Pénalités de l'UMP : Sarkozy placé sous le statut de témoin assisté
L'ancien chef de l'État a échappé à ce stade à une mise en examen dans l'affaire des pénalités réglées par son parti après la présidentielle.
Le patron de l'UMP Nicolas Sarkozy a été placé mercredi sous le statut de témoin assisté, échappant à ce stade à une mise en examen, dans l'affaire des pénalités réglées par son parti après la présidentielle, a annoncé le procureur de Paris dans un communiqué. L'ancien chef de l'État, "à l'issue de son interrogatoire de première comparution, a été placé sous le statut de témoin assisté", précise le parquet. Ce statut est intermédiaire entre celui de témoin simple et de mis en examen. L'enquête est ouverte pour abus de confiance.Après son succès aux départementales, Nicolas Sarkozy est de nouveau embarrassé par les enquêtes sur sa dernière présidentielle. L'ancien président est ainsi arrivé mercredi peu après 8 heures dans une berline noire au pôle financier de Paris, où il devait être interrogé par les juges, a constaté l'AFP. Son audition avait déjà été plusieurs fois reportée. Peu après, son ancien directeur de campagne et actuel préfet de Lozère Guillaume Lambert, le député UMP Philippe Briand, qui en était le trésorier, et un avocat de l'UMP, Philippe Blanchetier, ont été placés en garde à vue à l'Office anticorruption de la police judiciaire (OCLCIFF), à Nanterre (Hauts-de-Seine).
Une grande souscription
L'enquête sur les pénalités, dans laquelle est entendu l'ex-président, porte sur le paiement par l'UMP, fin octobre 2013, des sanctions infligées à Nicolas Sarkozy pour le dépassement du plafond - 22,5 millions d'euros - de ses dépenses durant la campagne perdue en 2012. Le rejet des comptes avait privé l'UMP du remboursement de plus de dix millions de frais de campagne. Mais le Conseil constitutionnel avait aussi ordonné au candidat Sarkozy la restitution à l'État d'une avance forfaitaire de 153 000 euros et lui avait infligé une pénalité de 363 615 euros, correspondant au dépassement constaté. Or, le fait pour l'UMP d'avoir pris en charge ces frais peut constituer un abus de confiance, car les pénalités visaient le candidat lui-même et l'argent du parti aurait ainsi été détourné à son profit. À l'époque, pour se renflouer, l'UMP, très endetté, avait lancé une grande souscription auprès de ses militants, le "Sarkothon".
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Il passe encore entre les gouttes en
évitant une mise en examen, il est comme un savon qui glisse des mains quand on
prend une douche!
Bien que ce ne soit pas fini, il est
parti pour s'en sortir, il semble que le juge qui le fera tomber n'est pas né
?!
Il n'y a pas que lui, mais c'est
toujours les lampistes qui paient (déjà
trois acolytes) ont été mis en garde à vue dans l'affaire Bygmalion
Faut pas rêver ces types de
politiciens magouilleurs sont des malins quand ils sont à ce niveau de
responsabilité passée!
Il reste encore aussi les GUÉANT père
et fils dans l'affaire libyenne à suivre donc, pour cette clique de politiciens
douteux!
Et il y a de nombreux français qui
voudraient les remettre au pouvoir va comprendre?!
Mais attention "qui a bu boira un
jour "!
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