jeudi 26 juillet 2018

Il a répondu partiellement aux questions et en a esquivé d'autres ?!


Affaire Benalla : Alexis Kohler, une prise de responsabilité mais des silences

Devant les sénateurs, le secrétaire général de l'Élysée a éludé la question du port d'arme d'Alexandre Benalla, mais assumé la sanction à son égard.


Le secrétaire général de l'Élysée Alexis Kohler n'avait « rien à ajouter » ce jeudi devant la commission d'enquête du Sénat, concernant le fait que l'arrêté de délivrance de port d'arme à Alexandre Benalla invoquait sa « mission de police » à l'Élysée. Alexis Kohler répondait à une question de la co-rapportrice Muriel Jourda : « J'ai sous les yeux ici l'arrêté de port d'arme de M. Benalla, dans lequel il est indiqué clairement dans les considérants que ce port d'arme est autorisé du fait que M. Benalla est chargé d'une mission de police », « dans le cadre de son action de coordination de la sécurité de la présidence de la République », a énoncé la sénatrice LR.
 « Je n'ai pas eu à connaître les modalités d'octroi du port d'arme de M. Benalla », a répondu Alexis Kohler aux sénateurs. « Patrick Strzoda [directeur du cabinet d'Emmanuel Macron, NDLR] vous avait répondu sur ce point, je n'ai rien à ajouter, je suis désolé. » Interrogé mercredi par la même commission, Patrick Strzoda avait répondu : « Dans certains moments, dans l'activité du président, il m'a paru utile qu'il y ait effectivement quelqu'un qui puisse bénéficier de cette autorisation. C'est une appréciation dont j'assume la responsabilité. »
Alexis Kohler a expliqué jeudi que le rôle d'Alexandre Benalla n'était pas « une mission de coordination de la sécurité », mais concernait « tout ce qui contribue à l'organisation d'un déplacement du président de la République ». « Il y a beaucoup d'autres dimensions » que la sécurité, a-t-il ajouté. « Il n'existe pas de police parallèle à l'Élysée », « nous n'employons pas de vigiles privés pour protéger le chef de l'État », « M. Benalla n'a jamais été en charge de la protection de la présidence de la République », avait déclaré le secrétaire général de l'Élysée dans son propos liminaire.

« Au regard des éléments connus le 2 mai, la sanction était proportionnée »

Par ailleurs, concernant la suspension d'Alexandre Benalla prononcée après le 1er mai, Alexis Kohler a estimé qu'elle pouvait « apparaître insuffisante », mais qu'elle était « proportionnée » au « regard des éléments connus le 2 mai ». « Je maintiens qu'à la lumière des faits connus depuis lors, la sanction peut apparaître insuffisante, mais que symétriquement, au regard des éléments connus le 2 mai, la sanction était proportionnée », a estimé le secrétaire général de l'Élysée.
La veille, Emmanuel Macron a déclaré face à la presse que la sanction infligée à Alexandre Benalla pour avoir malmené et frappé deux personnes en marge de la manifestation du 1er mai était « proportionnée ». « Sinon je leur aurais demandé d'en prendre une autre », a ajouté Emmanuel Macron en référence aux responsables de son cabinet qui lui ont proposé la sanction. Alexandre Benalla, de même qu'un employé de La République en marche, Vincent Crase, ont depuis été mis en examen, notamment pour « violences en réunion », après la révélation d'une vidéo du 1er mai par le journal Le Monde.
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Mais sur le fond il n’a pas été clair dans ses explications ?

On voyait bien qu’il n’était pas à l’aise devant cette commission d’enquête, a sa décharge lui ne fait pas des plateaux télé comme nos chers politiciens médiocres de l’opposition que nous connaissons qui eux en font trop !

C’est un monsieur de l’ombre le secrétaire général de l’Elysée qui a autre chose à faire que justifier les erreurs de son patron E.MACRON qui lui a justifié son erreur (si on peut dire) en faisant un pseudo méa culpa !

En effet cet incident lamentable qui plait tant aux oppositions qui cherchaient en vain jusqu’à présent à mettre en défaut ce jeune président y sont arrivées sans effort par l’attitude d’un jeune « c.n » qui se croyait tout permis par une ascension trop rapide incontrôlée !

Le président s’est planté dans son choix de conseiller « comme un bleu » (ce n’est pas le 1ere  fois chez les présidents de la V eme république), mais quand on aime le polémiques dans notre pays à ce point, il faut faire hélas avec !

Et maintenant l’action judiciaire à cause de ce BENALLA qui est déjà sanctionné et licencié va durer et faire perdre du temps à la marche de la France qui a besoin de se rénover de cette V eme république poussiéreuse et obsolète !

Alors c’est pitoyable, cette France qui se noie dans telles polémiques sans intérêt et nous votons et en fait de changement, car il n’y a rien que des mauvaises habitudes dont on n’arrive pas à se séparer!

Merci à tous ces politicards de tous bords que nous élisons jusqu’au plus haut de l’état !

Jdeclef 17/09/2018 26/07/2018

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