lundi 29 juillet 2024

JO 2024 : chassez le Macron, il revient au galop il n’y a pas besoin il s’accroche à cause des Français qui n’ont pas encore compris son inutilité aux J.O. et surtout en France comme chef d’état !?

 

PARIS 2024. On ne l’avait pas vu sur le tour de France. On l’a beaucoup vu, depuis vendredi, sur la scène olympique. Trop ? Un chef d’État hôte des Jeux à certains devoirs.

Surement celui de se taire car on l’a déjà  trop entendu ou vu !?

Par François-Guillaume Lorrain

L'abstinence, dissolution oblige, aura duré quelques semaines. Pendant le tour de France, on s'était inquiété. Pas la moindre trace du président pourtant prévu sur l'étape du 13 juillet. Il avait été question de l'arrivée à Isola 2000 le 19 juillet. « Plus de son, plus d'images », nous avait répondu le patron du Tour, Christian Prudhomme.

C'est ainsi qu'Emmanuel Macron avait rompu le protocole républicain qui veut que, depuis Nicolas Sarkozy, le chef de l'État, chaque année, agite la main depuis la fenêtre de la voiture numéro 1 du directeur de la Grande Boucle.

Bien conseillé sur le parcours à suivre

C'était pour mieux se réserver pour les Jeux. Condamné à la concision pour une cérémonie d'ouverture, le président Macron a rentabilisé son samedi 27 juillet en se démultipliant sur les sites olympiques.

Après avoir salué une cérémonie qui aurait permis le rayonnement de la France, mais qui a non seulement divisé mais aussi déplu au CIO, après avoir exprimé la gratitude de la nation aux forces de l'ordre, on l'a vu étreindre, en tribunes, Antoine Dupont à la suite de la victoire de l'équipe de rugby à 7 au Stade de France.
 Antoine Dupont : « Ce sont des émotions qui sont tellement fortes qu'elles sont dures à décrire »

Il était à l'Arena Champ-de-Mars au judo, samedi après-midi, où il a pu féliciter la première médaillée de la France, Shirine Boukli, avant de filer au Grand Palais pour la finale de l'épée féminine d'Auriane Mallo-Breton. Reconnaissons qu'il fut bien conseillé sur le parcours à suivre, pour surgir là où des médailles étaient glanées par la France. Bien sûr, on l'avait aiguillé sur des finales ou des demi-finales.

Engranger le maximum de visibilité

Dimanche, alors qu'il avait quitté l'Élysée pour le fort de Brégançon, il a été aussi le premier à appeler Léon Marchand après son succès stratosphérique sur le 400 mètres 4 nages. Un coup de fil filmé, auquel a patiemment assisté le Premier ministre, Gabriel Attal, présent lui physiquement aux côtés du nageur français qui promet d'être l'homme de ces Jeux.

Léon Marchand, portrait d'un surdoué de la natation française

Si Emmanuel Macron a ainsi sprinté, c'était pour engranger le maximum de visibilité avant ses vacances, après une longue séquence olympique qui avait débuté jeudi. Sur le principe, il rompt, nous rappelle Éric Monnin, spécialiste de l'histoire de l'olympisme, avec le devoir de réserve auquel est tenu le chef d'État hôte des Jeux.

« Rien n'est spécifiquement écrit dans la charte, mais s'il veut féliciter les athlètes de son pays, il doit le faire de manière confidentielle, hors des enceintes, hors du champ des caméras, afin qu'il n'y ait pas de caractère discriminant envers les athlètes des autres pays qu'il ne salue pas. Sinon, il est passible d'être taxé de politisation là où il faut donner dans une forme d'apolitisme. »

Obligation de neutralité

C'est du reste l'argument que Baillet-Latour, président du CIO en 1936, avait avancé auprès d'Adolf Hitler après le premier jour des compétitions des Jeux de Berlin, afin qu'il cesse de féliciter les vainqueurs allemands. Argument auquel le chef d'État du Reich s'était rangé, ce qui explique qu'il ne soit pas allé, ensuite, serrer la main de Jesse Owens.

 Comment les Jeux « nazis » de 1936 ont pu voir le jour Savoir se mettre en réserve des Jeux olympiques est une coutume que certains chefs d'État – Juan Carlos en 1992, Xi Jinping en 2008, Poutine en 2014 – n'ont pas toujours pratiquée.

Cette obligation de neutralité ne semble pas avoir été non plus complètement assimilée par un président plus habitué à descendre sur les pelouses de football pour embrasser ou consoler les champions français. Ses vacances à Brégançon le dissuaderont de poursuivre dans cette voie. Mais il n'est pas exclu, en cas de triomphe de l'un de nos athlètes, qu'il sorte de nouveau de sa réserve.

De toute façon ce Mr MACRON ce président élu et réélu par défaut par des Français qui se sont trompés et qui ont récidivé hélas ne manque à personne ainsi que ce bavardages ou discours alambiqués dont il ne sort jamais rien concret et qui lui se sert pour se faire mousser car il a su se faire détester par une majorité de Français lambda « ces gens de peu » qu’il dédaigne en les insultant car n’étant pas de son monde ?!

Car le défaut de cette Vème république vieillissante dite gaullienne c’est de donner trop de pouvoir a un seul homme qui se prend pour un monarque ou dans un ersatz de démocrature que l’on connait dans d’autres grands pays ce qu’il doit regretter bien que pourtant ayant déjà beaucoup trop de pouvoir !?

Ce n’est qu’un mauvais théâtreux triste médiocre et fat enseigné pas son épouse son ex professeure qu’il a épousé ce qui sur le fond est quand même bizarre qu’un psychiatre pourrait peut-être décoder mais qui a en plus réussi malgré sa procrastination pathologique à très mal gouverné en semant un souk innommable et le désordre sous sa présidence à cause des Français lambda qui avalent tout ou n’y comprennent rien tout en râlant comme d’habitude ce qui est parfaitement inutile car lui en profite c’est cela la réalité bien aidé aussi par les médias divers jusqu’n 2027 !?

Merci à MR MACRON qui pour l’instant à réussi à survivre grâce à la bêtise de TROP nombreux Français qui doivent le mériter tant pis pour notre pauvre France et bonnes vacances à BREGRANCON dans sa piscine de poche !?

Jdeclef 29/07/2024 17h56

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