mardi 3 février 2015

LA VALSE DES MENTEURS COMME DES ARRACHEURS DE DENTS CADRES UMPISTES DANS LE CABINET DES JUGES CONTINUE ET COPÉ EST MIS EN EXAMEN A L'ISSUE DE CETTE CONVOCATION!



POLITIQUE L'UMP avait pris en charge les pénalités infligées par le Conseil constitutionnel à Nicolas Sarkozy...

Enquête sur les pénalités payées par l'UMP pour Sarkozy: Copé entendu par les juges

Jean-François Copé est entendu ce mardi matin à Paris par les juges financiers enquêtant sur le paiement par l'UMP des pénalités qui avaient été infligées à Nicolas Sarkozy par le Conseil constitutionnel. Le maire de Meaux et ancien président de l'UMP est arrivé en compagnie de son avocat vers 09H15 au pôle financier du tribunal de grande instance de Paris, a constaté un journaliste de l'AFP.

«Abus de confiance»

L'enquête porte sur la prise en charge par l'UMP au lieu de Nicolas Sarkozy d'une pénalité de près de 400.000 euros infligé, conformément au code électoral, à l'ancien président pour le dépassement du plafond autorisé de ses comptes de campagne, fixé à 22,5 millions d'euros. Cette prise en charge de ces pénalités avait notamment été décidée après un avis juridique favorable de Me Philippe Blanchetier, qui avait auparavant représenté Nicolas Sarkozy devant la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP).
L'avocat a été placé sous le statut de témoin assisté dans cette enquête. Au printemps 2014, dans un contexte de tensions internes au sein du parti, les commissaires aux comptes de l'UMP s'étaient interrogés sur la légalité du paiement des pénalités par le parti de droite et avaient saisi le parquet de Paris, faisant entrer l'affaire dans une phase judiciaire.
L'un des premiers gestes de Nicolas Sarkozy lors de son élection à la présidence de l'UMP a été de faire un chèque de 400.000 euros à son parti dans le but de «mettre la formation politique qu'(il) préside à l'abri de toutes contestations», écrivait-il au comptable du parti en décembre dernier. Une information judiciaire a été ouverte à l'automne pour «abus de confiance», «complicité» et «recel».




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