mercredi 18 juillet 2018

TRUMP va au gré du vent comme ça l'arrange quitte à mentir ou ne pas respecter sa parole !


Trump et Obama : l'ombre et la lumière

L'un complote contre les intérêts de son pays. L'autre fait une allusion acclamée aux champions du monde de football. Cherchez l'erreur…


Comme au théâtre, il y a parfois en politique presque une unité de temps. Pour ce qui est de l'unité de lieu, les réseaux sociaux se chargent de la rétablir artificiellement. Par ordre d'apparition, on découvre un président des États-Unis friand de controverse, qui effectue une tournée européenne désastreuse. Après s'être montré désobligeant avec ses alliés de l'Otan, Angela Merkel et Theresa May en tête, il se carpettise lundi 16 juillet devant Vladimir Poutine à Helsinki, en déclarant lors d'une conférence de presse commune qu'il n'a aucune raison de mettre en cause la Russie, pourtant accusée par la justice et les services de renseignements américains d'ingérence dans la présidentielle de 2016.
Donald Trump ou le massacre diplomatique à la tronçonneuse
Cette déclaration, que de nombreux experts et éditorialistes considèrent comme une attaque contre son propre pays, est critiquée jusque dans son camp aux États-Unis. Si bien que Donald Trump, une fois n'est pas coutume, entame un laborieux rétropédalage. Mais, comme toujours avec lui, cette reculade elle-même ressemble à une triste farce. De retour à Washington, il rend compte de son voyage transatlantique devant des membres du Congrès réunis dans la Roosevelt Room de la Maison-Blanche. Dans son allocution, il prétend que sa langue a fourché à Helsinki, et que les fourbes commentateurs n'ont pas rectifié d'eux-mêmes. C'est pourtant simple, il a oublié une négation, et voulait dire qu'il « ne voyait pas de raison que ce ne soit pas la Russie » qui soit à l'origine de ces interférences. Mais il ajoute immédiatement que cela n'a eu aucune influence sur le résultat de l'élection… qu'il a remportée !
La complaisance de Trump envers Poutine met les républicains sens dessus dessous

Bouffonnerie

Tandis que le président des États-Unis se livre à une nouvelle bouffonnerie, particulèrement grave, ce mardi 16 juillet, Barack Obama est en Afrique du Sud pour célébrer le centenaire de la naissance de Nelson Mandela. Lui qui s'est donné pour règle de ne pas critiquer son successeur a du mal à tenir parole. Devant des milliers de personnes, il déplore que « des personnalités politiques semblent rejeter le concept de réalité objective ».
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Puis, dans son éloge de Mandela, il insiste sur le caractère artificiel de l'apartheid. « Ce qui était vrai à l'époque l'est toujours aujourd'hui. On se retrouve dans les autres. On peut partager des espoirs et des rêves communs. C'est une vérité incompatible avec toute forme de discrimination (…) Et c'est une vérité qui offre de sérieux avantages. Elle fait bénéficier la société qui la pratique des talents, de l'énergie et des compétences de tous. Si vous en doutez, demandez à l'équipe de France de football qui vient de remporter la Coupe du monde. Ces garçons, selon moi, ne ressemblent pas tous à des Gaulois. Mais ils sont Français. Ils sont Français », répète-t-il pour bien faire comprendre son message, reçu cinq sur cinq par l'assistance. Comme il eût été agréable d'entendre un tel discours prononcé depuis la Maison-Blanche !
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Son isolationnisme ou protectionnisme maladif risque de se retourner contre les USA car il confond être président de la république DES ETATS UNIS D’AMERIQUE avec être PDG d’une grande entreprise !

Mais il commet des erreurs en changeant sans cesse de discours dans ces propos politique ou autres économiques !

Il est dommageable qu’il soit encore président d’une grande démocratie puissance mondiale qui par ses méthodes glisse sans en avoir l’air vers une autocratie ou démocrature comme on le voit dans d’autres grands pays connus et il en arrive à critiquer ses alliés l’Europe en tête !

Dans ces conditions il est difficile pour ses partenaires occidentaux et autres de travailler correctement avec lui car il isole son pays en matière économique et refuse toute négociation raisonnable (donc au mieux il faut attendre la fin de son ou ses mandats de président US !)

Jdeclef 18/07/2018 09h47

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