craché
leur Valda ! Depuis le début, on les regardait comme au théâtre en se
demandant quand ils allaient enfin abattre leur jeu », ironise une source
au fait des tractations au sein du Nouveau Front
populaire. Lors du dernier round de négociations qui s'est
ouvert jeudi à 15 heures et s'est tenu jusque dans la nuit, les
Insoumis ont explicitement mis dans la balance le nom de Jean-Luc Mélenchon
pour Matignon, selon plusieurs sources. « Ils nous baladaient jusqu'ici
avec de faux nez », ironise le même alors que, jusqu'à présent,
les noms des députés Clémence Guetté, Manuel Bompard
et Mathilde Panot étaient avancés dans la galaxie insoumise pour diriger
un gouvernement du NFP.
Coalition :
les leçons du docteur Larcher à Macron
Reste à savoir pourquoi les Insoumis verrouillent le jeu au sein des
négociations. « On ne comprend pas la nature du blocage, si c'est sur le nom d'Olivier Faure ou sur un
candidat PS », lâche, un brin désarmé, un proche du patron du Parti
socialiste, qui a candidaté pour Matignon. Ces dernières heures, les
partenaires de LFI avaient tenté de souffler d'autres noms pour décoincer le
jeu, mettant sur la table ceux de François Ruffin et Clémentine Autain,
rebelles Insoumis, sans succès.
Quant aux écologistes, ils refuseraient de trancher. Faute de consensus,
reste la perspective d'un vote au sein du NFP pour trancher le
débat alors que le PS revendique le fait de faire désormais quasiment jeu
égal avec LFI en nombre de députés. « La vérité, c'est que ces
élections marquent le grand retour de la social-démocratie. Les Insoumis
ont peur que le PS redevienne la force première et hégémonique », décrypte
un proche du patron du PS.
Rompre le pacte ?
Autour de la table, où la fatigue gagne, certains en viennent à se
demander, face au blocage, si LFI ne ferme pas sciemment le jeu avec, en tête,
d'autres desseins. « Si, avec ça, on n'a pas compris que LFI ne veut pas
gouverner, on n'a rien compris. Ils veulent une élection présidentielle
anticipée ! » suspecte une source proche des discussions. Jeudi,
Adrien Quatennens, fils spirituel de Jean-Luc Mélenchon, s'en est d'ailleurs
pris sur X (ex-Twitter) à Emmanuel Macron en évoquant ouvertement cette hypothèse :
« En refusant de reconnaître sa défaite et en laissant pourrir la
situation, Macron nous dirige lentement mais sûrement vers le moment où seule
sa démission, et donc une élection présidentielle anticipée, permettra de
clarifier la situation et d'éviter la paralysie du pays. »
sein de la gauche, une petite musique commence donc à monter face à des
discussions qui patinent. En petit comité, l'ancien président François Hollande
souligne que le PS n'aura sans doute pas d'autre choix, en cas
d'échec, que d'aller à la confrontation avec Jean-Luc Mélenchon. D'aucuns au PS
plaident aussi, mezza voce, pour rompre le pacte avec LFI et tendre la
main aux hommes et femmes de bonne volonté des deux rives, citant, entre
autres, les noms de Sacha Houlié, député macroniste qui tente de monter un groupe à l'Assemblée
allant jusqu'à « la droite sociale », et d'Aurélien Pradié,
à droite, qui n'a pas rejoint le groupe Droite républicaine constitué par
Laurent Wauquiez, afin de composer un gouvernement de cohabitation.
Jérôme
Jaffré : « La Ve République s'éloigne à grands
pas »
« Si on est fermés, sectaires, si
on ne discute avec personne d'autre que nous-mêmes, on commettra une faute
démocratique et une erreur stratégique totale », plaide également le
patron de Place publique, Raphaël Glucksmann, dans Le Nouvel Obs,
mettant en garde contre un « déni de réalité ». « On n'a pas le
choix, il faut discuter avec des gens qu'on a combattus, sans nous renier,
et convaincre », défend-il. La fumée blanche devra, en tout état de cause,
sortir avant le 18 juillet, date de l'élection à l'Assemblée nationale des
top jobs, à commencer par le « perchoir ». Un scrutin
interne qui donnera une première indication sur les rapports de force entre les
différents camps.
On est déjà dans une « M.... » gigantesque politique économique et mal
odorante véhiculée par cet aboyeur de foire mal élevé et infréquentable Mélenchon
qui a créé cet attelage de LFI justement insoumise un nom qui lui va si bien et
si mal élevée de trublions comme leur leader ce vieux politicien même plus élu qui
se complait dans le désordre qu’il sème et cette NUPES résidu de ces gauches
moribonde PS PC NPA écolos etc. sans oublier ce FRONT POPULAIRE GLOBAL sans
imagination !?
Moi je ne fais pas de politique
politicienne pour aucun de ses partis ringards et n’est jamais été pro MACRON
et sa « macronnie » d’élus tirés au sort et ne le regrette pas car qu’en
ont voit la façon dont votent les Français notamment a ces législatives déclenchées
par cette dissolution inutile de cette l’ASSEMBLEE dernière folie de notre président
il devient difficile de voter et choisir après les magouilles et désistements divers
envers les uns pour les autres et magouilles ou salade politicienne dans cette
foire électorale pour obtenir des sièges ou groupes pour leurs partis ringards
à l’ASSEMBLEE de partis encore plus divisés comme les FRANCAIS LAMBDA qui se
laisse prendre à ces jeux pervers pour gogos nuls dont beaucoup n’y comprennent
rien ce qui est logique !?
Moi qui aie voyagé dans le
monde et même va repartir pour mes prochaines vacances déjà prévues trop tard
pour les annuler j’ai honte de devoir dire que je suis Français quand je serais
arrivé à destination !?
Jdeclef 12/07/2024 12h27
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