lundi 3 octobre 2011

ON SENT VRAIMENT LE POURRI DANS LA POLICE LYONNAISE ET AILLEURS…

Michel Neyret, directeur adjoint à la direction interrégionale de la PJ. Lyon, le 17 mai 2011.

De nouveaux policiers lyonnais en garde à vue, Claude Guéant évoque un «terrible séisme pour la police nationale»

CORRUPTION - Le scandale de l'affaire Michel Neyret n'éclabousse pas que la PJ lyonnaise...

Deux autres policiers de la brigade des stupéfiants de Lyon ont été placés en garde à vue samedi à la «police des polices», a révélé ce dimanche une source judiciaire. Ils sont désormais six à être interrogés par l'Inspection générale des services (IGS). Michel Neyret, numéro deux de la police judiciaire de Lyon arrêté jeudi, le chef de la brigade de recherche et d'intervention (BRI, «anti-gang») de Lyon et deux dirigeants de l'antenne de police de Grenoble ont vu en effet leur garde à vue prolongée ce dimanche. 

«Les sanctions seront immédiates»

«Il va de soi que si les faits sont avérés, les sanctions seront immédiates», a promis Claude Guéant, ce dimanche sur BFM TV. Le ministre de l'Intérieur n'a pas hésité à qualifier cette affaire de corruption de «terrible séisme pour la police nationale». Michel Neyret, qui a reconnu avoir été «imprudent», doit être présenté lundi à un juge d'instruction parisien en vue d’un probable mise en examen pour «corruption, trafic d'influence, association de malfaiteurs et trafic de stupéfiants». L'épouse de ce dernier, arrêtée en sa compagnie, et un membre présumé du grand banditisme ayant un lien avec le chef adjoint de la PJ ont été présentés au juge dès samedi et mis en examen. Le parquet a requis leur placement en détention.

Un juge des libertés a laissé libre sous contrôle judiciaire Mme Neyret mais a placé en détention provisoire l'autre suspect. Directrice d'un hôtel, l'épouse de Michel Neyret est poursuivie pour «recel de corruption, de trafic d'influence et de vol et association de malfaiteurs».  Michel Neyret serait confondu, selon l'accusation, par des écoutes téléphoniques menées initialement dans l'enquête sur un trafic international de stupéfiants où il est apparu fin 2010 et début 2011 dans des conversations avec des truands. 

Commerce de cannabis ou rémunération des indics?

On en arrive à penser : Qu'est ce qui n'est pas pourri en France dans nos institutions?

Présidence, gouvernement, justice, police, élus, politiciens, fonctionnaires etc etc...La liste est longue

Et vous noterez que cela touche les plus hauts responsables pas seulement les subalternes !
Comment appelle-t-on cela ? Décadence de la société française et de sa république ?

Le nouveau président et son gouvernement qui suivra celui en place devra être exemplaire pour faire oublier tout cela, et faire un grand ménage !

Et si le SARKOZYSME survit à tout cela, ce sera une honte pour les Français qui acceptent tout comme des moutons que l'on conduit à l'abattoir !

jdeclef03.10.2011 -

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