N.SARKOZY VIENT PEUT ÊTRE DE COMPRENDRE QUE DANS SON PARTI QU'IL VEUT CHANGER, QU'IL NE PLAIT PAS A TOUT LE MONDE ET QUE C'EST LUI: LA DIFFÉRENCE!

Nicolas Sarkozy, le 29 janvier 2015 à Tourcoing.

POLITIQUE Le président de l'UMP s'est exprimé lors du Conseil national du parti, qui a lieu ce samedi...

Nicolas Sarkozy appelle l'UMP «à débattre, parce qu'il y a des différences»

«Je veux insister» sur ce point, «il faut débattre parce qu'il y a des différences» dans le parti. Nicolas Sarkozy  s'est exprimé devant quelques centaines de conseillers nationaux, qui forment son «parlement», lors du Conseil national du mouvement, qui se tient ce samedi à la Mutualité à Paris. La semaine a été marquée dans le parti par la cacophonie sur la conduite à tenir en cas de duel FN-PS.
Selon Nicolas Sarkozy, l'UMP a «la responsabilité de conduire le pays en sortant des idées du XIXe et XXe siècles, pour aller vers celles du XXIe», en réfléchissant notamment sur les questions de «santé, de protection de l'environnement, de la spécificité de nos paysages...».

La définition des valeurs

Quelques minutes auparavant, Nathalie Kosciusko-Morizet, vice-présidente déléguée de l'UMP, avait ouvert la journée en dénonçant «l'aveuglement, l'ignorance et le sectarisme» de la gauche au pouvoir. «Les pires Cassandre n'avaient pas osé dessiner les années Hollande» telles qu'elles se présentent aujourd'hui, a affirmé Nathalie Kosciusko-Morizet.
«Ils se disaient qu'il suffit que Nicolas Sarkozy s'en aille» pour mettre fin à la crise, mais «la crise est toujours là, aggravée par une idéologie pas adaptée au monde», a-t-elle ajouté. Dans cette salle de la Mutualité où Nicolas Sarkozy fit son dernier discours, au soir de sa défaite, le 6 mai 2012, la numéro deux de l'UMP a affirmé que ce discours avait été celui de «l'humilité et de l'espoir». Selon elle, sa famille politique «ne pourra pas revenir au pouvoir tant qu'elle n'aura pas défini ses valeurs».
La matinée est consacrée à trois tables rondes, «sur les crises économiques, de l'Europe et des valeurs», animées par des personnalités du parti (Luc Chatel, Hervé Mariton, Laurent Wauquiez, Eric Woerth, Bruno Le Maire,...), et questions-réponses avec la salle.
Jean-Pierre Raffarin, ancien Premier ministre et président du Conseil national, fait office de Monsieur Loyal, tout au long de cette journée, qui devait se poursuivre dans l'après-midi, avec des discours des anciens Premiers ministres, outre Jean-Pierre Raffarin, François Fillon et Alain Juppé. Nicolas Sarkozy prononcera le discours de clôture.
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Il pourrait prêter à rire ce N.SARKOZY car:

 

C'est lui la différence, il veut tout régenter dans son parti et surtout après, avec le minimum d'opposition!

Oui, mais tout le monde n'est pas d'accord pour ce mettre "au garde à vous sur la couture du pantalon"!

Et surtout, il croit que tous les français quel qu'ils soient ont oublié son quinquennat et la façon dont il a gouverné en "Napoléon" de pacotille!

Alors bien sur, il a toujours une kyrielle de gogos aveugles et sourds, bornés à souhait, inféodés béatement qui le plébisciteront!

Mais cela ne lui suffit pas, on n'est plus en 2007 et en plus il y a le vilain FN en embuscade qui lui fait peur comme à d'autres de son camp, qu'il ne peut plus capturer dans son filet!

Pour finir il y a des électeurs de droite qui ne croient plus en lui, car il n'a pas changé du tout et que sa nouvelle rentrée en politique est loin d’être un succès!

Alors justement à droite, il y a des français qui veulent changer de leader de droite et ne pas reprendre le ou les mêmes !

Declef | 07.02.2015