mercredi 19 février 2020

Il ne fallait pas laisser pérorer ou critiquer la France en toute liberté :


Emmanuel Macron ne veut pas des « lois de la Turquie » en France

Le chef de l'État ne veut laisser aucun pays « nourrir un séparatisme, qu'il soit religieux, politique ou identitaire », sur « le sol de la République ».


C'est une déclaration qui ne devrait pas contribuer à apaiser les relations déjà tendues entre la France et la Turquie. À l'occasion d'un déplacement à Mulhouse consacré à la lutte contre le « séparatisme islamiste », le chef de l'État a directement fait référence au pays de Recep Tayyip Erdogan. « On ne peut pas avoir les lois de la Turquie sur le sol de France », a-t-il ainsi prévenu. « Je ne cherche à froisser personne, mais je ne serai complaisant avec personne », a déclaré le chef de l'État au cours d'une conférence de presse. « La Turquie est un grand pays », a-t-il dit, tout en soulignant la difficulté des discussions avec les autorités turques sur l'enseignement de la langue turque et l'envoi d'imams en France.
« Je veux ici saluer le travail exemplaire que j'ai pu avoir avec le roi du Maroc ou le président algérien » sur « une capacité à bâtir des solutions en matière éducative et religieuse », a dit Emmanuel Macron. « Je pense que la Turquie a aujourd'hui le choix de suivre ce chemin avec nous », a-t-il ajouté. « Mais je ne laisserai aucun pays étranger nourrir, sur le sol de la République, un séparatisme, qu'il soit religieux, politique ou identitaire. » Il a souligné qu'un accord avait été trouvé avec tous les pays concernés, sauf la Turquie, sur une réforme du dispositif de cours facultatifs en langues étrangères dispensés par des enseignants désignés par les gouvernements d'autres pays (Elco).
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Relations tendues avec la Turquie

Notant la présence de nombreux habitants d'origine turque à Mulhouse, le président a affirmé qu'ils étaient « pleinement français » et qu'ils devaient avoir « les mêmes droits que tous les Français, mais aussi [être] soumis aux mêmes lois que tous les Français ». « Mais on ne peut pas avoir les lois de la Turquie sur le sol de France », selon lui. Les relations diplomatiques entre Paris et Ankara se sont tendues ces derniers mois, en particulier sur les dossiers des conflits en Syrie et en Libye, ou des ambitions turques autour des gisements d'hydrocarbures en Méditerranée orientale.
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Et même insulter notre pays et notre histoire ancestrale, ce pseudo dictateur qui enferme des turcs ses compatriotes par centaines qui ne sont pas d'accord avec lui et qui aussi déteste les kurdes et arméniens depuis toujours !

Mais hélas les turcs l'ont élu et surement en ont peur pour certains de cet individu tout en préférant une protection et sécurité pour d'autres avec un dirigeant à poigne, une ambivalence qui leur coûte une grande partie de leurs libertés élémentaires !

De plus hélas ERDOGAN son pays fait partie de l’OTAN avec une armée puissante équipée par les USA depuis la fin de la guerre froide qui en faisait un bouclier, contre l’URSS , mais maintenant il s’entend très bien avec la Russie  poutinienne, mais depuis la chute du mur de BERLIN et la fin des antagonismes des deux blocs (ex URSS/USA) et D.TRUMP le matamore qui critique cet OTAN financé en grande partie par les USA et qui ne veut plus payer ne trouve rien à dire, préférant laisser l’EUROPE avec cet abcès dans sa fesse à l’est !

On notera que MERQUEL et l’Allemagne a une communauté TURQUE très importante dans son pays et les problèmes d’immigration à bras ouvert de la chancelière a fait une erreur, alors elle se tait, mais c’est trop tard !

Pour le reste et les musulmans de France qui se sont établis dans des zones citées et régions de France avec leurs communautés et religions qui vont avec, notamment en IDF le ver est dans le fruit depuis plus de 40 ans et tous les gouvernements et présidents passés de cette Veme république ont poussé la poussière sous le tapis !

Sans oublier bien sur l’immigration venant des guerres moyen-orientales !
Alors que peut faire Mr MACRON le bien-pensant donneur de leçon à qui on a repassé le problème devenant préoccupant soit : En 2017, on estimait que la communauté musulmane au sens large du terme comptait environ 8,5 millions de personnes (dont 3,5 millions de pratiquants)

Ce n’est qu’un constat, mais on commence à en parler, c’est déjà un progrès donc un début, mais ne rêvons pas trop ?!

Jdeclef 19/02/2019 10h08 CLP

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