NOUS AUSSI !
JFK, Eisenhower, Reagan…
Ces présidents américains à l’état de santé fragile surtout quand on leur tirent
dessus !?
IL NE FAUT
PAS DEMANDER A NOS MEDIAS OU JOURNALISTES DE TOUS BORDS POLITIQUE DE COMPRENDRE
CELA DANS UN PAYS COMME LE NOTRE QUI ENSEIGNE SI MAL DANS SES ECOLES NOTRE
HISTOIRE DE FRANCE MAIS ORIENTEE HELAS PAR LE POUVOIR EN PLACE ?!
Le président
des États-Unis Joe Biden a officialisé son retrait de la course à la
Maison-Blanche le 21 juillet. Si son état de santé a souvent été pointé du
doigt, plusieurs de ses prédécesseurs ont effectué leurs mandats avec
une santé en demi-teinte.
Naturellement
ils veulent être les gendarmes du monde mais n’hésitent pas à éliminer leurs présidents
violemment c’est dans leurs gènes et leurs élections totalement différentes des
nôtres donc que nos mauvais journalistes se contentent de faire des
commentaires intelligents (surtout en ce moment où ça va si mal chez nous) car
ce n’est que de l’histoire du monde et même de la France qu’on enseigne si mal
car orientée !?
Publié le
22/07/2024 à 11h50, mis à jour le 22/07/2024 à 12h09
En adressant, dimanche soir, à ses « chers
compatriotes », avec une certaine allure, une lettre dans laquelle il renonce à briguer à nouveau la
présidence des États-Unis, Joe Biden a probablement soulagé des millions
d'Américains. Sans doute pas ceux qui, fervents de Trump, voyaient au terme de son
affrontement avec leur champion une victoire facile pour celui-ci. Mais tous
ceux qui pouvaient redouter que leur président, manifestement diminué par
l'âge, fasse le combat de trop. Et pour le cas, pas complètement improbable, où
il aurait été à nouveau élu, qu'il rejoigne la cohorte des présidents
américains dont les décisions ou l'absence, parfois désastreuses, ont été la
conséquence d'un état de santé déficient.
18 présidents atteints de troubles physiques
Contrairement à Biden, par exemple, le président Eisenhower est allé
jusqu'au bout de son refus obstiné de renoncer à se présenter pour un nouveau
bail à la Maison-Blanche. Certes, ce n'était pas en raison de son âge,
puisqu'il n'avait que 66 ans en 1956. Mais, si la question s'est posée de
savoir si le prestigieux organisateur du Débarquement pouvait solliciter le
renouvellement de son mandat, c'est parce qu'il avait été frappé d'une crise
cardiaque l'année précédente.
Son entourage, en particulier sa femme, « Mamie », ont tout fait
pour le dissuader de se représenter. Et ils avaient des raisons d'être
inquiets. À peine un an après avoir été réélu, en novembre 1957, il a
fait un AVC. Ce qui ne l'a pas empêché d'aller jusqu'au bout de son mandat.
L'opiniâtreté d'Eisenhower n'a pourtant pas eu, selon les historiens, de
conséquences politiques trop importantes. Surtout si on compare cet épisode à
d'autres plus dramatiques dans la longue litanie des présidents américains victimes
de problèmes de santé. Puisque, selon une étude de psychiatres de
l'université Duke en 2006, sur les 37 premiers locataires de la
Maison-Blanche, 18 étaient atteints de troubles physiques,
psychologiques ou comportementaux.
États-Unis :
Joe Biden reste « apte » à être président, assure son médecin
La santé fragile de JFK
Après l'épisode d'un Eisenhower fatigué, sinon diminué, l'Amérique va, en
1960, s'enthousiasmer pour le jeune président qu'elle s'est choisi. Un beau
gosse bronzé, sportif, qui, lors du débat décisif de la présidentielle, a
écrasé son concurrent Richard Nixon, pâle et transpirant quand lui paraissait
si solide et sûr de lui.
Et pourtant, John Fitzgerald Kennedy aura
peut-être été l'un des présidents dont l'état de santé était le plus précaire.
Celui aussi celui qui aura le mieux dissimulé ses maux, tant il paraissait
alerte et sûr de lui. Souffrant depuis son enfance d'une ostéoporose qui
se traduisait par d'atroces douleurs au dos et l'obligeait à porter en
permanence un corset dorsal, il était également atteint d'une maladie
endocrinienne rare, la maladie d'Addison. Pour tenir le choc, il se bourrait de
corticoïdes, d'antidépresseurs, d'hormones thyroïdiennes et même
d'amphétamines.
Le mandat de JFK, tragiquement interrompu à Dallas, aura été trop court pour
que les historiens se posent la question de savoir si les maux dont il
souffrait avaient eu un impact sur sa politique. En revanche, ils ne s'en sont
privés ni pour Franklin Roosevelt ni pour Woodrow Wilson.
