Wauquiez, Larcher,
Pécresse… Ils disent tous non à une coalition avec Macron ! Oui mais c’est
du pipeau car ils tiennes à leur places et comme les FRANÇAIS ne savent plus
choisir ou voter ils roulent sur l’or car la ils se battent pour eux et leurs
avantages et privilèges héritage de l’ancien régime qui lui date de 2000 ans malgré
nos républiques éphémères mais comme les Français ne s’intéressent pas assez à
l’histoire de leur pays la France et que l’état et son Education Nationale leur
enseigne si mal ainsi qu’a à nos jeunes d’ailleurs !?
Malgré des
rumeurs persistantes, les ténors LR n’entendent pas entrer en négociation avec
le camp présidentiel. Leur ligne : l’opposition, mais constructive.
Publié le
10/07/2024 à 20h18, mis à jour le 11/07/2024 à 08h06
Comme un petit vent de panique ? Les plus folles rumeurs
ont pullulé une partie de la journée, ce mercredi 10 juillet, sur les véritables intentions des
Républicains, suspectés de vouloir fonder, malgré leurs dénégations
publiques répétées, une coalition avec le camp présidentiel. Le nom de Gérard Larcher circulait
même avec insistance pour piloter un gouvernement provisoire…
Et de suggérer au chef de l'État de « prendre un peu de temps en
laissant passer les Jeux olympiques, car tout le monde est en train de
s'énerver ». On ne saurait être plus clair. « Les chiffres sont
têtus, c'est une jolie chimère. Je ne vois pas comment cette alliance des
macronistes et de la droite pourrait surmonter la majorité de blocage »
que constituent le Rassemblement national et la gauche à l'Assemblée, écarte de
même Valérie Pécresse.
« Tu es en train de fabriquer ton écurie présidentielle »
Cette ligne d'« indépendance » stratégique a été confirmée par
Laurent Wauquiez, élu ce mercredi à la tête d'un groupe rebaptisé La Droite
républicaine à l'Assemblée, par 37 voix
sur 43 participants, selon son entourage, sans candidat contre lui.
« Nous ne participerons pas à des coalitions gouvernementales » ou à
des « combinaisons d'appareil », a répété le nouveau patron de la
droite au Palais-Bourbon, rejetant des « fantasmes ».
« Personne ne doit entrer au gouvernement », avait-il intimé aux
siens un peu plus tôt en petit comité. Sa ligne : engager un travail de
fond et tout rebâtir pour offrir une alternative au RN et à la gauche
à la prochaine présidentielle. « Nous sommes convaincus qu'il y a une
reconstruction possible, une attente », a achevé l'ancien ministre,
entouré sur les marches du Palais-Bourbon des élus de son groupe, où
manquaient plusieurs ténors, dont son prédécesseur Olivier Marleix, qui
plaidait ce mercredi dans Le Figaro pour un Premier ministre issu de
LR, Aurélien Pradié ou encore Philippe Juvin, partisan d'une coalition avec
Ensemble.À LIRE AUSSI Tous les espoirs sont
permis pour Les Républicains
Avec 37 voix sur une soixantaine de députés de droite élus ou
réélus, Laurent Wauquiez sait qu'il n'a pas fait le plein, même s'il compte
encore sur quelques hésitants pour le rallier. Car le retour de l'ancien patron
de LR n'allait, pour beaucoup, pas de soi. Ce mercredi matin, une réunion à
huis clos du nouveau groupe a donné lieu à une sortie musclée d'Aurélien Pradié, accusant son
aîné d'utiliser le parti pour servir ses intérêts.
« Tu es en train de fabriquer ton écurie présidentielle, mais moi, je
ne l'ai pas choisie. Je dois aussi préparer la mienne. Quand c'est moi, on
parle d'ambition individuelle ; quand c'est toi, d'ambition
collective », a piqué le ténébreux député du Lot, se faisant l'écho de ce
que pensent nombre de ses collègues.
« Tu es dans un raisonnement de ne pas entrer au gouvernement parce que
ça te condamnerait pour 2027, pas parce que c'est mauvais pour le pays », a-t-il
poursuivi dans une longue salve. Si bien qu'une dizaine d'élus LR
pourraient s'émanciper pour fonder leur propre groupe, ou rallier Édouard
Philippe, dont certains appartenant aux Républicains dits
« constructifs », qui avaient plaidé pour une bienveillance envers
l'exécutif lors du débat sur l'immigration. « On préfère être petits mais
cohérents », balaie un proche de Wauquiez.
