lundi 30 mars 2015

IL FAUT ARRÊTER AVEC CE SARKOZYSME PRIMAIRE DE "MESSIE SAUVEUR" QUI N'A PAS ENCORE APPRIS LA MODESTIE NI MODULÉ SON ARROGANCE !


Nicolas Sarkozy, ancien président et président de l'UMP dimanche 29 mars 2015 lors des résultats des élections départementales
Politique

ÉLECTIONS Le patron de l'UMP surfe sur la victoire de la droite aux élections départementales pour porter l'idée d'un nouveau parti qui pourrait s'appeler «Les Républicains»...

 Départementales: Nicolas Sarkozy se projette déjà en 2017 après la victoire de l'UMP

S'estimant renforcé dans sa stratégie avec des départementales «nettement gagnées» par la droite et le centre, Nicolas Sarkozy se projette vers 2017 en promettant «un projet républicain d'alternance, fort, réaliste et profondément nouveau», au coeur du nouveau parti qu'il s'apprête à fonder.

De nombreuses prises de guerre

L'UMP, alliée à l'UDI et au MoDem, se retrouve aux commandes de 66 départements (de 1.125 à 1.155 cantons), avec un gain de 25 départements, dont la Corrèze et l'Essonne, les très symboliques fiefs du président François Hollande et de son Premier ministre Manuel Valls. Autres prises de guerre: le Nord, fief de Martine Aubry, ou la Seine-Maritime, celui de Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères. Un seul revers: le basculement de la Lozère à la gauche, qui ne contrôle plus que 34 départements.
La droite républicaine et le centre ont ainsi fait mieux qu'inverser la tendance (jusqu'ici, la gauche détenait 60 départements, la droite 40), objectif de base revendiqué au fil des meetings de campagne. «L'alternance est en marche, rien ne l'arrêtera»: dimanche soir devant les caméras, le président de l'UMP lance ces mots - les mêmes que ceux prononcés par lui au soir du premier tour - sur un ton de défi.

«C'est un désaveu sans appel»

Défi envers le président de la République et sa politique que les Français, assure-t-il, viennent de «massivement» rejeter. «C'est un désaveu sans appel», selon l'ex-chef de l'Etat, qui s'exprimait devant la presse, au siège de son parti à Paris, réitérant ses accusations de «mensonges» contre le couple exécutif. Nicolas Sarkozy semble également défier les ténors de l'UMP, ses futurs concurrents à la primaire de 2016. S'il est vrai que contrairement à Alain Juppé ou François Fillon, il n'a toujours pas annoncé sa candidature à la pré-présidentielle, personne ne doute que telle soit son intention.
Accusé à gauche mais aussi à droite d'avoir eu des débuts poussifs après son retour en politique en novembre, Nicolas Sarkozy peut aujourd'hui se sentir conforté dans sa stratégie: d'abord rassembler son camp pour faire oublier la guerre entre copéistes et fillonistes qui avait failli le faire exploser.
Manuel Valls: Les Français «ne voudront plus jamais de Nicolas Sarkozy»

«Les Républicains», nouveau nom de parti?

Puis assurer l'alliance de la droite et du centre - «mais du vrai centre», répète depuis des mois l'ancien président qui n'a jamais pardonné à François Bayrou, président du MoDem, d'avoir choisi François Hollande en 2012. Dimanche soir, l'ancien locataire de l'Elysée a promis que l'une de ses «priorités» serait de «renforcer» cette unité droite/centre, insistant sur le caractère «collectif» de la victoire aux départementales.
Après avoir apaisé son parti - ce qu'ont publiquement admis Alain Juppé et François Fillon - et posé l'alliance avec le centre, Nicolas Sarkozy montre sa détermination à passer à l'étape suivante de sa stratégie: inventer un nouveau parti qui pourrait s'appeler «Les Républicains», un nom de baptême avancé par plusieurs médias sans que personne à l'UMP, jusqu'à Nicolas Sarkozy lui-même, ne démente.
Nicolas Sarkozy veut doter cette nouvelle machine, destinée dans son esprit à gagner la prochaine présidentielle, d'«un projet profondément nouveau» en vue de l'alternance. C'est «une responsabilité très lourde» pour l'UMP, a prévenu François Fillon, qui espère assumer celle-ci pour la présidentielle 2017, lui aussi déjà dans le match pour 2017.
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Quand on veut regagner le pouvoir que l'on a perdu en tant qu'ex président de la république rejeté au suffrage universel par les français, il faut être moins arrogant et revenir avec un programme bien ficelé au moins!


N.SARKOZY n'a rien fait de plus que de récolter le mécontentement des français en vers la politique gouvernementale et F.HOLLANDE qu'ils voulaient sanctionner comme ils l'ont fait à toutes les élections nouvelles depuis 2013!


Sa stratégie il n'y en a pas, il est dans l'opposition et profite simplement de ce ras le bol des français "il tire les marrons du feu" c'est tout!


Il a atterrit contraint et forcé pour redresser l'UMP en déconfiture et s'en sert de tremplin, mais il ne recherche que le pouvoir en 2017!

Car si la droite revenait au pouvoir ce qui n'est pas illogique, je ne pense pas qu'il n'y ait que N.SARKOZY pour incarner celle-ci et reprendre les reines du pouvoir?!


N'oublions pas trop vite son quinquennat médiocre remplis de plein de promesses non tenues et de discours fumeux et creux! 


Sans compter qu'il n'est pas encore net sur certaines affaires mais n'en disons pas  plus…


Si son programme flou pour ne pas dire inexistant tient encore à une affaire de voile ou à des repas de cantines scolaires (dont il aurait d'ailleurs pu s'occuper quand il était aux affaires c'est maigre?!)


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