Monde
Syrie, climat, Otan…
Qu’ont dit Merkel, Hollande et Poutine à Donald Trump ?
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Le nouveau président américain s’est entretenu ce
samedi par téléphone avec les trois dirigeants étrangers…
Vers
un nouvel ordre mondial ? Depuis l’accession il y a une semaine de
Donald Trump à la Maison Blanche, le nouveau président des Etats-Unis bouscule
l’échiquier diplomatique avec ses
sorties pro-Brexit, ses
décrets anti-immigration ou encore ses sympathies pro-russes. Ce
samedi, après
une première semaine riche en décisions (et en polémiques), le
nouveau président américain s’est entretenu au téléphone avec
le président français François Hollande, la chancelière allemande Angela Merkel
et le président russe Vladimir Poutine. 20 Minutes fait le point sur leurs
principales déclarations.Les sept premiers jours de Trump, une rude semaine pour la démocratie
Hollande met en garde Trump contre « le repli sur soi »,
plaide pour « l’accueil des réfugiés »
François
Hollande avait commencé dès le début de l’après-midi son offensive anti-Trump,en
appelant, lors d’un « sommet des pays méditerranéens de l’UE » à
Lisbonne, l’Europe à faire bloc et à opposer une réponse « ferme » à
son homologue américain. Il en a remis une couche en fin de journée lors
d’un entretien téléphonique, à l’initiative de Donald
Trump : « le chef de l’Etat a mis en garde contre les
conséquences économiques et politiques d’une approche protectionniste »,
en soulignant que, « face à un monde instable et incertain, le repli sur
soi est une réponse sans issue », a indiqué l’Elysée dans un communiqué.
Il a aussi « rappelé sa conviction que le combat engagé pour la défense de nos démocraties » n’était « efficace » que « dans le respect des principes qui les fondent, en particulier l’accueil des réfugiés ». Une réponse directe au décret anti-réfugiés que vient de prendre le président américain ainsi qu’à ses positions protectionnistes. François Hollande a par ailleurs insisté sur « l’importance pour la planète de la mise en œuvre de la convention de Paris sur le réchauffement climatique », que son homologue veut remettre en cause.
Après les déclarations de Donald Trump sur l’Otan (qu’il avait qualifié d’obsolète dans une interview), François Hollande a tenu à « marquer (son) caractère indispensable ». Il a aussi « rappelé l’attachement de la France à l’action des Nations Unies, qui doit être soutenue par tous, à commencer par les membres permanents du Conseil de Sécurité », comme les Etats-Unis. « L’ONU reste un instrument unique et irremplaçable de la résolution des conflits et du maintien de la paix », a-t-il plaidé.
François Hollande et Donald Trump « sont convenus de poursuivre leurs échanges sur les sujets essentiels », a également indiqué l’Elysée.
Finie la polémique sur l’Otan « obsolète » et la politique migratoire « catastrophique » d’Angela Merkel ? « Le président et la chancelière sont d’accord (pour reconnaître) l’importance fondamentale de l’Otan dans le cadre d’une relation transatlantique plus large et de son rôle pour assurer la paix et la stabilité de notre communauté de l’Atlantique nord», a indiqué ce samedi le communiqué de la Maison Blanche, qui précise que Donald Trump se rendra en juillet au Sommet du G20 à Hambourg et qu’il recevra « bientôt la chancelière à Washington».
Un communiqué publié à Berlin en allemand reprend à peu près les mêmes termes.
Angela Merkel et Donald Trump ont ainsi souligné que l’Otan doit se moderniser pour être capable de faire face aux défis du 21e siècle et que « notre défense commune demande un investissement approprié dans les capacités militaires pour s’assurer que tous les Alliés contribuent de manière équitable à notre sécurité collective »
---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Il a aussi « rappelé sa conviction que le combat engagé pour la défense de nos démocraties » n’était « efficace » que « dans le respect des principes qui les fondent, en particulier l’accueil des réfugiés ». Une réponse directe au décret anti-réfugiés que vient de prendre le président américain ainsi qu’à ses positions protectionnistes. François Hollande a par ailleurs insisté sur « l’importance pour la planète de la mise en œuvre de la convention de Paris sur le réchauffement climatique », que son homologue veut remettre en cause.
Après les déclarations de Donald Trump sur l’Otan (qu’il avait qualifié d’obsolète dans une interview), François Hollande a tenu à « marquer (son) caractère indispensable ». Il a aussi « rappelé l’attachement de la France à l’action des Nations Unies, qui doit être soutenue par tous, à commencer par les membres permanents du Conseil de Sécurité », comme les Etats-Unis. « L’ONU reste un instrument unique et irremplaçable de la résolution des conflits et du maintien de la paix », a-t-il plaidé.
