vendredi 19 juillet 2024

Question : Plutôt réponse à cet article (médiocre) du POINT hebdo inféodé » au pouvoir en place : ni l’u ni l’autre ou d’autres de ces politiciens de tous bords mais surtout quand même à ce Président frais moulu sorti de nulle part qui a su profiter de la faiblesse des Français surement encore trop gâtés ou peureux pour certains ayant peur du lendemain pourtant ce n’est pas ce personnage qui les protègera efficacement avec sa « macronie moribonde » tirée au sort en 2017 et réélu en 2022 !?

 

Emmanuel Macron-Laurent Wauquiez, qui sera le jouet de l’autre ? MAIS PERSONNE ILS SONT TOUS A METTRE DANS LE MEME SAC DE VIPERES ?!

ANALYSE. En négociant avec la macronie sur des postes à l’Assemblée et des mesures, la droite court le risque de se faire aspirer. Mais peut aussi dicter sa loi.

Par Nathalie Schuck et Mathilde Siraud

Publié le 19/07/2024 à 09h23, mis à jour le 19/07/2024 à 10h57

DE TOUTE FACON LES FRANCAIS NE SONT PLUS CAPABLES DE REFLECHIR ET DE COMPRENDRE CE QUI FAIT LE BONHEUR DE CES POLITICIENS DE TOUS BORDS SANS OUBLIER LES MEDIAS QUI FONT LE MALHEUR DE LA FRANCE EN JETANT DE L’HUILE SUR LE FEU ?!

 Connaissez-vous leucochloridium paradoxum ? Une peu recommandable bestiole qui court les jardins, un petit ver hautement toxique, dont la spécialité est de s'infiltrer dans le corps de sa proie, de préférence un escargot inoffensif, pour prendre le contrôle de son cerveau, au point d'en faire un gastéropode zombie et le jouet de ses ambitions, jusqu'à le pousser au suicide…

Yaël Braun-Pivet, l'insoumise de la macronie, réélue présidente de l'Assemblée nationale

« Je dois un déjeuner à Marc Fesneau et à Laurent Wauquiez ! » Ainsi des élus ont-ils entendu Yaël Braun-Pivet claironner dans la cour d'honneur de l'Assemblée, sitôt après son improbable réélection au « perchoir » par 220 voix contre 207 pour le candidat du Nouveau Front populaire, André Chassaigne, au troisième tour d'un scrutin précédé de tractations de coulisses entre la droite et la macronie. L'objet du deal : faire d'une pierre trois coups en empêchant, d'abord, une gauche lestée de LFI de s'emparer de la présidence de cette haute institution ; puis favoriser la reconduction de Yaël Braun-Pivet grâce au retrait au second tour de Philippe Juvin, candidat de la Droite républicaine – nouveau nom des députés LR – et au vote unanime en faveur de la sortante des députés DR.

Le tout contre l'engagement de laisser la droite s'emparer de postes clés au Palais-Bourbon (une à deux vice-présidence, la commission des Finances dévolue à l'opposition, un secrétaire au bureau de l'Assemblée et le poste envié de rapporteur général du budget de la Sécurité sociale). Byzance, en somme, pour un groupe de droite passé le 8 juillet de 61 députés à 45.

Les conseils de Sarkozy

Las, le risque est grand de passer aux yeux de l'opinion pour des supplétifs de la macronie, pour prix de quelques plats de lentilles. Lucide sur cet écueil, qui a manqué d'envoyer son ancien allié Éric Ciotti dans le fossé à force de périlleuses valses avec Élisabeth Borne puis Gabriel Attal, Laurent Wauquiez a fait partir dans la soirée un message ferme dans la boucle des élus DR : « Laurent vous demande de communiquer pour bien relayer le fait que si le groupe n'avait pas pris ses responsabilités, nous aurions ce soir un communiste à la tête de l'Assemblée nationale. » Les électeurs de droite leur sauront, il est vrai, sans doute gré d'avoir empêché que le NFP s'empare de ce siège stratégique. Mais à quel prix, et pour quel résultat ? Que feraient Wauquiez et les siens s'il prenait à Emmanuel Macron l'idée, au vu du scrutin au « perchoir », de les appeler à Matignon, alors qu'ils ont fermement exclu pour l'heure toute participation à un gouvernement, pour ne pas compromettre les chances de leur champion pour 2027 ?

