mardi 11 février 2020

Les verts « empêcheurs de tourner en rond » inutiles coupeurs de cheveux en quatre sont aussi nuisibles que LFI de Mélenchon extrême gauche !

Sébastien Le Fol – Violences : l'intenable indulgence des écologistes

ÉDITO. Le secrétaire national d'Europe Écologie-Les Verts, Julien Bayou, refuse de condamner l'attaque des locaux de BlackRock. Yannick Jadot doit trancher.

Depuis les dernières élections européennes, une petite musique se diffuse dans l'atmosphère : les écologistes français seraient devenus moins dogmatiques. Comprenez moins rouges et plus verts. À l'instar de leurs cousins allemands, les Grünen. Au point de s'allier localement avec des conservateurs ?
Sous la férule de Yannick Jadot, Europe Écologie-Les Verts aurait muté en mouvement « ni de droite ni de gauche », « pro-européen » et même « libéral ». En écoutant celui-ci au Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI, dimanche 9 février, l'auditeur pouvait nuancer de lui-même ces assertions : Jadot est bien un homme de gauche. Une gauche peu libérale sur les questions économiques. Mais voilà un homme pondéré, presque pragmatique, conciliant avec à peu près tout le monde (sauf l'extrême droite). Du « en même temps » qui ne dit pas son nom. Bref, un Vert tendre. Le Macron de 2022 ? À voir.
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Et puis, mardi 11 février au matin, une autre figure d'Europe Écologie-Les Verts se présente au micro de France Inter cette fois. Il s'appelle Julien Bayou et occupe le poste de secrétaire national du mouvement. Léa Salamé lui demande s'il condamne l'intrusion d'activistes écologistes dans les locaux de BlackRock. Réponse de Bayou : « Ce que je condamne, c'est BlackRock… Je crois à ces occupations… » Avant d'ajouter : « par contre elles doivent être pacifiques et joyeuses ».
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« Oui, mais »

Traduisons le Bayou : la violence politique est légitime… à condition qu'elle s'exerce avec des cotillons et des langues de belle-mère. De son côté, David Belliard, candidat EELV à Paris, s'il condamne « toutes les violences qui sont faites aux personnes et aux biens », estime cependant qu'il faut « comprendre les violences ». Cet insupportable « oui, mais… » qui résonne désormais dans toutes les bouches bien-pensantes. Cette formule n'est rien d'autre qu'un alibi pour les lâches et les hypocrites.
Ce n'est pas l'agresseur que l'on fustige, mais l'agressé. Cette rhétorique de l'extrême gauche est bien connue. Elle irrigue encore les cerveaux de nos écologistes. On ne peut pas condamner la violence et « en même temps » la légitimer. Il faut choisir. Quoi croire à la fin ? Le Jadot du dimanche ou le Bayou du mardi ? Les écologistes français ont-ils pleinement choisi « d'être dans le débat démocratique », pour reprendre l'expression de David Belliard ? En ménageant la chèvre et le chou, Yannick Jadot sème le doute. Et si ses professions de foi pragmatiques n'étaient qu'une opération électoraliste et cosmétique… Vert un jour, rouge toujours ?
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Il n'y a qu'à voir l'exemple de GRENOBLE et son maire EELV les verts pour avoir obtenu des records de délinquance tous azimuts, car cet élu a fait supprimer toutes les caméras et qui va devoir les remettre, tant le problème s'est aggravé et maintenant appelle au secours, car dépassé dans cette grande ville !

Ces verts sont des illuminés utopiques qui mélange écologie et gestion de la vie courante des concitoyens et qui sont extrémistes se comportant comme des sectes intolérantes, car la sécurité entre autres est réclamée à juste titre par les français et non à un monde de bisounours qui n'existe pas !

L'écologie étant à la mode, il ne faut pas tomber dans ce piège excessif mal géré par des extrémistes intolérants, ce serait préoccupant, si des municipalités basculaient dans trop de fausse écologie au détriment d'une gestion globale raisonnable !

Car bien sur l’écologie c’est bien, mais il ne faut pas en devenir esclave pour simplement conquérir des élections en mélangeant tout, car on le paie après en déception !

Jdeclef 11/02/2020 15h56 LP

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