dimanche 15 février 2015

OUI IL FAUT CRIER FORT SON DÉGOUT ET RÉCLAMER UNE FERMETÉ MAXIMUM SANS FAILLIR NI ÉCOUTER LES BIEN PENSANTS CAR LE TROP C'EST TROP!


Monde

TERRORISME Face au terrorisme, «il faut rester droit dans ses bottes et ne pas avoir peur», estime le médecin urgentiste, chroniqueur à Charlie Hebdo...

Fusillade à Copenhague: Pour Patrick Pelloux, «on se sent tous Danois ce soir»

«On se sent tous Danois ce soir», déclare Patrick Pelloux samedi, au soir de la fusillade contre un centre culturel de Copenhague qui a fait un mort et trois blessés. «C'est affreux parce que c'est un mois après les attentats à Paris, cela fait ressortir toute la tristesse. Cela confirme ce que d'autres ont dit, ces intégristes fascistes mènent une guerre contre la culture», estime le médecin urgentiste, chroniqueur à Charlie Hebdo.
Un assaillant, toujours recherché par la police, a criblé de balles le lieu qui abritait un débat sur l'islamisme et la liberté d'expression, auquel participaient l'auteur d'une caricature de Mahomet l'artiste suédois Lars Vilks et l'ambassadeur de France au Danemark François Zimeray. «Ils ont visé un dessinateur et aussi la France puisqu'ils ont tiré sur un lieu où il y avait l'ambassadeur de France. Il faut combattre le fascisme quel qu'il soit», a encore déclaré Patrick Pelloux.

«L'autocensure risque de ravager la culture»

Face au terrorisme, «il faut rester droit dans ses bottes et ne pas avoir peur», pense celui qui est devenu un des piliers du journal après l'attentat du 7 janvier à Paris. Selon lui, «l'autocensure risque de ravager les écrivains, les cinéastes, les dessinateurs, la culture. Ils essaient de neutraliser les gens par la peur».
L'ambassadeur de France au Danemark a décrit une attaque brutale: «Ils nous ont tiré dessus de l'extérieur. C'était la même intention que [l'attaque contre] Charlie Hebdo sauf qu'ils n'ont pas réussi à entrer». L'attaque, le 7 janvier à Paris par deux djihadistes français, contre l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo avait fait 12 morts. Les assaillants avaient pénétré dans la salle de rédaction et y avaient ouvert le feu.






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