Emmanuel Macron est toxique, il a piégé Laurent Wauquiez ! Et s’il veut le ficeler, il n’a plus qu’à l’appeler à MatignonUn stratège proche du PS

Certes, la droite pourrait toujours refuser en objectant qu'avec 220 voix, on ne va pas loin et qu'une telle équipe tomberait sur la première motion de censure venue. Mais les lieutenants du chef de l'État auraient beau jeu d'accuser DR de se laver les mains des difficultés du pays, après avoir topé pour des fauteuils moins prestigieux. « On se met d'accord pour des postes à l'Assemblée, mais on n'est pas prêts à le faire pour la France ? Je suis dégoûté ! » s'étrangle un député de droite, inquiet : « Le piège macroniste va se refermer sur nous. »

Sitôt après ce vote crucial pour le « perchoir », les adversaires de la droite comme de son nouveau chef s'en donnaient à cœur joie pour dénoncer, tel François Ruffin, à l'unisson du reste de la gauche, des « magouilles » entre DR et la macronie. Ou tel Éric Ciotti, piquant, moquant une droite devenue « la bouée de sauvetage d'un pouvoir à la dérive ».

 J'ai entendu des députés RN dire : “Les DR sont devenus macronistes” ! » se désole un élu de droite, écartelé toute la journée entre deux mauvais choix, la peste ou le choléra : se mettre d'accord avec la macronie ou laisser passer le NFP. « En même temps, nos électeurs étaient horrifiés de se dire qu'André Chassaigne pouvait devenir président de l'Assemblée… » « Emmanuel Macron est toxique, il a piégé Laurent Wauquiez ! Et s'il veut le ficeler, il n'a plus qu'à l'appeler à Matignon », grince un stratège proche du PS en méditant sur le septennat écoulé : « Il ne faut pas passer de deal avec Macron. Tout ce qu'il touche, il l'avale. Il est entre la plante vénéneuse et le boa constrictor. Wauquiez est tombé dans les rets d'une araignée venimeuse. Il ne peut plus dire qu'il ne veut pas de coalition avec lui. Il vient de faire quoi à l'Assemblée ? Nous, on est à l'aise, ils ont ressoudé le NFP. »

La « master class » d'Ursula von der Leyen pour composer une majorité

Macron, Wauquiez, qui dévorera l'autre ? Entre ces deux animaux politiques, l'affaire est loin d'être terminée. Dès l'annonce de la dissolution, l'ancien ministre de Nicolas Sarkozy a compris qu'il fallait renoncer à sa stratégie du surplomb, au-dessus de la mêlée comme président de région, et replonger sans plus tarder dans ce qui allait de toute évidence redevenir le cœur battant de la vie politique : l'Assemblée. De quoi clouer le bec à ceux qui, dans son camp, le jugeaient velléitaire. De même Wauquiez a-t-il aussitôt intégré qu'il lui fallait récupérer les commandes du groupe des députés ex-LR en posant dès le départ une règle claire : pas de participation à un gouvernement. « Il n'y aura pas de ministres », a-t-il prévenu dès la première réunion de son nouveau groupe.

Mais il lui a aussi fallu entendre les revendications de ses élus, dont les 17 à 18 députés de droite « constructifs », ouverts à l'idée d'une coalition, qui ont fait valoir que la droite ne pouvait pas donner le sentiment de se désintéresser du pays. Les mêmes, qui avaient envisagé de monter leur propre groupe – un « puputsch », moque un « wauquieziste » –, ont été rattrapés sur le fil, plusieurs recevant un appel de leur nouveau patron pour leur enjoindre de rester, contre promesse d'être écoutés. Ainsi serait né le « pacte législatif » en cours d'élaboration à droite, qui prévoit une dizaine de textes de loi pour mettre le marché dans la main d'un futur gouvernement, sur le thème : si vous les reprenez, nous les voterons et ne déposerons pas de motion de censure. Sinon… Ce texte, discuté par les députés DR ce lundi et ce mercredi, et par les sénateurs LR ce jeudi, devrait être présenté publiquement lundi, possiblement lors d'une conférence de presse commune de Wauquiez et son homologue du Sénat Bruno Retailleau.

 Les Jeux olympiques de la stupidité budgétaire

Une habile stratégie, sur le papier, car faute de majorité à l'Assemblée, le futur gouvernement va se retrouver coincé de tous les côtés. Et pourrait s'estimer bienheureux d'avoir du grain à moudre en puisant dans les propositions de la droite. De sources concordantes, Nicolas Sarkozy aurait encouragé Wauquiez en ce sens, en mode : « Si tu veux être un homme d'État, tu as intérêt à te montrer aidant et à éviter que le NFP se retrouve au gouvernement. » « Sarkozy a dit à Wauquiez que c'était dans son intérêt d'aider », appuie un macroniste. L'ancien président avait tenu le même discours à Ciotti lorsqu'il avait pris les commandes des Républicains.