Lorsque Wilson s'installe à la Maison-Blanche, en 1913, il a déjà surmonté
plusieurs accidents cardiaques. Assez graves pour que sa vision de l'œil gauche
soit nettement diminuée. Un éminent neurologue prédit même qu'il ne terminera
pas son mandat. Il déjoue la prédiction et, après sa réélection et la victoire
des Alliés en 1918, participe aux négociations de Paris qui aboutiront au
traité de Versailles. Mais, déjà moins vaillant en raison de son insuffisance
cardiaque, il fait un AVC après avoir attrapé la grippe espagnole. Alité un
jour sur deux, il est tellement l'ombre de lui-même qu'il est incapable
d'imposer à ses Alliés français et britanniques de ne pas humilier l'Allemagne
vaincue. Une humiliation dont on dit qu'elle a largement contribué à l'apparition
du IIIe Reich.
C'est à la fin de l'autre guerre mondiale, la seconde, que le président
Franklin Roosevelt sera, lui aussi, soupçonné par les historiens de n'avoir pas
eu la force nécessaire, en raison des maux dont il souffrait, de s'opposer aux
visions hégémoniques de Staline sur l'Europe de l'Est. La poliomyélite dont il
était atteint depuis 1923 – à moins qu'il ne se soit agi du syndrome
de Guillain-Barré – n'avait pas empêché les électeurs américains de choisir
comme président en 1933 un homme paralysé des deux jambes et qui ne se
déplaçait qu'en fauteuil roulant. Mais il le cachait… grâce à la complicité des
journaux. C'était évidemment avant la médiatisation débridée et l'invention des
réseaux sociaux !
Retrait
de Joe Biden de la présidentielle : quelle est la suite pour les
démocrates ?
Vers un examen médical imposé ?
À la conférence de Yalta, en février 1945, Roosevelt souffre également
d'une hypertension artérielle sévère se traduisant par « une
insuffisance cardiaque congestive ». « C'était un homme assis, la
bouche ouverte, incapable de participer aux discussions », dira lord
Moran, le médecin de Churchill. Aussi, lorsqu'il s'est agi de limiter la
progression de l'Armée rouge en Europe, il n'a guère aidé le Premier ministre
britannique à contenir les ambitions de Staline.
Avoir cédé aux Soviétiques par faiblesse ne sera pas le reproche que l'on
fera à Ronald Reagan, l'homme de la « guerre des étoiles », celui qui
a sans doute le plus contribué à la fin de l'URSS. Et pourtant, son fils
révélera après sa mort qu'à la fin de son mandat, en 1989, année de
la chute du mur de Berlin, lui aussi était diminué par la maladie d'Alzheimer, qui
allait l'emporter en 2004.
En dépit de leurs protestations de transparence absolue, l'histoire montre
donc que pratiquement aucun des 46 présidents des États-Unis n'a dit
la vérité sur son état de santé. Quant aux candidats à la présidence, en 2008,
l'AMA, l'Association médicale américaine, a proposé qu'ils subissent l'examen
d'une commission médicale indépendante. « En suivant l'exemple des pilotes
de ligne ». Que croyez-vous qu'il arriva ? La proposition est restée
lettre morte. Ce ne serait peut-être pas une mauvaise idée de la mettre en
œuvre pour l'élection présidentielle de 2028.
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Les USA 1ere puissance du monde issue de de l’immigration
anglaise et européenne par leur indépendance en 1796 aidée par la France de
Louis XVI et le noble LAFAYETTE est un pays encore jeune de (228 ans) a comparer
avec notre histoire de France de + 2000 ans remontant à nos croisades ou à Charlemagne
et son saint empire romain germanique pour l’Europe occidentale car n’ayant pas
d’histoire très ancienne car commençant en fait pour faire simple à la conquête
de l’ouest et la lutte contre les peuples autochtone qu’ils ont nommé indiens
ou peau rouge et surtout par leur guerre
de sécession de 1865 entre ces états US du SUD et du NORD sur fond d’esclavagisme
des populations africaines noires et ségrégation avérée jusqu’en dans les
années 1960 que ceux de ma génération ont bien connu se souviennent de ce qu’on
voyait aux JTs sur nos chaines télé en noir et blanc !?
Ils ont un grand avantage car c’est
un grand pays qui a assimilé très vite la révolution industrielle du XVIII/XIX eme
siècle mondiale et par son grand nombre d’habitants 333 millions et ses 50 états
car Les Etats-Unis sont au
quatrième rang mondial de la plus grande superficie avec 9,6 millions de km².
(Sans compter le voisin
canadien de culture franco américaine presque sur la même ligne politique il
suffit de voir lors delà francophonie fête historique la police et ces motards
qui n’ont rien diffèrent de ceux US comme les autobus jaunes scolaires !?)
En plus dans leur culture de
liberté à l’américaine permissive encadrée diversement selon leurs états par exemple
le port et la possession d’armes à feu dans certains de ces états surtout du
SUD car chaque américain à le droit de se défendre et riposter !?
il ne faudrait pas oublier car
ce sont nos cousins d’Amérique du nord d’outre atlantique qu’on a bien été
content d’avoir pour nous aider lors de nos dernières guerres mondiales surtout
la 2 eme contre le nazisme alors bien sur il ont fait la bombe atomique pour stopper
leur guerre contre le JAPON mais maintenant tout le monde-là depuis !?
Jdeclef 23/07/2024 11h13
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