Cela devient vraiment trop ces grèves dans les transports publics qui ne sont pas les moins bien lotis en avantages divers !

Retraites : l'Unsa-RATP appelle à un « lundi noir » dans les transports

Cette annonce intervient alors que les opposants à la réforme des retraites manifestent de nouveau jeudi 6 février pour réclamer le retrait du projet.

Le choix de la date est symbolique. Le jour du début de l'examen du projet de réforme des retraites à l'Assemblée, le pôle traction de l'Unsa-RATP a appelé jeudi 6 février à un « lundi noir dans les transports » d'Île-de-France le 17 février prochain. Le premier syndicat de la régie des transports parisiens veut remobiliser ses troupes. « Conformément à la volonté des assemblées générales, l'Unsa-RATP pôle traction, premier syndicat à l'exploitation ferroviaire, organise et continue la lutte contre cette réforme de retraite inique », explique dans un communiqué Laurent Djebali, représentant des conducteurs de métro et RER à l'Unsa-RATP.
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« L'Unsa-RATP appelle l'ensemble des salarié(e)s métro et RER à se mobiliser très massivement pour un lundi noir dans les transports », poursuit-il. Cette annonce intervient alors que les opposants à la réforme des retraites manifestent de nouveau jeudi pour réclamer son retrait et endiguer l'essoufflement d'une mobilisation historique.

Trafic normal dans les transports jeudi 6 février

Côté grève, plusieurs secteurs, comme les ports ou les centres de traitement des déchets, ont pris le relais des transports, où le trafic était « normal » à la RATP et avec « peu de perturbations » à la SNCF. Les conducteurs du métro parisien et des RER de la RATP ont entamé leur grève contre la réforme des retraites le 5 décembre. Ils avaient voté le 17 janvier dans la plupart de leurs assemblées générales la suspension du mouvement de grève afin de « reprendre des forces », avant de se mobiliser à nouveau le 24 janvier, jour de la présentation du projet de réforme en Conseil des ministres.
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Ce jeudi, des rassemblements et des manifestations sont prévus un peu partout en France. Dans la capitale, le cortège est parti à la mi-journée de la gare de l'Est vers la place de la Nation. Lors du huitième appel à une journée interprofessionnelle le 30 janvier, la mobilisation avait marqué le pas, avec 108 000 manifestants en France, selon le ministère de l'Intérieur, contre 249 000 lors de la journée précédente, le 24 janvier.

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Les français lambda fatigués de ces mouvements dit sociaux à répétition vont se tourner vers les politiciens divers ou les dirigeants qui nous gouvernent pour qu'ils mettent plus de rigueur pour encadrer ces syndicats bornés qui poussent leurs adhérents au jusqu'au boutisme débile !

En mettant enfin en place un service minimum efficace en cas de grèves intempestives des services publics que les français paient et dont ils attendent un travail régulier!

Car maintenant la majorité d'entre eux ont besoin d'aller travailler sereinement en liberté en ne subissant pas ces prises d'otages continuelles qui n'aboutissent à rien sauf à semer un désordre continuel !

En France qui a besoin de reformes cela devient mission impossible pour sortir de son immobilité depuis trente ans, il serait temps de raison garder car dans une démocratie comme la nôtre on ne peut pas plaire à tout le monde !

Et des poignées de trublions ne doivent pas bloquer un pays au détriment de la majorité des français !

Jdeclef 07/02/2020LP