« Laisser reposer la pâte à crêpes »

Côté macroniste, Gabriel Attal, patron du groupe EPR (Ensemble pour la République, ex-Renaissance), travaille aussi à un « pacte d'action » égrenant de grands principes, suffisamment élastiques pour être compatibles avec une coalition de gauche, comme de droite. Le Premier ministre démissionnaire, chargé des affaires courantes, compte engager des discussions avec les autres chefs de groupe. Wauquiez fait volontiers savoir qu'il échange avec lui, comme avec ses homologues du MoDem Marc Fesneau et d'Horizons Laurent Marcangeli pour chercher des points de passage sur des textes de loi, sous conditions. Entre le nouveau patron de la droite et le nouveau leader des députés macronistes, les échanges seraient d'autant plus fluides que leur ennemi commun s'appelle le NFP, et singulièrement Jean-Luc Mélenchon.

Côté Wauquiez, avec le « pacte législatif », l'objectif est limpide. Il s'agit de tordre le bras du président et d'un futur gouvernement en leur dictant ses réformes. Sur le budget pour 2025, en particulier, DR veut mettre sa patte en matière de maîtrise des dépenses publiques, alors que la France est censée avaler l'amère pilule d'un plan d'économies de plus de 20 milliards d'euros pour redresser ses comptes. Moyennant quoi, la droite pourrait s'abstenir et ne pas souscrire à une motion de censure. Manière pour DR, à moyen terme, d'imposer à la macronie une victoire idéologique, une OPA programmatique, sans mettre les mains dans le cambouis d'un gouvernement de coalition qui pourrait faire les affaires de Marine Le Pen. Manière aussi de signifier que la droite est prête, quoi qu'il advienne, à diriger le pays. Reste qu'il s'agit d'une ligne de crête, comme l'a montré la journée rocambolesque de jeudi. « On risque de se faire aspirer malgré nous par la macronie », redoute un député DR, pourtant rétif à tout accord.

« Le risque insurrectionnel est aujourd'hui majeur en France »

Côté macroniste, de fait, on souffle le chaud et le froid. « L'idée d'adopter des textes de manière commune, c'est une bonne chose. On aura le moins de lignes rouges possibles », apaise une importante figure du groupe présidentiel, dans une main tendue. Décryptage, un rien plus musclé, d'un autre fidèle du président : « Si Wauquiez se retrouve responsable de l'arrivée du NFP au pouvoir, bon courage ! Il doit donner à manger à ses élus, car beaucoup rêvent d'être ministres. Le président veut dessiner une coalition à la rentrée, il veut prendre le temps. Tout le monde va laisser reposer un peu la pâte à crêpes. À la fin, ça peut être un gouvernement technique avec une durée de vie limitée et des débauchages individuels. » Dans les couloirs de l'Assemblée, un stratège macroniste livrait le fond de sa pensée ce jeudi, à l'issue de la première journée épique de la XVIIe législature : « Tout ça, ça nous convient très bien. On va pouvoir montrer qu'on a su racheter LR. »

Ce n’est pas plutôt à ces politiciens de tous bords de cette classe politique sclérosée que l’on revoit toujours les mêmes parce qu’en plus on les élis et réélis depuis + de 40 ans depuis l’après mitterrandisme raté dont on n’a pas tiré les leçons comme d’habitude en reprenant les mêmes politiciens sans idées novatrices qui ne pensent qu’à eux et surtout à leurs privilèges et avantages si lucratifs sur le dos du peuple Français d’une naïveté ou bêtise remarquable et qui  n’a rien trouvé de mieux que d’élire et réélire ce Mr macron orgueilleux comme un paon qui fait la roue pire que ceux d’avant qui n’étaient déjà pas des foudres de guerre mais pas dangereux alors que lui n’a rien trouvé de mieux de semer un souk pas possible avec sa dissolution inutile car inéligible jusqu’en 2027 se protégeant indirectement puisque ne pouvant être modifiee cela avant 1 an avec un gouvernement provisoire ou on reprend les mêmes comme par exemple Yaël Braun-Pivet, l'insoumise de la macronie, réélue présidente de l'Assemblée nationale après avoir aussi menacer le pays de guerre civile ou maintenant « Le risque insurrectionnel qui est aujourd'hui majeur en France » avec l’alibi  des Jeux olympiques de la stupidité budgétaire de toute façon avec notre pays surendetté avec sa dette pharaonique de + 3100 milliards d’euros irremboursables on n’est plus à çà prêt ?!

Alors « oui le torchon brule » dans cette Veme république usée obsolète de 66 ans mais qui l’éteindra avec notre honte pour La France et ses ressortissants qui n’ont plus d’amour propre comme Mr MACRON qui les dédaigne et qui quelque fois les insulte en plus (parce que lui il peut tout faire celui qui a mis notre pays « cul par-dessus tètes » selon son expression inélégante !?)

Jdeclef 19/07/2024 12h40

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