CRITIQUES DE BON SENS: Commentaires d'articles de presse sur fait de société ou politique du monde
samedi 14 janvier 2017
F.FILLON de toute façon est comme les autres de cette droite orgueil et Cie !
111 circonscriptions ont été réservées, dont « 78 pour des éventuels accords avec l'UDI et 33 pour des candidats LR (13 en outre- mer, 19 en métropole »). Deux tiers des investis sont de « nouveaux candidats ». Peu avant les deux votes, les participants au CN avaient très chaleureusement applaudi le nom de Nicolas Sarkozy, lancé par Luc Chatel, président du CN, ainsi que Laurent Wauquiez, présent à l'ouverture de la journée. Le Conseil national sera clos en milieu de journée par un discours de François Fillon.
« Je m'étais fixé trois objectifs », rappelle François Fillon, toujours donné gagnant en mai prochain par les sondages, même s'il est en baisse : « Rassembler après les primaires toutes les forces et les sensibilités de ma famille politique. C'est fait ! Unir la droite et le centre autour de ma candidature. C'est fait ! Mettre en place une équipe de campagne ouverte à tous. C'est fait ! Maintenant, nous sommes collectivement en ordre de marche », s'est-il félicité. Vendredi, il a ainsi élargi son organigramme de campagne en y intégrant notamment le sarkozyste Frédéric Péchenard ainsi que des représentants de la société civile.
Pendant que les fillonistes présentaient l'organigramme complété, François Fillon déjeunait avec Nicolas Sarkozy. L'ex-président en a profité pour demander à son ex-Premier ministre « un élargissement maximal de (son) équipe de campagne », ce « qui est tout à fait l'état d'esprit de François Fillon depuis sa victoire, comme en témoigne encore la deuxième partie de son organigramme », a fait remarquer son entourage.
« Le budget accuse
fin 2016 un excédent de 9,9 millions d'euros », a affirmé à
l'Agence France-Presse Daniel Fasquelle, trésorier des Républicain.
Le succès populaire de la primaire de novembre fait ainsi du bien
aux finances du parti. Quant aux investitures, il restait près d'une
centaine de circonscriptions à pourvoir sur les 577, les autres
ayant été complétées sous la présidence Sarkozy. Elles
pourraient faire l'objet de changements, car un certain nombre d'élus
vont devoir arbitrer entre mandat local ou national, conformément à
une loi de 2014 que François Fillon s'est engagé à faire
respecter.
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