Ciotti sur le départ ?
De même, des débats se sont fait jour à droite sur le risque d'être accusés
de laisser le pays entre les mains du Nouveau Front populaire, et
singulièrement des Insoumis, en s'enfermant dans une posture de superbe
isolement. « Wauquiez nous dit : “On verra plus tard, on laisse tout
se casser la gueule.” Les LR vont une fois de plus contribuer à tout faire
s'écrouler ! » fulminait un haut responsable macroniste.
Ce mardi, lors d'une première réunion avec les seuls députés LR sortants,
plusieurs s'en étaient inquiétés. « Il faut qu'on trouve un moyen de ne
pas laisser le pays sombrer dans l'immobilisme », exhortait l'un,
redoutant que le RN ne l'emporte, sinon, à la prochaine présidentielle.
Éric Ciotti, la
revanche du « Petit Chose » Message visiblement entendu
par Laurent Wauquiez, qui leur a promis que la droite ne s'enfermerait pas dans
l'« opposition stérile ». Un « pacte législatif » – mal
nommé – portant sur des « mesures d'urgence » sera donc proposé par
le groupe La Droite républicaine sur la question du travail ou de
l'assistanat, s'est-il engagé, pour « ne pas laisser nos institutions dans
une situation de blocage ».
« C'est de la faute du président si on risque d'avoir un gouvernement
avec LFI. Notre responsabilité à nous, ce n'est pas de couler avec Macron,
c'est d'offrir une alternative », défend un wauquieziste, satisfait du
retour de l'ancien ministre dans l'hémicycle : « Il a eu le courage
d'aller à la bataille au pire moment. On va avoir une ligne claire. »
Reste maintenant pour la droite à régler
la question de la direction du parti, toujours officiellement présidé par Éric
Ciotti, conforté par trois décisions judiciaires. Très attaché à son poste de
questeur du Palais-Bourbon, avec un prestigieux appartement afférent, le nouvel allié de Marine Le Pen
a fait discrètement passer le message qu'il pourrait « ne pas
[s]'accrocher ». Chacun aura compris. Rendez-vous le
18 juillet pour la répartition des top jobs de l'Assemblée…
Oui et bien alors ils n’ont
rien à proposer de nouveau ces politiciens de tous bords si divisés dans cette Veme
république de 1958 (quand même usée) dite « Gaullienne » dont il serait
temps de tourner la page et de faire du faire neuf d’ailleurs je le répète ce grand
homme même en taille ce président de GAULLE par son histoire et la nôtre de cette
2eme guerre mondiale jusqu’ à sa libération qui a marqué notre histoire et créé
notre république actuelle de 1958 avait dit justement que les Français était « des
veaux » mais les Français se sont chargés de le rejeter en 1969 !?
Mais là avec ces élections législatives
ratées puisque n’ayant pas donnés de vraies majorités à notre ASSEMBLEE NATIONALE
pour gouverner correctement on est arrivé au fond d’un trou sans fond qui n’était
déjà pas loin avant avec cette « macronie fantôme » et surtout avec ce
président nul fat qu’on a élu en 2017
par défaut et réélu en 2022 et maintenant qui n’a rien trouver de mieux que dissoudre ce parlement chaotique ou se défoulait
en majorité ses fauteurs de trouble LFI Mélenchoniste après cette
transformation FRONT POPULAIRE sans imagination NUPES et autres pour le reste PC/PS
écolo NPA sans oublier le RN LEPENISTE qui a raté le coche et la droite LR
moribonde de Ciotti and C° !?
Mais n’oublions pas toute de
même que çà a abouti à ces 3 blocs opposés rendant le pays difficilement
gouvernable à cause des français qui se sont laissés manœuvrés comme des idiots
par ces partis politiques ringards et leurs dealers lamentables et surtout par
ce président médiocre et sa dissolution inutile qui s’est même fendu d’une lettre
pour les citoyens lambda leur demandant de s’entendre alors qu’il les a séparés
car c’est de sa faute !?
Donc on peut supposer peut-être
un entracte pendant le J.O. mais après il faudra bien faire le ménage dans
cette gabegie irresponsable présidentielle rapidement quitte à vraiment tourner
la page du « macronisme et de ce président » un des plus nuls de cette
Veme république ?!
Jedclef 11/07/2024 15h43
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