François Hollande et Donald Trump « sont convenus de poursuivre leurs échanges sur les sujets essentiels », a également indiqué l’Elysée.
Finie la polémique sur l’Otan « obsolète » et la politique migratoire « catastrophique » d’Angela Merkel ? « Le président et la chancelière sont d’accord (pour reconnaître) l’importance fondamentale de l’Otan dans le cadre d’une relation transatlantique plus large et de son rôle pour assurer la paix et la stabilité de notre communauté de l’Atlantique nord», a indiqué ce samedi le communiqué de la Maison Blanche, qui précise que Donald Trump se rendra en juillet au Sommet du G20 à Hambourg et qu’il recevra « bientôt la chancelière à Washington».
Un communiqué publié à Berlin en allemand reprend à peu près les mêmes termes.
Angela Merkel et Donald Trump ont ainsi souligné que l’Otan doit se moderniser pour être capable de faire face aux défis du 21e siècle et que « notre défense commune demande un investissement approprié dans les capacités militaires pour s’assurer que tous les Alliés contribuent de manière équitable à notre sécurité collective »
François Hollande avait commencé dès le début de l’après-midi son offensive anti-Trump,en
appelant, lors d’un « sommet des pays méditerranéens de l’UE » à
Lisbonne, l’Europe à faire bloc et à opposer une réponse « ferme » à son
homologue américain. Il en a remis une couche en fin de journée
lors d’un entretien téléphonique, à l’initiative de Donald Trump : « le
chef de l’Etat a mis en garde contre les conséquences économiques et
politiques d’une approche protectionniste », en soulignant que, « face à
un monde instable et incertain, le repli sur soi est une réponse sans
issue », a indiqué l’Elysée dans un communiqué.
Il a aussi « rappelé sa conviction que le combat engagé pour la défense de nos démocraties » n’était « efficace » que « dans le respect des principes qui les fondent, en particulier l’accueil des réfugiés ». Une réponse directe au décret anti-réfugiés que vient de prendre le président américain ainsi qu’à ses positions protectionnistes. François Hollande a par ailleurs insisté sur « l’importance pour la planète de la mise en œuvre de la convention de Paris sur le réchauffement climatique », que son homologue veut remettre en cause.
Après les déclarations de Donald Trump sur l’Otan (qu’il avait qualifié d’obsolète dans une interview), François Hollande a tenu à « marquer (son) caractère indispensable ». Il a aussi « rappelé l’attachement de la France à l’action des Nations Unies, qui doit être soutenue par tous, à commencer par les membres permanents du Conseil de Sécurité », comme les Etats-Unis. « L’ONU reste un instrument unique et irremplaçable de la résolution des conflits et du maintien de la paix », a-t-il plaidé.
François Hollande et Donald Trump « sont convenus de poursuivre leurs échanges sur les sujets essentiels », a également indiqué l’Elysée.
Il a aussi « rappelé sa conviction que le combat engagé pour la défense de nos démocraties » n’était « efficace » que « dans le respect des principes qui les fondent, en particulier l’accueil des réfugiés ». Une réponse directe au décret anti-réfugiés que vient de prendre le président américain ainsi qu’à ses positions protectionnistes. François Hollande a par ailleurs insisté sur « l’importance pour la planète de la mise en œuvre de la convention de Paris sur le réchauffement climatique », que son homologue veut remettre en cause.
Après les déclarations de Donald Trump sur l’Otan (qu’il avait qualifié d’obsolète dans une interview), François Hollande a tenu à « marquer (son) caractère indispensable ». Il a aussi « rappelé l’attachement de la France à l’action des Nations Unies, qui doit être soutenue par tous, à commencer par les membres permanents du Conseil de Sécurité », comme les Etats-Unis. « L’ONU reste un instrument unique et irremplaçable de la résolution des conflits et du maintien de la paix », a-t-il plaidé.
François Hollande et Donald Trump « sont convenus de poursuivre leurs échanges sur les sujets essentiels », a également indiqué l’Elysée.
Il veut faire semble-t-il cavalier seul
exclusivement pour les USA à marche forcée contre tout le reste du monde pour
en refaire la puissance dominante (peut être
comme « la grenouille qui voulait se faire aussi grosse que le bœuf »)
dans un monde ou la mondialisation est omniprésente et incontournable ?!
Pour ce qu’a dit F.HOLLANDE égal à lui-même,
rien de nouveau, ni de très défensif ou offensif contre la politique du
président US qui de toute façon sait bien que notre chef d’état est déjà
virtuel, car ayant renoncé à sa réélection dans 3 mois !
Il verra après l’élection de notre
nouveau président et étant donné l’influence de la France qui a diminuée
sensiblement à l’international et en Europe sous ce quinquennat, cela doit
l’importer peu l’avis de la (petite) France
que l’on n’écoute plus beaucoup déjà en Europe et dans le monde…
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